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Odires Mlászho

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Humour

Dires étonnants des astrologues

Voici le portrait-robot des douze mois les plus recherchés. Mars, son âme retour du pressing, se risque au-dehors. Il scrute les oiseaux se concocter un nid. Triste Avril, où tout est vrai, sérieux. Mai, le tauromachique, le polygame. Chaleur de Juin, mois où l'on disparaît dans l'épaisseur du sol pour y fuir la canicule, et, plus encore, celle d'Août... Novembre s'orne d'un pharmacien ; Décembre meurt en mer. Janvier, mois en haine, se terre en famille aux confins d'épaisses futaies. Enfin, Février le suit, qui semble mou et erratique. Comme l'huître ou l'apôtre, le mois va par douze.

12/1993

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Poésie

Dires à bout portant

Dires à bout portant, Dire. Dire sans se retenir. Dire sans se soucier de ce qui pourrait être compris. C'est peut-être le seul objectif en fin de compte. Dire parce qu'on en a enfin le droit. Dire parce que sous d'autres cieux, le simple fait de dire peut-être courageux, dangereux, mortel ! Dire pour ne pas vendre son slam au diable.

01/2023

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Littérature étrangère

L'arbre à dires

L'arbre à dires, expression trouvée par une enfant pour désigner l'être humain, a trait à la question de l'identité. Le nom, la langue natale, le statut que l'on acquiert dans l'exil, celui de l'étranger ou de l'émigré, l'impossible retour, en sont les thèmes porteurs et récurrents. Quel que soit son destin, l'homme, cet " arbre à dires ", garde toujours la liberté de disposer de soi, de s'inventer, de s'étonner lui-même et d'étonner le monde à chaque instant.

10/1998

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Littérature française

Dans le prisme des dires

En marge de ses nombreuses publications littéraires et en cinquante ans de carrière, Gérard Blua a su développer trois types d'interventions de plume : les textes éditoriaux, les préfaces d'ouvrages, les lectures publiques. Déjà, en 1998, il avait publié un recueil d'une cinquantaine de textes allant de la rêverie poétique à l'engagement de terrain, en passant par des portraits d'écrivains, sous le titre : Ce que j'espère n'est rien sans vous, formule emblématique s'il en est, de son ouverture d'esprit et de sa constante quête spirituelle. En vingt années depuis, il n'a bien sûr jamais cessé de nourrir tous ses possibles de donner à lire sous quelque forme que ce soit, et cet ouvrage est donc en quelque sorte la suite logique du premier panorama général de ses expressions littéraires, trente-huit textes se partageant trois grands thèmes : les publications journalistiques, les préfaces et les discours. Il y a beaucoup à découvrir dans ces pages, à la fois de son habileté d'écriture et de sa manière unique de tout mettre en perspective ; à la fois de son jeu permanent avec une langue française qu'il ne connaît que trop bien et de la clarté qu'il fait jaillir de son esprit de synthèse. Il y a finalement beaucoup à découvrir d'une oeuvre éclatée sur des décennies d'engagements et de publications, une oeuvre à la périphérie de ses nombreux ouvrages, une oeuvre qui avait besoin d'une mosaïque pour la rassembler et l'éclairer. Besoin d'un prisme. Pour tous les dires de Gérard Blua.

05/2018

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Critique littéraire

Dires croisés sur eaux dérobées. Tétralogie mémorielle

Dès leur parution, au début des années 2000, loin des fastes et des vanités auxquels, malgré elle, folle du logis, la littérature convie, "D'Humaines conciliations" et "Lettre à une amie allemande" ont suscité l'estime de quelques noms connus, qu'on ne présente plus : Jacques Derrida, Jean-Pierre Faye, Elisabeth Badinter, Jad Hatem et bien d'autres. Après la parution de "Psoas" et de "Où tes traces..." Jad Hatem offrit à cette oeuvre un ouvrage dense : "La femme nodale" ; le philosophe y associe Daniel Cohen... et Thomas Mann, dyade vertigineuse. Les articles de fond, dans des revues, affluèrent. Cette oeuvre disposait, trois ans après sa parution, d'un socle solide. Dans l'indifférence de la critique française, elle suscitait des cours à l'Université Saint-Joseph de Beyrouth, des papiers aux Etats-Unis, en Allemagne, à Rome, à Montréal ; puis, venant de France et du monde, quelques centaines de lecteurs exprimaient à l'auteur leur admiration. A l'occasion de la parution de cette oeuvre, entièrement refondue, sous l'intitulé "Eaux dérobées" (1500 pages), d'après des vers présents dans le livre des "Proverbes", récrite intégralement pour "Lettre à une amie allemande", baptisée désormais "Un Saharien en son dire allemand", nous avons voulu réunir, en un colloque informel, vingt - deux contributions, écrites par des philosophes, des écrivains, des critiques, des historiens de la littérature.

03/2011

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Humour

Mes dires en brèves. Des mots à gogo

A l'aide de quelque 2300 textes concis, l'auteur nous décrit avec une certaine forme d'humour, les drôleries et les contradictions d'un monde qui n'en finit pas de s'interroger sur les progrès indéniables de l'intelligence artificielle... Une opportunité de jongler avec les mots parmi une kyrielle d'anecdotes, d'histoires, de réflexions, d'analyses alternant avec des pensées qui nous ramènent aux réalités. Cela se veut original, hors des thèmes convenus, pour que chacun puisse se distraire au fil du temps. Mes dires pour médire ?

01/2021

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