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Pancol

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Littérature française

Georges Pancol

Georges Pancol (1888-1915) est l'une des figures de la " génération perdue ", selon l'expression de Michel Suffran, de jeunes écrivains originaires de la région de Bordeaux dont beaucoup de représentants ont disparu dans la Grande Guerre. Ce jeune intellectuel brillant avait commencé au début de l'année 1914 une prometteuse carrière de haut-fonctionnaire comme élève-administrateur au Gouvernement général à Hanoï. Grâce aux Lettres d'Indochine et aux Lettres de France, qu'il a adresses à sa famille au cours des années 1914 et 1915 et dont on trouvera ici une nouvelle édition enrichie de nouveaux éléments ; on peut lire un récit intime et- circonstancié des deux dernières années de sa vie. Pendant cette courte, mais intense période, il a découvert le Tonkin, plus particulièrement la Baie d'Along, la Chine, pour un bref voyage professionnel, puis la guerre dans les tranchées de Champagne. A mi-chemin entre un journal de voyage et des mémoires improvisés, ces Lettres nous font découvrir un Georges Pancol jusque-là inconnu.

02/2019

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Littérature française

Eugène et moi

Katherine, la blonde, et Eugène, la rousse, n'ont rien en commun, si ce n'est leurs vingt ans et un mot d'ordre : "Sans risque, la vie est trop triste"!

11/2020

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Littérature française (poches)

La Valse lente des tortues

Ce livre est une bourrasque de vie... Un baiser brûlant du seul qu’on ne doit pas embrasser… Deux bras qui enlacent ou qui tuent… Un homme inquiétant, mais si charmant… Une femme qui tremble et espère ardemment... Un homme qui ment si savamment… Une femme qui croit mener la danse, mais passe son tour… Des adolescents plus avertis que les grands... Un homme qui joue les revenants… Un père, là-haut dans les étoiles… qui murmure à l’oreille de sa fille... Un chien si laid qu’on s’écarte sur son passage… Des personnages qui avancent obstinément... comme des petites tortues entêtées… qui apprendraient à danser lentement, lentement… dans un monde trop rapide, trop violent...

06/2009

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Littérature française

Trois baisers. 2 volumes [EDITION EN GROS CARACTERES

Tous les personnages chers à Katherine Pancol et à ses lecteurs sont de retour. Et ça crépite ! Les histoires se nouent, s’emmêlent, se tendent, éclatent, repartent. On craint le pire, on espère, on respire, on retient son souffle jusqu’à la dernière ligne. Des rencontres, des espoirs, des trahisons, des soupçons, des idylles qui surgissent sans prévenir. Et des baisers qui vont se poser là où on ne les attendait pas.

08/2018

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Littérature française (poches)

Coffret Muchachas. Contient Muchachas 1 ; Muchachas 2 ; Muchachas 3 et un carnet

Un coffret qui regroupe les 3 tomes : Muchachas 1 Les filles sont partout dans ce roman. Elles mènent la danse. De New York à Paris, de la Bourgogne à Londres ou à Miami. Des filles qui inventent, s'enflamment, aiment. Des filles qui se battent pour la vie. Et les hommes ? Ils sont là aussi. Mais ce sont les muchachas qui dansent, dansent, dansent. Elles font voler les destins en éclats. Et ça n'en finit pas ! Muchachas 2 Ces filles-là sont intrépides. Elles ne demandent rien aux autres. Tout à elles-mêmes. Cachent leur peur sous un sourire. C'est le plus sûr moyen pour avancer, inventer, s'inventer. Elles se sentent pousser des ailes, s'envolent, tombent et repartent de plus belle. Il y a des secrets, des mystères, des trahisons. Des obstacles à surmonter. Des mots d'amour lancés à la volée. La vie, quoi ! Muchachas 3 Pour certaines, c'est l'heure de la revanche. Pour d'autres, celle de la délivrance. Ou de l'espérance. Tout se noue, se dénoue, se renoue. Les muchachas avancent à grand pas. On ne sait jamais ce qui va arriver. On retient son souffle, on croise les doigts. Et viva las muchachas !

05/2016

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Littérature française

Les Hommes cruels ne courent pas les rues

- Je n'ai jamais aimé que les hommes cruels, m'avait déclaré Louise Brooks. Les hommes gentils, c'est triste, mais on ne les aime pas. On les aime beaucoup mais sans plus. Vous connaissez une femme qui a perdu la tête pour un gentil garçon ? Moi, non. Un homme cruel est léger, riche, infiniment mystérieux... Imprévisible. Il vous tient en haleine. Alors qu'on finit par en vouloir à un homme à qui on peut toujours faire confiance... Mais vous aussi vous aimez les hommes cruels, n'est-ce pas ? Vous n'aimez pas qu'ils vous approchent ? J'avais hoché la tête. Hélas ! les hommes cruels ne courent pas les rues. Pour être cruel, il faut être oisif. Gamberger sans fin les petites ruses qui vont égratigner puis saigner l'autre à blanc, le forcer à attendre, à supplier, à se rendre, lui instiller le poison sous la peau même et l'enchaîner à vous pour l'éternité. Alors, mon petit papa chéri, t'as compris ? Tu vois ce qu'il te reste à faire ? Toi qui est peinard LA-HAUT... Tâche de repérer un type bien et de me l'envoyer fissa. Tu connais mes goûts : un peu comme toi quoi, grand brun, flegmatique et qui m'en fait voir de toutes les couleurs. Un avec qui faire la guerre. Et la paix. La guerre. Et encore la apix. Un qui ne se rende jamais...

12/1990

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