Oxford Dictionaries dictionnaire

« Par exemple, une féministe enragée », « le son strident des voix de femmes », « Je ne comprendrai jamais la psyché féminine »... Ce ne sont pas des citations tirées d'un film de Woody Allen, mais des exemples extraits des prestigieux Oxford Dictionaries, qui valent à son éditeur, Oxford University Press, une polémique quant à ses rédacteurs et ses choix éditoriaux.

Avec plus de 500 autres mots tels que « e-cigarette » ou « webisode », le mot « twerker » va faire son entrée dans les dictionnaires Oxford. Décrit comme le fait de danser « de façon sexuellement provocante, en ayant recours à des mouvements des fesses et des hanches, jambes fléchies », le "twerk" a véritablement explosé après la prestation de Miley Cyrus au cours des Music Awards 2013. Une prestation controversée que beaucoup ont adoré détester. 

Le dictionnaire britannique Oxford Dictionaries a dévoilé aujourd’hui son mot de l’année. Parmi les 10 finalistes, le vainqueur est post-truth (post-vérité) dont l’utilisation est en hausse de 2 % par rapport à 2015.

La très britannique et pour autant - d'ordinaire, du moins - rigoureuse académie de l'Oxford English Dictionnary vient de mettre à jour son vocabulaire. Et des mots, des acronymes, plus précisément, entrent non sans une certaine brutalité.

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Le terme britannique « vape » (vapoter ou vaper selon la traduction que l'on en fait en français) a été intégré dans les célèbres dictionnaires Oxford Dictionaries au cours du mois d'août, et vient d'être nommé entrée de l'année 2014, successeur du selfie de 2013. Le nouveau concept de cigarette électronique se développe au Royaume-Uni comme de l'autre côté de la Manche, et le verbe a enregistré la plus forte progression en termes d'usage.

Le Web participe activement à la culture de l'image, avec les GIFs et autres memes, mais ajoute également aux dictionnaires deux ou trois mots tirés de son lexique local. Voire même un peu plus : les dictionnaires d'Oxford, accessibles en ligne, se sont ainsi enrichis d'une série de néologismes, de mots-valises et autres créations lexicales estampillées 2.0.

Pour les dictionnaires Oxford, Gif restera comme le mot de l'année 2012. Le sens premier retenu reste celui désormais de format d'un fichier compressé permettant de traiter des images afin de créer une petite animation capable de tourner en boucle, ce que l'on nomme les gif animés.

L’année 2015 sera sous le signe des emojis. Ces petites têtes qui pleurent, rigolent ou encore sourient ont ainsi été élus « mot de l’année » par le très sérieux dictionnaire d'Oxford. Pour Oxford Dictionaries, édité par l'Oxford University Press, cela s’explique par l’augmentation intense de l’utilisation des emojis cette année. Et, comme les emojis servent à exprimer toutes nos émotions jusqu’aux plus coquines... Durex a décidé lui aussi d’utiliser ces pictogrammes dans sa dernière campagne de publicité, afin de permettre aux jeunes de parler plus facilement de sexe. 

Dès le primaire, certains élèves commencent à s’étonner du double sens de certains mots selon la discipline dans laquelle ils sont utilisés. Un point répond à une définition bien particulière autant en français qu’en mathématiques. Il en va de même d’une droite, d’un facteur, d’un delta et j’en passe.

A tout seigneur, tout honneur : c'est un autoportrait qui compose le dictionnaire déglingué que publie Sonia Rykiel chez Flammarion. Les mots, comme des diapos défilent, et on imagine la reine de la « démode », impératrice de ses presque cinquante ans de création, derrière sa frange épaisse, et sa crinière de feu, les commentant. 

Après avoir été exécuté par la chanteur américaine Miley Cyrus avec un certain succès mais aussi une bonne dose de provocation lors des MTV video awards (dimanche 25 août 2013), le « Twerking » fait son entrée dans l'Oxford dictionary, rapporte l'AFP. Le dictionnaire de référence de la langue anglaise a cédé devant le charme provocant de cette danse.

