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Mouad Moutaoukil

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Littérature française

Les Trois Fresques. Tragédie moderne

Un peintre se remémore les trois amours de sa vie lors de ses derniers moments. Ses anciennes partenaires vont le visiter l'une après l'autre, dévoilant les raisons pour lesquelles elles l'ont quitté : sa bisexualité, le fait qu'il soit positif au VIH, et un avortement qu'il aurait effectué... Le rideau se ferme sur le peintre mort entre les trois murs pleins de portraits difformes qu'il a dessinés lors de ses longs mois de solitude. La vraie nature de ses amours sera révélée : il ne s'agit pas de personnes, mais plutôt de villes.

08/2020

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Littérature française

Souad

Souad, jeune femme tunisienne, mène une existence terne dans une cité de la banlieue parisienne, aux côtés d'un mari violent et de sa fille, qui a honte d'elle. La rencontre providentielle d'une vielle dame têtue va bouleverser sa vie en dépit de leur différence d'âge, de condition sociale et de culture.

11/2019

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Littérature française

Sultan Mourad

Sultan Mourad Victor Hugo Sultan Mourad La Légende des siècles, Hetzel, 1859 (p. 253-266). Mourad, fils du sultan Bajazet, fut un homme Glorieux, plus qu'aucun des Tibères de Rome Dans son sérail veillaient les lions accroupis, Et Mourad en couvrit de meurtres les tapis On y voyait blanchir des os entre les dalles Un long fleuve de sang de dessous ses sandales Sortait, et s'épandait sur la terre, inondant L'orient, et fumant dans l'ombre à l'occident Il fit un tel carnage avec son cimeterre Que son cheval semblait au monde une panthère Sous lui Smyrne et Tunis, qui regretta ses beys, Furent comme des corps qui pendent aux gibets Il fut sublime il prit, mêlant la force aux ruses, Le Caucase aux Kirghis et le Liban aux Druses Il fit, après l'assaut, pendre les magistrats D'Ephèse, et rouer vifs les prêtres de Patras Grâce à Mourad, suivi des victoires rampantes, Le vautour essuyait son bec fauve aux charpentes Du temple de Thésée encor pleines de clous Grâce à lui, l'on voyait dans Athènes des loups, Et la ronce couvrait de sa verte tunique Tous ces vieux pans de murs écroulés, Salonique, Corinthe, Argos, Varna, Tyr, Didymothicos, Où l'on n'entendait plus parler que les échos Mourad fut saint il fit étrangler ses huit frères Comme les deux derniers, petits, cherchaient leurs mères Et s'enfuyaient, avant de les faire mourir Tout autour de la chambre il les laissa courir Mourad, parmi la foule invitée à ses fêtes, Passait, le cangiar à la main, et les têtes S'envolaient de son sabre ainsi que des oiseaux Mourad, qui ruina Delphe, Ancyre et Naxos, Comme on cueille un fruit mûr tuait une province Il anéantissait le peuple avec le prince, Les temples et les dieux, les rois et les donjons L'eau n'a pas plus d'essaims d'insectes dans ses joncs Qu'il n'avait de rois et de spectres épiques Volant autour de lui dans les forêts de piques Mourad, fils étoilé de sultans triomphants, Ouvrit, l'un après l'autre et vivants, douze enfants Pour trouver dans leur ventre une pomme volée Mourad fut magnanime il détruisit Elée,

