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Planet Ranger : l'écolo le plus con de la planète

Alors que le groupe détenant les éditons Santillana a annoncé la sortie prochaine de 1000 titres numériques pour Kindle, Planeta prend tout le monde à rebrousse-poil, avec une offre de streaming à venir.

Poignante planète. Voilà un livre qui aura pris bien des chemins pour naître à Lille. « La Maison régionale de l’environnement et des solidarités (MRES) cherchait à proposer un autre regard sur le réchauffement climatique et avait noté un travail réalisé au musée d’art contemporain de Houston (Texas) », raconte Éric Le Brun, patron des éditions LightMotiv. 

L'écrivain espagnol Javier Cercas a obtenu ce mardi 15 octobre le 68e Prix Planeta, le prix le plus prestigieux et le plus richement doté de la littérature en langue espagnole, pour son roman Terra Alta (Planeta), qui suit l'enquête d'un policier en Catalogne après les attentats meurtriers d'août 2017 à Barcelone et Cambrils.

Le groupe Mondadori est de plus en plus intéressé par une expansion dans le secteur de l'édition de livres. Le 7 novembre, en effet, l'autorité antitrust a approuvé l'acquisition de De Agostini Scuola. Le 22 novembre, le groupe basé à Segrate a signé un accord avec De Agostini Editore pour l'achat de 50 % de DeA Planeta Libri. 

Le prix Planeta, organisé par le groupe espagnol Planeta, propriétaire d'Editis, a annonce que Clara Sanchez avait remporté la 66e édition de sa célèbre récompense. Pour son roman El Cielo ha Vuelto, elle empoche la dotation de 601.000 €.

L'Association Enraizados, catholique, et très impliquée dans la vie publique, vient de recueillir plus de 5000 signatures à la pétition qu'elle a lancée contre le groupe d'édition Planeta, accusé d'avoir insulté les croyants du pays. Sur une chaîne détenue par le groupe, l'émission El Hormiguero, aurait insulté les catholiques...

Alors qu'il va avoir quelques soucis judicaires à gérer dans les semaines et mois à venir, José Manuel Lara, président du groupe Planeta s'est fendu de quelques réflexions sur le piratage de livres à travers internet.

« Elles ont voulu sauver lae monde, elles s’y sont consacrées pleinement… » Lae monde, oui. Ainsi débute cette Visite. La Terre, le futur. Après le Grand Déclin, qui aurait pu marquer la fin du vivant tel que nous le connaissons, le renouveau. L’humanité a évité la catastrophe. Mais voilà : tout bascule lorsqu’apparaît une planète, vraisemblablement sortie de nulle part, dont l'écosystème ne ressemble en rien à celui auquel nous sommes habitués. Et, sept ans après sa première apparition, Sitive est encore là. 

Les membres du jury espagnol ont rendu leur verdict : c’est Dolores Redondo et son roman Todo esto te daré qui a remporté le prix Planeta, le mieux doté juste après le prix Nobel de Littérature. Pour rappel, la récompense a été crée par l'éditeur José Manuel Lara Hernández, et elle est décernée par le groupe Planeta.

Filiale du groupe espagnol Planeta, le groupe Editis annonce dans un communiqué le développement d’un projet de formation universitaire. Cela passe par l’acquisition de l’ESLCA Paris Business School, ainsi que détaillée.

Editis, filiale du Grupo Planeta, firme espagnole, vient de connaître une légère modification de l'organigramme, avec la création d'une direction des achats et de la production. Celle-ci est placée sous la responsabilité de Pedro Arancón, qui occupe actuellement le poste de directeur des achats et de la production Grupo Planeta. 

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Célèste, ma planète

Les guides touristiques, qui subissent la sévère concurrence des sites internet et autres forums, doivent aujourd'hui assurer de nouveaux services pour conserver leurs clients. Lonely Planet n'est pas trop à la traîne dans le domaine, et vient de lancer , en partenariat avec l'opérateur Skyscanner, un moteur de recherches pour trouver ses prochains vols. L'envolée, quoi...

A l'âge de 68 ans, José Manuel Lara, grand patron du groupe éditorial Grupo Planeta est décédé, à Barcelone. Ayant succédé à son père José Lara Hernandez, fondateur du groupe en 1949, il avait élargi la société bien au-delà de l'édition de livres, avec l'acquisition de différents médias, ainsi qu'une prise de participation dans Atresmedia Corp, plus important diffuseur d'Espagne. Manuel Lara en avait d'ailleurs été le président. 

Le président du groupe espagnol Planeta, ne cesse de faire la Une de la presse ces dernières semaines. A l'occasion, ce dimanche, d'un repas traditionnel, avant la remise des récompenses Premio Planeta, à Barcelone, le président s'est lancé dans quelques analyses. Sur le piratage d'ebooks, la TVA... et l'indépendance de la Catalogne.

La géopolitique linguistico-financière est au coeur des réflexions du grand patron du groupe Planeta, José Manuel Lara. Dans une déclaration fracassant, suite de celles déjà prononcées, le président assure que si la Catalogne devient indépendante, « je transfère Planeta à Séville ». Une menace qui pourrait être mise à exécution, et s'inscrit dans une logique que le boss a en tête depuis un moment. 

Le groupe Planeta vient de lancer son portail éducatif, aulaPlaneta, dont l'ensemble porte l'accent sur l'interactivité et la participation des internautes. Une solution qui se veut complète et pratique pour la communauté scolaire castillane, en primaire et secondaire. 

Les actionnaires du groupe d'édition et de médias espagnol, Grupo Planeta, viennent d'élire à l'unanimité un nouveau président. Après le décès de José Manuel Lara Bosch, survenu le 31 janvier dernier, il reviendra donc à José Creuheras Margenat de piloter le premier groupe espagnol dans le secteur.

Selon la presse espagnole, le groupe éditorial Planeta, propriétaire du groupe Editis en France, n'est pas dans une santé financière des plus brillantes. En effet, la famille Lara aurait obtenu un accord des cinq banques avec lesquelles elle traite, pour renégocier l'emprunt déclenché en mars 2010, de 800 millions €. 

Le Forum d'Avignon, grande réunion annuelle des industries culturelles, interroge à chaque édition la pertinence du secteur, son influence sur la société comme sur l'économie. La présence d'Alain Kouck, PDG du groupe Editis, un des leaders de l'édition, tombait sous le sens, et nous l'avons consulté pour en savoir plus sur l'avenir d'Editis.

Alors que le groupe espagnol avait échoué dans sa tentative de récupérer Anagrama, c'est sur un autre éditeur que Planeta a jeté son dévolu. Ainsi, le groupe vient de se porter acquéreur d'une partie du capital d'un des plus importants éditeurs indépendants, Tusquets Editores. Sans, évidemment, que le montant de la transaction soit dévoilé.

Décidément, le groupe Planeta est à l'honneur sur le banc des accusés depuis quelques jours. Une nouvelle plainte pour plagiat a été déposée aux États-Unis, inculpant le groupe et quatre sociétés affiliées...

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