Oyster streaming

Avec un catalogue de plus de 100.000 ouvrages disponibles pour 10 $ par mois, le service américain Oyster vient d'arriver à lever 14 millions $ après un nouveau tour de financements. Highland Capital Partners, déjà présent au capital, s'est relancé dans l'aventure, aux côtés de Peter Thiel's Founders Fund, déjà présent.

Dans la grande jungle en expansion des services de lecture en streaming, secouée par l'arrivée d'Amazon sur le marché avec Kindle Unlimited, Oyster faisait figure de curiosité avec un modèle uniquement basé sur le téléchargement et la lecture via une application. Jusqu'à aujourd'hui, puisque le service est désormais accessible via les navigateurs web et mobile.

La start-up new-yorkaise Oyster continue d'étendre son catalogue de titres numériques. Cet acteur du marché qui vise à rendre opérationnel pour le livre l'offre par abonnement en streaming vient d'étoffer son rayon jeunesse en incorporant cent titres Disney, rapporte Gigaom.

Marjorie est encore une petite fille et doit affronter la disparition de sa sœur aînée, Miriam.

Le site de lecture en streaming Oyster va encore pouvoir élargir son offre. La plateforme, qui propose déjà plus de 200 000 références en ligne en accès illimité pour 9,95 $ par mois,

Alter ego littéraire de Netflix, le nouveau service de lecture numérique illimitée contre souscription Oyster a été lancé au cours du mois de septembre, tarifé quelque 9,95 $ mensuels, et propose désormais un écosystème de 100.000 ebooks à ses lecteurs que ce soit via tablettes ou smartphones. Mark Coker, PDG de Smashwords, vient de révéler la part de redevance destinée aux auteurs concernés.

Cette qualité d’être « seuls », c'est-à-dire sans femme au moment de leur voyage, en fait les réunit.

Le service d'accès aux livres numériques Oyster, qui propose un modèle « façon Spotify » autorisant l'accès illimité à un vaste catalogue contre un forfait mensuel, augmente encore son catalogue. 500 éditeurs ont ainsi dit oui à ce nouveau modèle de consommation, tandis que la grande maison HarperCollins a ajouté 10.000 titres supplémentaires au catalogue du service en ligne.

Au cours d'enquêtes en infiltration, ou de reportages au long cours, les pratiques et l'état d'esprit qui règnent chez Amazon ont été décrits et analysés à n'en plus finir. Mais il est rare qu'un employé de longue date revienne sur son expérience, ce qu'a fait Kevin Nguyen, éditeur chez Amazon Books, à l'occasion d'un transfert chez Oyster. 

La société Oyster a décidé de perfectionner son outil d'offre illimitée de livre, en instaurant un outil de listes de lecture. Ces dernières, ajoutées au profil de l'utilisateur, peuvent être partagées sur les traditionnels réseaux sociaux et avec ses contacts Oyster. Pour inaugurer la fonctionnalité, plusieurs auteurs se sont prêtés au jeu, en fournissant leurs propres listes de recommandations.

Le service de lecture contre souscription Oyster vient de mettre à jour ses applications iOS et Android. La page d'accueil bénéficie d'une refonte, et offre désormais de plus vastes mosaïques de couvertures de livres pour mettre en évidence les recommandations en fonction de ce que l'usager a lu, notamment au moment de sa connexion à l'app.

Une extension pour le navigateur web Google Chrome indique à un internaute qui visite le site Amazon si le livre qu'il examine dans la librairie en ligne est disponible dans l'offre de lecture illimitée d'Oyster. Mis en ligne la semaine dernière, l'outil qui coupe l'herbe sous le pied de la firme de Bezos, au profit d'Oyster, n'est pas le premier du genre.

Le service américain Oyster vient d'ouvrir, pour une période limitée, un accès à 100.000 livres numériques, pour 9,95 $ par mois. Actuellement, l'application n'est accessible que sur iPhone et uniquement sur le territoire américain. Mais le modèle Netflix se développe autour du livre numérique, et la version iPad est prévue pour cet automne.  

La grande difficulté dans l’exercice de l’éloge reste la navigation.

Le 20 novembre dernier, la société Oyster a procédé au lancement de deux nouveaux services. Le premier, baptisé The Oyster Review, est une revue littéraire, tandis que l'Author Advisory Board doit permettre aux auteurs d'obtenir des retours de la plateforme, concernant ses décisions touchant à leurs contenus et produits.

On connaît déjà le système de lecture expérimental de Spritz, à l'avant-garde d'une nouvelle méthode de lecture basée sur le défilement rapide, qui permettrait de combiner rapidité et efficacité sur écran. Spritz vient de passer un accord de partenariat avec un autre novateur du secteur numérique : le site de lecture illimitée Oyster. 

Oyster s’est lancé voilà deux ans, avec l’intention de « façonner une meilleure manière de lire sur mobile », explique l’équipe. L'offre d'abonnement de lecture, en illimité s'est largement débattue, pour se faire une place. Et si ce projet semble avoir été en grande partie atteint, le bilan que formule la société n’augure en fait qu’une chose : le projet s’arrête. 