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Poésie

Sultan Mourad

Sultan Mourad Victor Hugo Sultan Mourad La Légende des siècles, Hetzel, 1859 (p. 253-266). Mourad, fils du sultan Bajazet, fut un homme Glorieux, plus qu'aucun des Tibères de Rome Dans son sérail veillaient les lions accroupis, Et Mourad en couvrit de meurtres les tapis On y voyait blanchir des os entre les dalles Un long fleuve de sang de dessous ses sandales Sortait, et s'épandait sur la terre, inondant L'orient, et fumant dans l'ombre à l'occident Il fit un tel carnage avec son cimeterre Que son cheval semblait au monde une panthère Sous lui Smyrne et Tunis, qui regretta ses beys, Furent comme des corps qui pendent aux gibets Il fut sublime il prit, mêlant la force aux ruses, Le Caucase aux Kirghis et le Liban aux Druses Il fit, après l'assaut, pendre les magistrats D'Ephèse, et rouer vifs les prêtres de Patras Grâce à Mourad, suivi des victoires rampantes, Le vautour essuyait son bec fauve aux charpentes Du temple de Thésée encor pleines de clous Grâce à lui, l'on voyait dans Athènes des loups, Et la ronce couvrait de sa verte tunique Tous ces vieux pans de murs écroulés, Salonique, Corinthe, Argos, Varna, Tyr, Didymothicos, Où l'on n'entendait plus parler que les échos Mourad fut saint il fit étrangler ses huit frères Comme les deux derniers, petits, cherchaient leurs mères Et s'enfuyaient, avant de les faire mourir Tout autour de la chambre il les laissa courir Mourad, parmi la foule invitée à ses fêtes, Passait, le cangiar à la main, et les têtes S'envolaient de son sabre ainsi que des oiseaux Mourad, qui ruina Delphe, Ancyre et Naxos, Comme on cueille un fruit mûr tuait une province Il anéantissait le peuple avec le prince, Les temples et les dieux, les rois et les donjons L'eau n'a pas plus d'essaims d'insectes dans ses joncs Qu'il n'avait de rois et de spectres épiques Volant autour de lui dans les forêts de piques Mourad, fils étoilé de sultans triomphants, Ouvrit, l'un après l'autre et vivants, douze enfants Pour trouver dans leur ventre une pomme volée Mourad fut magnanime il détruisit Elée,

11/2022

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Histoire des religions

Fouad Laroui, écrivain transculturel

L'université Sultan Moulay Slimane (Beni Mellal) a pris l'initiative d'une rencontre scientifique les 17 et 18 avril 2019 en présence de Fouad Laroui conquis par la thématique annoncée : "Fouad Laroui écrivain transculturel" . Le parcours personnel de Fouad Laroui transparait dans ses écrits, invitant à la rencontre de cultures diverses. La notion de transculturalité le définit clairement, ne serait-ce que par la présence de la France, de la Grande-Bretagne, des Pays-Bas, de la Belgique et naturellement du Maroc de ses origines, comme autant d'influences qui ont forgé son identité. Néanmoins, il ne s'agit pas seulement de cadre spatiotemporel, mais bien d'une approche et d'une assimilation de tout ce dont ces diverses cultures sont porteuses et qu'il restitue dans ses romans sur le mode satirique, nostalgiqueâ-Les textes rassemblés dans ce volume oeuvrent à décrypter ces rencontres culturelles qui convergent à illustrer l'intitulé du colloque en soulignant la démarche humanitaire.

03/2022

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Cuisine

Les merveilles sucrées de Souad

Les pâtisseries, confiseries, ont toujours été l'un de mes péchés mignons. Déjà enfant, j'aimais regarder ma mère confectionner différentes pâtisseries au miel, amandes à l'occasion de divers événements. Il m'arrivait parfois de m'en réserver une ou deux que je mangeais appréciant l'odeur de l'eau de fleur d'oranger qui me transportait, ma mère me grondait souvent me rappelant que ce n'était pas bien de manger cela cru. A l'âge de l'adolescence, là où la cuisine et la pâtisserie est une affaire de femme chez nous en Algérie, à peine la puberté atteinte, ont devait apprendre à bien cuisiner, confectionner de très bonnes pâtisseries afin d'être une parfaite femme d'intérieur. Une reconnaissance sociale à toute femme maîtrisant entièrement celles-ci.

10/2013

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