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Policiers

Parc Gorki

Le parc Gorki à Moscou, c'est l'endroit où tout le monde va : les employés pour déjeuner, les grands-mères avec les enfants, les garçons et les filles pour patiner. Alors, lorsqu'à la fonte des neiges on découvre trois corps défigurés et que l'inspecteur principal de la brigade criminelle de Moscou, Arkady Renko, tombe sur un agent du K.G.B. déjà sur place, le major Pribluda, il sait qu'il ne s'agit pas de meurtres ordinaires. Les affaires dont s'occupe Arkady sont, en général, typiquement russes : c'est-à-dire qu'elles comprennent des doses à peu près égales de vodka, de jalousie, d'ennui et de désespoir. Il a donc toutes les raisons de s'étonner que le K.G.B. lui laisse une enquête qui très rapidement remonte au plus haut niveau de la hiérarchie soviétique et lui fait pénétrer la puissante Nomenklatura. Surtout quand un inspecteur de la police new-yorkaise, obsédé par l'idée de venger une de ses victimes, rosse Arkady puissant homme d'affaires américain, amateur sensuel d'un luxueux établissement de bains où se réunissent les apparatchiks du Kremlin, semble lui aussi impliqué dans ces meurtres. Et, c'est dans le Moscou du pouvoir, celui des datchas au bord de l'eau et des clubs ultra-réservés - et aussi dans le Moscou des asiles psychiatriques - qu'avec l'aide d'Irma, une jeune dissidente de la Mosfilm, il découvrira derrière les morts du parc Gorki une corruption de la société soviétique - et américaine - plus profonde qu'il ne l'aurait jamais cru possible. La critique américaine a comparé Martin Cruz Smith à John Le Carré. Elle a accueilli Parc Gorki comme l'un des romans de suspense les plus originaux de ces dernières années. Parc Gorki n'est pas seulement une totale réussite par son sens du mystère et son rythme, il apporte aussi une analyse pénétrante de la société russe d'aujourd'hui et du plus soigneusement protégé de ses rouages.

11/1981

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Littérature française (poches)

Le parc

Une histoire dont on ne sait si elle est d'amour ou de mort ; trois personnages en fuite ; les échos d'une guerre en Orient ; une méditation avant la fin... Quelle est cette femme interdite, discrète ? Qui est ce jeune homme dont la vie est en danger ? Qui raconte, seul dans une chambre, cette confession au bord de l'abîme ? Pas de grands mots ni d'événements spectaculaires. Tout se passe avec précision, de façon étouffée, feutrée. Et si la tragédie était là : dans le fait qu'il n'arrive jamais rien, que le vide ?

05/2001

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Littérature française

Parc sauvage

Septembre 42. Deux enfants d'une dizaine d'années, Dora et "Jacques" (c'est son nouveau prénom, il ne faut pas qu'il l'oublie), arrivent dans une grande propriété des Corbières. Dora est venue avec Vlad, son oncle, "qui ne peut plus jouer en ce moment". Sa mère est restée à Toulouse. Les parents de "Jacques-maintenant" sont il ne sait où, loin. La maison est vaste. Il y a des poules, des canards, des vignes, les "jumeaux", qui se ressemblent tellement qu'ils ne savent peut-être même pas eux-mêmes qui est Joan et qui est Jean. Il y a Teresa, leur mère, qui parle catalan, venue avec Jim, qui parle anglais ; et Camillou, leur grand-père, que Dora aime dès qu'elle le voit. Sainte-Lucie lui appartient et il les reçoit, "en attendant". En attendant qu'on vienne les chercher pour les emmener dans la montagne, vers l'Espagne. Les enfants jouent, explorent. Ils découvrent le Parc Sauvage. Au fond du parc, le Vieux Bassin abandonné, sans eau, ses figuiers, ses lézards. Et là...

01/2008

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BD tout public

Le parc

Dans un parc londonien, deux familles monoparentales entrent en conflit. Entre tragédie grecque et slapstick, Zarate démêle l'écheveau des relations humaines et célèbre le pouvoir civilisateur de la nature. Par le dessinateur de "Freud et l'hystérie".

11/2017

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Littérature française

Parc fermé

Orangina ou diabolo-grenadine ? Pastis ou Ricard ? Tennis ou piscine ? Gitanes maïs ou Belga filtre ? Se raser ou pas ? Etre fidèle ou pas ? On est en vacances, finalement peu importe. Avec Parc fermé, l'auteur nous livre, entre été 1977 et hiver 2020, entre Côte d'Azur et banlieue industrielle liégeoise, entre bleu ciel et gris foncé, un condensé de nostalgie où se mêlent la perfection des seins de Magali, une naïade de dix-huit ans entr'aperçue dans une piscine au bleu trop bleu, et le visage d'une mère fantasmée qui aurait décidé, dans un monde dominé par les hommes, de faire entendre sa voix. De rendre visible l'invisibilité des femmes. "Après la sieste, elle se réveille dans un parc, le parc fermé d'un enfant. Elle essaye d'en sortir mais l'espace entre les barreaux est trop mince pour que son corps puisse s'y glisser. D'abord, elle prend ça comme un jeu, trouve amusant le défi d'en sortir, en fait plusieurs fois le tour, d'un côté puis de l'autre. Lorsqu'elle se rend compte qu'il n'y a pas d'issue possible, très vite ses rires se transforment en pleurs, puis en cris lorsqu'elle s'aperçoit qu'une presse se substitue au mobile coloré que son père avait accroché au plafond de sa chambre d'enfant pour tromper l'ennui et lentement, inexorablement, descend sur elle, aplatit son corps, le compacte avec indifférence, comme la carcasse d'une vieille voiture"

09/2021

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Littérature française

N. Parc

Livre d'artiste et journal de création

10/2014

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