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Moutanabi Bagdad

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BD tout public

Bagdad ko

La guerre en Irak passée au prisme de l'intelligence et à la moulinette de l'humour. Loufoque et effrayant ! Peut-on rire de tout ? Même de la guerre ? Oui, lorsqu'il s'agit d'une guerre idiote et que l'on en rit intelligemment ! Avec Bagdad KO, bienvenue dans le conflit americano-irakien, la seule guerre où les soldats meurent depuis que la paix a éclaté ! Passée au crible des rafales de gags du tandem Salma/Marco Paulo, la politique interventionniste des autorités américaines se révèle dans toute son incohérence au gré de situations frissonnantes, drôles, parfois pathétiques, dont la plupart ne sont que le strict reflet du quotidien dramatique et ubuesque des irakiens et des boys américains... Qui a dit que rire et politique ne faisaient pas bon ménage ?

09/2009

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Littérature étrangère

Bagdad Hotel

"Il a un bon fond pourtant, ce Rojo. Mais il n'y en a pas deux pour foudroyer comme lui, d'un trait de plume, le plus petit travers de ses semblables et plus particulièrement ceux de ses frères journalistes. Principale tête de turc : Peter Arnett, le reporter de CNN. Car contrairement à ce qu'il s'est ingénié à laisser croire, Arnett n'était pas le seul journaliste occidental resté à Bagdad quand le déluge de feu s'est déclenché le 17 janvier 1991. D'un côté, le représentant opulent d'un grand network américain. De l'autre, le reporter fauché et débrouillard du journal espagnol El Mundo". Marcel Trillat, l'un des envoyés spéciaux d'Antenne 2 en Arabie Saoudite, de l'autre côté du front, a apprécié le livre d'Alfonso Rojo, resté sans interruption dans la capitale irakienne durant les cinquante-cinq jours de la guerre du Golfe. Récit d'un huis clos dans le microcosme de l'hôtel Rachid, où viennent échouer diplomates soviétiques et cubains, pacifistes égarés, journalistes concurrents, dignitaires et censeurs, son journal de guerre décrit avec ironie ces vies de naufragés confrontés au rationnement et aux bombardements, nouant des liens insolites dans un lieu fantomatique. Ce témoignage unique est aussi une réflexion sur la guerre et ses manipulations. "Rojo, écrit encore Trillat dans sa préface, n'a jamais oublié cette vérité élémentaire : s'il est une attitude franchement incompatible avec l'exercice de notre profession, c'est bien le garde-à-vous".

12/1991

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12 ans et +

Paris Bagdad

En vacances à Paris, Jules, seize ans, doit suivre sa tante journaliste, appelée à réaliser au plus vite un reportage à Bagdad ! À l'hôtel Palestine, il découvre le quotidien des journalistes ; dehors, il y a, en vrai, ce qu'il a vu tant de fois à la télévision : des chars, des hommes armés, des Américains... Il fait aussi la connaissance de Bilal, un jeune Irakien. Et quand Jules découvre que son nouvel ami s'est fait enlever, il décide de lui venir en aide par tous les moyens.

02/2017

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Littérature française

Rouge Bagdad

l'Irak d'avant. Celui de Saddam Hussein, pendant la guerre contre l'Iran. Une Franc¸aise en poste a` Bagdad se souvient de ces anne´es-la`. Mais ROUGE BAGDAD surprend. Ce n'est pas un simple te´moignage sur une e´poque, de´ja` terriblement violente, ni le constat de´sespe´rant que le pire est toujours possible. C'est un re´cit de vie, foisonnant, sans concessions, qui tire sa force et son originalite´ d'un ton nouveau ou` l'e´vocation de la barbarie est servie par un humour fe´roce, souvent teinte´ d'e´rotisme. Un voyage ambigu, tragique et dro^le, a` l'image de tous les personnages qu'on y croise, se de´me- nant pour survivre dans une ville mythique, aujourd'hui en grand danger d'ane´antissement ! Pari gagne´ : on est dans Bagdad, on ne veut pas en sortir.

09/2015

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Littérature française

Jésus de Bagdad

"Seuls m'ont écouté quelques égarés, une prostituée, des assassins, un amalgame de réprouvés. Les employés, les officiers, les préfets, les prêtres, les professeurs, les géomètres, les docteurs, tous gens de mesure, ont vu, eux, venir le danger. [... ]. Je parle au prêtre comme je parle à un fou : avec le coeur et le ventre de celui qui a connu les cris et la faim des asiles. Comme j'apaise l'enfant épileptique, j'essaie de convaincre le préfet. L'officier, je me baisse pour lui laver les pieds, comme à la prostituée". Un jeune homme est interpellé sur le parvis de Notre-Dame de Paris. Il semble animé par un délire mystique et annonce l'apocalypse. Interné à l'infirmerie psychiatrique de la préfecture de police, puis à l'hôpital Sainte- Anne, il est bien incapable d'expliquer d'où il vient, seulement muni d'un petit carnet couvert de notes, dont la lecture révèle la passion du Christ. Un homme, se présentant comme son oncle, vient à la rencontre d'un des médecins et lui explique qui est ce jeune garçon : un enfant de la minorité chrétienne d'Irak, venu en Europe après la mort de sa famille. Un enfant doué, étrange et perturbé par la guerre et son exil. Qui a raison ? Qui croire ? Poétique et prenant, ce roman navigue entre la folie et la réalité, à la frontière du surnaturel. Un récit émouvant sur les affres des conflits, leurs conséquences et leurs victimes où les héros profondément humains nous ouvrent les portes de la compassion. Jean Anselme est un pseudonyme. Ecrivain voyageur, il a vécu au Moyen-Orient. Jésus de Bagdad est son premier roman.

09/2019

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Littérature étrangère

Bowling à Bagdad

Dieu est un amoncellement de chagrin. L'exaspération de la colère bouillonne en Lui malgré Son silence. Il regarde Bagdad, puis referme aussitôt les yeux. Il tourne Son regard vers Jérusalem et Ses yeux s'emplissent de larmes. Il jette un coup d'œil sur les deux tours de New York et Sa voix est étouffée par une obscure douleur. Nos sœurs sont des désirs sans sexe ; des cous qui pendent au-dessus de désirs assassinés. Lorsqu'elles se dénudent, nous les prenons pour des galets blancs ou bruns ; lorsqu'elles brûlent de désir, elles font l'amour avec les pierres. Les rêves survolent ce qui leur semble être des lits sans y trouver tira seul corps. Ils sortent sur des trottoirs éventrés, mais pas un seul ange au rendez-vous. Ils se glissent sous le casque des Tartares et se répandent avec eux sur les collines, les pentes, les fleuves, la tendresse des palmiers, sans accéder à leur sommeil. Ils flânent par les ruelles, parcourent les villes, les villages penchés, les chaumières, mais n'y rencontrent pas l'ombre d'un seul enfant irakien. Par son approche fantastique, son écriture poétique et sa profondeur historique, Nasri Sayegh nous donne à lire un roman élevé sur le drame irakien. Bowling à Bagdad est une lumineuse échappée littéraire dans une actualité malheureuse surimagée - la guerre et le terrorisme - qui nous accable quotidiennement.

08/2004

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