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Essais

Aux origines du Je. L’œuvre de Piera Aulagnier

Actes du Colloque de Cerisy, juillet 2021, autour de l'oeuvre de la psychanalyste Piera Aulagnier, co-fondatrice du Quatrième Groupe. Avec les contributions de Dominique Bourdin, Catherine Chabert, Emmanuelle Chervet, Jean-François Chiantaretto, Aline Cohen de Lara, Ellen Corin, Mireille Fognini, Florian Houssier, René Kaës, Isabelle Lasvergnas, Pierrette Laurent, Ghyslain Lévy, Yves Lugrin, Catherine Matha, Jean-Claude Rolland, Dominique Tabone-Weil, Evelyne Tysebaert, Claire De Vriendt-Goldman.

11/2022

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Psychologie, psychanalyse

PENSER LA PSYCHOSE. Une lecture de l'oeuvre de Piera Aulagnier

Peut-on penser la psychose, le sens de ses symptômes, la teneur de ses discours, les conditions de son apparition ? Cette ambition, nécessaire pour rencontrer et entendre les psychotiques, conduit à réinterroger et, en partie, à reformuler la conception freudienne de la psyché. Tels ont été le point de départ et l'axe central des travaux de Piera Aulagnier. L'exigence de réflexion qu'elle s'est donnée l'a engagée dans des constructions nouvelles sur les débuts de la vie psychique reposant sur des notions devenues désormais incontournables comme le " pictogramme ", la " mère porte-parole ", ou la " violence de l'interprétation ". Dans ce livre, Sophie de Mijola-Mellor propose une approche extensive et raisonnée des apports majeurs et de l'évolution de l'œuvre de Piera Aulagnier. Elle étudie les thèmes travaillés par cet auteur, marque les évolutions d'une pensée en perpétuel mouvement, la confronte avec celle de Freud mais aussi, en partie, Melanie Klein, Bion ou Winnicott. Cet ouvrage montre combien son œuvre renouvelle profondément la relation mère/enfant, élabore une nouvelle métapsychologie de la représentation et ouvre une manière de penser la question du sujet et celle du collectif qui constitue une contribution capitale à la psychanalyse.

11/1998

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Littérature française

Grand-père, je t'ai trouvé. Une incroyable enquête de la Retirada à Mauthausen sur les traces d'un républicain espagnol porté disparu pendant soixante ans

Quête impensable : soixante ans après les faits, retrouver un mort parmi les millions de morts de la Seconde Guerre mondiale. Républicain andalou, séparé de sa femme et de ses enfants, réfugié en France, Antonio Ariza Baca n'est pas rapatrié en 1945, à sa libération du camp de Mauthausen. Qu'est-il arrivé à ce héros familial, père fantôme et grand-père chimérique ? Liant la grande Histoire aux récits de famille, David Pineda a mené une enquête de cinq années, pour reconstituer le puzzle du parcours de son grand-père et résoudre le mystère de sa disparition. Refusant les vérités préétablies, les inerties administratives et les pièges des archives, David Pineda retrace patiemment la vérité. Il raconte l'histoire des dizaines de milliers d'espagnols contraints de fuir leur pays, et celle de leurs familles, laissées dans le silence et le doute.

01/2020

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Littérature étrangère

La chair de René

L'action se situe dans une ville portuaire gigantesque. Rien n'y rappelle Cuba. Le père du héros, Ramon, est le leader d'une conspiration mondiale en lutte pour le droit du peuple à manger et boire... du chocolat. Comme l'ensemble des membres de la Cause, l'homme est sadomasochiste. Aussi le père souhaite-t-il rendre son fils apte au " service de la douleur ". L'initiation du jeune René commence le jour de ses vingt ans, hélas c'est un bien mauvais disciple. Dans une école atroce et grotesque où l'on ne cultive que les corps, René met en déroute les fanatiques. Ce roman culte, Pipera l'a écrit à partir de 1949 à Buenos Aires. Il s'agit de son premier roman, tellement fort et insolite que les critiques l'ont comparé à Ferdydurke de Witold Gombrowicz et aux Enfants Tanner de Robert Walser.

