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Paradoxes

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Philosophie

Métaphysique du paradoxe. Tome 1, Paradoxes et limites du savoir

" Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? " (Leibniz). " La vie, c'est la mort ! " (Claude Bernard). Un seul Dieu en trois personnes ! Nul n'est censé ignorer la loi, mais personne ne saurait la connaître. C'est vrai ou c'est réel ? C'est subjectif ou objectif ? Peut-on connaître ce à quoi on ne croit pas ? Les paradoxes, irréductibles contradictions, sont partout ; dès que l'on naît pour mourir et sitôt que l'on essaie de comprendre l'univers, l'homme, la société ou Dieu. Cette paradoxalité des choses, et de la logique pourtant censée aider à les penser, est tout à la fois la seule façon de connaître (notamment les paradoxes scientifiques ou cognitifs) et la limite indépassable de tout savoir rationnel. C'est pourquoi cette Métaphysique du paradoxe entend proposer une modalité paradoxale du connaître. Distinguant de la raison, l'intelligence qui la dépasse, un tel mode du connaître apparaît au revers de la connaissance analogique, s'illustre dans la dialectique platonicienne et, débordant tout conceptualisme, s'affronte au paradoxe d'une non-contradiction absolue.

11/2019

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Religion

Paradoxes

Journal d'un jésuite au cœur du monde, pensées d'un théologien au service des chrétiens, aphorismes d'un maître spirituel, les célèbres " Paradoxes " de Henri de Lubac sont tout cela à la fois. Ils forment la part la plus personnelle de ses écrits. Chacun d'entre eux peut être médité ou, pour mieux dire, goûté séparément. Les " Paradoxes " offrent une lecture idéale à l'homme d'aujourd'hui, croyant ou incroyant, intellectuel ou pragmatique. Ils constituent la meilleure introduction à son œuvre. Ce volume contient tous les recueils des " Paradoxes " : " Paradoxes " (1946), " Nouveaux paradoxes " (1955), " Paradoxes, suivi de Nouveaux paradoxes " (nlle éd. augm., 1959), " Autres paradoxes " (1994) ; quatre articles rares, contemporains des premiers " Paradoxes " (1942-1946) ; un inédit sur Mgr Marcel Lefebvre (1964). Note introductive de Georges Chantraine et Michel Sales. Traduction des textes en langues étrangères. Index des noms propres.

11/1999

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Littérature française

Paradoxes

Les "Paradoxes", attribués au grand lexicographe, médecin et vulgarisateur que fut Charles Estienne, sont une très libre paraphrase des "Paradossi" milanais d'Ortensio Lando (1543). C'est à travers l'oeuvre d'Estienne, publiée pour la première fois en 1553, rééditée dix-neuf fois jusqu'en 1638, que le genre du paradoxe connut sa plus grande diffusion dans l'Europe de la Renaissance. Traitant de sujets aussi divers que richesse vs pauvreté, ignorance vs savoir, beauté vs laideur, lubricité vs sobriété, ces Paradoxes reprennent des thèmes chers à l'humanisme, mais pour remettre en cause leur valeur, ridiculisant la comédie humaine et esquissant, comme en filigrane, une certaine morale sociale de tendance stoïcienne.

10/1998

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Théâtre - Pièces

Paradoxes

Paradoxes est un cri du coeur, un appel testamentaire à l'adresse d'une génération en déphasage avec les vraies valeurs, souvent empêtrée dans des contradictions motivées par des espoirs déçus, l'absurde et l'égarement. Francis Burobu Djiémbi tente, à travers le personnage de Kombila Ngunzi, de mettre en relief les contingences d'une vie dévoyée par les appétits parasitiques d'une jeune dame, Ngusu Tsiedidi, dont le seul espoir de réussite reste, après son échec scolaire, le monnayage de son corps et l'instrumentalisation du fruit de sa conception. Stratégie non payante puisque, à ses dépens, son fils Mukambi Kombila devient son bourreau...

03/2024

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Littérature française

Paradoxes sociologiques

" Dans une réunion mondaine berlinoise un peu nombreuse, j'étais assis en un coin, et contemplais le tableau que j'avais devant les yeux. Le maître de la maison contraignait son visage dur et récalcitrant au sourire figé ou plutôt au ricanement d'une danseuse, trahissant trop clairement qu'il a été emprunté pour la circonstance au costumier. La maîtresse de la maison donnait à ses lèvres passées au rouge une courbe aimablement doucereuse et décochait de temps à autre sur quelques invitées plus jeunes et plus jolies qu'elle, des regards chargés d'un triple extrait de venimeuse envie. Les jeunes filles jouaient, les unes adroitement, les autres si malhabilement qu'on se sentait tenté de les siffler et de leur lancer des pommes cuites, le rôle vaudevillesque de l'ingénue. ahurie et intimidée. C'étaient des petites bouches oubliées entr'ouvertes dans un trouble charmant, des yeux levés au ciel dans une extase sans cause, c'étaient des "ah ! " et des "oh ! " complètement idiots, des explosions de petits rires imbéciles, tels que peuvent en avoir des huîtres chatouillées par un doigt espiègle, des petites réponses spirituelles de nature à vous faire lever les bras et à pousser des hurlements de douleur ; et au milieu de toutes ces minauderies et manières précieuses, le sang-froid merveilleux d'un guerrier blanchi sous les armes, de temps en temps un regard dérobé acéré et impitoyable sur une rivale, un jugement cruel ou haineux sur sa personne et sa toilee, une estimation boutiquière minutieuse du prix ce celle-ci, l'observation scientifiquement exacte ce la durée de sa conversation avec les différents messieurs, et la constatation du nombre de ses danseurs et adorateurs ; et au cours de ce froid calcul de tête, à tout instant un agenouillement mental enthousiaste devant sa propre personne, et la répétition de la fervente litanie d'adoration personnelle : "C'est toi qui es la plus belle, la plus intelligente, la plus gracieuse de toutes".

01/2023

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Littérature française

Paradoxe

Samuel Summer a été élevé au sein d'une famille noble et aisée, ce qui n'a pas empêché son enfance et son adolescence d'être traumatisante. Le jour de ses 10 ans, il perd ses deux parents et sa soeur dans un accident de voiture. Il saute d'un arbre pour se suicider. Le choc le rend amnésique et muet pendant 3 ans. Il vit ensuite deux années d'enfer dans un pensionnat. A quinze ans, il est agressé et violé. Lors de ses études de médecine, il s'adonne à la musculation pour ne plus être victime des brimades de ses camarades, puis par au Vietnam et massacre une vingtaine de Viet Kong. Il tue ensuite son infirmière et un travesti, rentre au Etats-Unis et achète une clinique en Califormie pour s'installer comme chirurgien. Un roman parfait maîtrisé sur le thème du serial killer, avec une réelle justesse, Sydney Penouel décrit la progression de la folie chez Samuel. Entre cauchemar et réalité, l'intrique nous emporte à la suite de ce personnage sociopathe, dont la souffrance intérieure ne peut se soulager que dans le meurtre.

03/2014

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