C’est une initiative plutôt originale que celle de la publication du Dictionnaire des mots manquants aux éditions Thierry Marchaisse (216 pages, 16,90 €). Il faut dire que l’ouvrage manquait car on a pour habitude de considérer la langue française comme étant très précise grâce à l’étendue du nombre de mots qui composent cet idiome.

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C’est une fausse nouvelle qui fut douloureuse, ou non, pour les amoureux de la langue de Shakespeare. Depuis hier, une information, mal comprise et relayée par la communauté Twitter, circulait sur le Net comme quoi la virgule d’Oxford n’avait plus lieu d’être pour la célèbre université britannique.

Si le dictionnaire est une sérieuse référence outre-Manche, il possède également son pendant humoristique relevant son lot de citations qui détendent les zygomatiques. Gyles Brandreth, rédacteur en chef de la cinquième édition de l'Oxford Dictionary of Humorous Quotations, a établi sa propre sélection des citations les plus drôles. Si Oscar Wilde est l'auteur le mieux représenté dans l'ouvrage, la préférence du Bitannique va à Jane Austen, quand Woody Allen constitue le mieux référencé des auteurs de boutades encore vivants.

Le comité de rédaction de l'Oxford English Dictionary a une habitude historique, faire appel au public dans la recherche de l'évolution sémantique des mots qu'il compulse. Déjà en 1879, l'éditeur James Murray avait fait une demande d'aide pour traquer néologismes et mots oubliés pour la première édition de l'ouvrage. Et contrairement aux attentes, érudits et tout public avait répondu au défi.

Les écrivains Philip Pullman et Colin Dexter ont apporté leur soutien à la campagne d'Oxford pour devenir capitale mondiale UNESCO du livre en 2014.

Le Dr Leonard Polonsky a fait un autre très généreux don, mais cette fois à la bibliothèque Bodleian de l'université d'Oxford. Le montant du don s'élève à 1,5 million £ et devra être utilisé pour la numérisation des fonds et les installations d'imagerie numérique.

Le dictionnaire américain The New Oxford American Dictionary de plus de 2000 pages compte de nouvelles entrées pour son édition 2010.

Parce que Dame Censure change régulièrement de visage et de manières, les bibliothèques de l'université d'Oxford ont décidé d'exposer les livres qui, autrefois, nécessitaient une autorisation spéciale pour être ouverts. L'exposition, organisée du 15 novembre 2018 au 19 janvier 2019, permettra de découvrir quelques-uns des 3000 exemplaires mis à l'abri des regards, car jugés « obscènes ».

La bibliothèque Bodléienne, prestigieux établissement de l'Université d'Oxford, lance une application pour smartphones.

Typique de l'ère victorienne, l'idée de compiler tous les mots de la langue anglaise pour en faire un dictionnaire est certainement laborieuse, et même pour les éminentes gens de lettres à barbes blanches qui s'y attelaient autrefois. Si la prochaine mouture de l'Oxford English Dictionary est annoncée en retard, elle actualisée à l'ère du numérique, avec pour nouveau rédacteur en chef Michael Proffitt. En marge, le passé refait surface.

Les universitaires d'Oxford viennent de mettre le doigt sur un coin de page intéressant. Parmi les grandes querelles qui sévissent autour de Shakespeare. En effet, Thomas Middleton serait, selon une analyse poussée des pièces de Shakespeare, le coauteur des oeuvres.

Les ouvrages des bibliothèques Bodléiennes d'Oxford et de la Biblioteca Apostolica du Vatican vont passer sous les scanners : au cours des quatre prochaines années, 1,5 millions de références seront numérisées afin d'en garantir l'accès sur Internet. Avec, en ligne de mire, les manuscrits grecs et hébreux, les livres réliés du XVe siècle et des ouvrages plus récents.

La bibliothèque universitaire d'Oxford, Bodleian, envisage de mettre en ligne le premier folio, imprimé et relié, des pièces de Shakespeare, datant de 1623. Un appel aux fonds de 20 000 livres est lancé pour numériser l'ouvrage, rapporte The Guardian.