08/2005

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Beaux arts

Jean-Charles Bouloc

Ce bel ouvrage est la monographie du peintre Jean-Charles Bouloc. Jean-Charles Bouloc est né le 25 novembre 1930 dans l'Aveyron en France. Après des études secondaires, puis les Beaux Arts, il part découvrir le monde. A l'âge de 18 ans, commence une jeunesse voyageuse, vouée à la peinture et au dessin. Il ira en Afrique (Egypte, Sénégal, Ghana...), réalisant des portraits, participant à l'expédition ethnologique de Lhote en 1956, puis mène une vie d'aventurier. Jean-Charles Bouloc retournera en Europe en 1957 pour s'y marier. Il aura une fille, Virginie. Les voyages reprennent au Brésil, en Afrique du Nord. En 1962, de retour à Paris, où il a créé une boîte de nuit. Il y rencontre Laiza et Francis Sandford, rencontre qui va l'emporter vers le Pacifique. Il débarque à Tahiti le 13 juillet 1962. Il a mis fin à son mariage et s'installe à Bora Bora. Ses premières années en Polynésie sont marquées par de nombreuses rencontres d'îles en îles, par son goût de peindre, ses premières expositions et le décès de sa fille en 1963. Il s'applique à découvrir les îles Polynésiennes, peint en s'imprégnant de son environnement. Sa première exposition à la Galerie Winkler date de 1964. L'année suivante, Jean-Charles Bouloc part aux Etats-Unis. Il restera trois ans à Hollywood, vivant de sa peinture, exposée à la Galerie MacKenzie où il aura le plaisir de rencontrer le peintre Andrew Wyeth. A son retour à Tahiti, il voyage à nouveau, aux Australes, aux Marquises puis au Cambodge. En 1969, il épouse Marguerite Liu, dont il aura deux fils, Stéphane et Dewi, et il ouvre une galerie d'antiquités orientales "Noa Noa" à Papeete. Il y expose sa peinture et celle d'autres peintres. Un de ses portraits sera choisi comme timbre officiel de la Poste de Polynésie française et obtient le premier prix de la Philatélie. Pendant trente ans, installé avec sa famille à Tahiti, Jean-Charles Bouloc, va quand même voyager abondamment en Asie (Cambodge, Vietnam, Chine, Indonésie...), élargissant le cercle, cette fois à la recherche d'étoffes, de tapis, d'objets de rituels, de céladon, de porcelaines pour alimenter sa galerie. Il reprendra ses travaux de peinture en 1980 et s'y consacrera totalement après la fermeture de sa galerie "Noa Noa" en 1990. Il exposait régulièrement à la galerie Winkler à Papeete. Jean-Charles Bouloc est mort début mars 2014 sur l'île de Tahiti.

11/2009

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Musique, danse

Le corps musicien. Vers une méthode sensorielle de l'interprétation pianistique

Sous l'éclairage des recherches en neurosciences et en psychologie cognitive de la musique, ce livre propose un nouveau regard sur la place du corps dans l'apprentissage musical, notamment dans la construction de la technique pianistique et, plus largement, de l'interprétation musicale. Pouvons-nous optimiser l'apprentissage instrumental grâce aux apports des sciences cognitives ? Comment mobilisons-nous notre corps pour faire de la musique ? Comment la prise de conscience des processus perceptifs et corporels peut-elle contribuer à améliorer une technique instrumentale ? Le corps est le premier instrument du musicien. Or, trop souvent, il en ignore le fonctionnement puisqu'il ne lui a jamais été enseigné. L'intégration de l'expérience corporelle dans la pédagogie musicale connaît un développement et un intérêt croissants dans de nombreux pays. Malgré cette tendance, en France, la place du corps dans l'enseignement de la musique reste marginale, voire inexistante, et l'enseignement par une approche intellectuelle demeure la pratique courante. Pour l'auteure, les apports des sciences cognitives et la prise de conscience corporelle constituent des éléments vers une méthode sensorielle de l'interprétation ainsi que l'ouverture vers une pratique instrumentale plus satisfaisante, performante et épanouie.

05/2019

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