Fin 2012, la société Oyster ne pesait pas énormément dans la balance : quand elle assurait qu'un Netflix du livre numérique aurait toute sa place sur le Web, et son public, il était permis de sourire. À présent, l'huître a trouvé sa perle et vient concurrencer Amazon ou Scribd sur le terrain de la lecture illimitée. Preuve de sa bonne foi auprès des éditeurs, le service propose désormais les achats à l'acte, en plus de la lecture illimitée.

Alors que Scribd annonce une bibliothèque de 300.000 titres proposés au travers de son service d'abonnement, Oyster, pour sa part, tente de conquérir de nouvelles parts de marché sur les tablettes et appareils iOS. L'application, qui propose pour 10 $ par mois de disposer d'un nombre illimité de livres numériques a connu une mise à jour qui encourage au voyeurisme. Rien de transcendant, mais tout de même…

Après l’arrivée tapageuse d’Apple dans le streaming audio, voilà qu’on apprend que le réseau social Facebook y pense aussi. Pourtant, le business model du streaming n’a rien de bien solide et tous les acteurs de ce secteur sont encore en recherche de solutions (voir notre actualitté).

La société canadienne Harlequin est passée dans le giron de l'éditeur HarperCollins pour sauver le groupe Torstar, originellement spécialisé dans la presse. Après avoir obtenu l'accord des actionnaires pour une transaction de 300 millions $, Harlequin poursuit son bonhomme de chemin en développant son offre de lecture en streaming. De manière colossale.

La lecture en streaming de livres va arriver en Italie, grâce à l'initiative d'un ingénieur qui avait décidé d'émigrer en Allemagne. Raffaele de Tintis a mis en place un modèle qui est aussi simple que contemporain : lire, sans téléchargement. Son projet, Bookstreams.it semble donc la première solution de lecture en streaming proposée pour l'Italie, avec des modalités forfaitaires assez intéressantes. 

Selon le directeur général de Circulo de Lectores, sa nouvelle plateforme de contenus numériques Booquo ne ressemble à aucune autre. En intégrant le modèle du réseau social à celui d'une plateforme comme Spotify (pour le livre), Circulo de Lectores espère bien intéresser ses abonnés.

Inoffensif en apparence, le streaming porte une lourde responsabilité dans la crise environnementale en cours. En quatre volets, relatée par la romancière Lison Daniel (Les Caractères, Grasset) est une fable écologique. Elle raconte l’irrésistible expansion d’une technologie devenue omniprésente et incontournable, ainsi que des propositions d’écogestes pour réduire son empreinte carbone.

Le service de lecture en streaming, Oyster, vient de publier une infographie présentant les comportements des utilisateurs de son service, selon qu'ils utilisent des appareils Android ou iOS, au travers de ses applications dédiées. Les différences sont notables entre les deux : par exemple, les utilisateurs iOS auraient tendance à plus lire la nuit.

L'apparition des services d'abonnement et de lecture en streaming, dans le domaine du livre, reste relativement récente. En France, trois acteurs se partagent ce secteur : Youboox, YouScribe et Iznéo, pour le secteur particulier de la bande dessinée. Les éditeurs restent frileux vis-à-vis de ces services, qu'il s'agisse de ceux par abonnement payant ou avec l'affichage de publicités. La crainte de la cannibalisation des ventes à l'unité est réelle.

Non, Gallica n'est pas le prochain YouTube, et, a priori, des bibliothécaires ne vont pas s'improviser Gallicabers pour nous présenter des films patrimoniaux (enfin, qui sait...). La bibliothèque numérique de la Bibliothèque nationale de France a toutefois ouvert une section vidéo, qui propose pour l'instant 700 vidéos tirées des collections du Réseau Canopé, soit les productions de la radio-télévision scolaire entre 1954 et 2004...

La plateforme de streaming Crunchyroll, qui avait déjà testé la coproduction, se lancera bientôt dans la production, carrément. Comme sa grande sœur Netflix, le moment semble donc venu pour la société de se lancer et de parier sur ses propres adaptations de licences. Dès le départ, c'est un public international qui est visé, pour faciliter une diffusion auprès de tout le réseau d'utilisateurs.

Depuis 2007, Scribd est une plateforme américaine de consultation de documents en ligne : chacun pouvait y déposer des fichiers pdf pour les partager avec d’autres utilisateurs. Mais depuis quelques années, Scribd s’oriente vers un autre modèle économique, celui du livre numérique et de l’audiobook. Une fois qu’il a souscrit à un forfait « illimité », l’utilisateur inscrit peut lire en ligne et/ou télécharger des milliers d’ebooks, écouter des livres audio, tout ça pour 8,99$/mois. Ça vous rappelle quelque chose ?

Fondée en 2015, l’application Nextory a connu un certain succès, appuyé par de sérieuses ressources. Son offre de bibliothèque illimitée, disposant de 300.000 ebooks et audiolivre s’est propagée ces dernières années en Suisse, Allemagne, Autriche, Pays-Bas, Norvège, Finlande et Danemark. Disponible sur iOS et Android, elle complète son offre avec le rachat de Youboox, son pendant français.