Pearson groupe revenus

Le groupe d'édition britannique Pearson vient de communiquer sur ces résultats du premier semestre 2014. Les chiffres donnés ne sont pas particulièrement bons, avec un bénéfice qui s'inscrit en baisse. Le groupe explique cette situation par des coûts de restructuration qui s'inscrivent en augmentation. Les effets de change auraient aussi nui à l'éditeur, selon l'agence Reuters.

Malgré des résultats en hausse, Pearson poursuit sa politique de suppression de postes dans le cadre d'un vaste plan d'économies. Après la vente de 22 % du groupe Penguin Random House à Bertelsmann, qui en devient l'actionnaire majoritaire, Pearson cherche encore à améliorer ses résultats, qui sont pourtant redevenus positifs.

Des résultats plutôt mornes et la vente du Financial Times en juillet dernier laissaient croire que le groupe d'édition britannique Pearson était en mauvaise posture. Des rumeurs commençaient même à circuler sur le détenteur de 47 % du consortium Penguin Random House : on évoquait une possible vente au bénéfice de Bertelsmann, l'autre propriétaire de PRH. Mais Pearson vient de balayer ces bruits de couloir... pour un certain temps.

Après 16 ans de direction à la tête du groupe Pearson, numéro un mondial de l'édition scolaire et éditeur du Financial Times, Marjorie Scardino, âgée de 65 ans, prend une retraite anticipée.

Comptant parmi les groupes éditoriaux les plus puissants au monde, Pearson, dont l'activité historique dans l'éducation a été considérablement bouleversée par le numérique, poursuit sa diversification. Pour 140 millions $, le groupe s'offre ainsi Credly, une société dans laquelle il possédait déjà des parts.

À l'occasion de sa grande réunion annuelle, le groupe Pearson a dévoilé ses premiers résultats pour l'année 2013, qui couvrent la période de janvier à mars 2013 : pas d'inquiétudes pour l'un des premiers groupes d'édition du monde, les résultats sont bons. Très bons même, puisque les analystes notent une hausse des ventes.

Dans un communiqué publié le lundi 4 novembre, le géant britannique de l’édition scolaire Pearson annonce sa toute nouvelle acquisition. Il s’agit de Lumerit Education, un organisme de formation professionnelle. La transaction a eu lieu de 31 octobre dernier et s’élève à 29 millions de dollars. 

Le groupe Pearson, spécialisé dans les ouvrages scolaires et contenus pédagogiques, et parmi les plus importants éditeurs du monde, annonce un chiffre d'affaires légèrement en baisse pour l'année 2018. Néanmoins, les bénéfices sont en hausse, et la direction promet des performances qui s'améliorent ainsi que des frais liés au groupe réduits.

C'est un investissement d'ampleur, réalisé par Pearson, qui s'est offert, un peu avant Nouyel, Grupo Multi, société de formation de langue anglaise, implantée au Brésil. Celle-ci prend en charge, indirectement, plus de 800.000 élèves, à travers plus de 2600 écoles. 

6,7 milliards £, voici le montant de l’offre proposée pour le groupe Pearson. Et que ce dernier vient de refuser, pour la troisième fois — faisant, par conséquent, grimper la valeur de son cours en bourse de près de 22 %, indique l’agence Reuters. Le chèque émanait de la société Apollo, groupe de capital-investissement, qui désormais renonce à reprendre l’entreprise…

Comme le rapporte Reuters, malgré un contexte mitigé en termes de consommation, la baisse des revenus de la Fnac a été facilitée par l'essor de ses ventes en ligne et la progression des nouvelles familles de produits du détaillant de biens culturels et électroniques. Sur 2014, le groupe a réalisé un chiffre d'affaires de 3,89 milliards d'euros, stable à périmètre et taux de changes constants, alors qu'il avait reculé de 3,1 % l'année précédente.

L'éditeur Pearson, spécialisé dans les manuels scolaires et les contenus pédagogiques, vient d'échapper à un procès de grande ampleur : deux auteurs avaient porté plainte en 2014 pour des paiements de droits qu'ils jugeaient inférieurs à ce que l'éditeur gagnait avec leurs ouvrages. Les prix des manuels sont en forte hausse, expliquaient les auteurs, sans que cette inflation n'ait d'effet sur leur compte en banque...

Le groupe britannique Pearson enregistre un fort recul de son bénéfice net en 2012, à 326 millions de livres (soit 375 millions d'euros), rapporte l'AFP. Prévoyant une situation sensiblement similaire pour l'année 2013, le groupe, qui possède le Financial Times ou encore les éditions Penguin, s'engage dans un vaste programme de restructuration.

Des rumeurs persistantes se vérifient : la société Dark Horse Media fait l'objet d'une acquisition par le groupe européen Embracer Group, dont les filiales développent et éditent des jeux vidéo. Dark Horse Comics, Dark Horse Entertainment et une autre filiale font partie de la transaction.

Lorgnant du côté de l'audiovisuel ou du jeu vidéo, les éditeurs se mettent aussi aux offres en streaming, ou en diffusion continue. Pearson, un des grands groupes d'édition du secteur scolaire, dévoile ainsi Pearson+, avec un tarif à 9,99 $ ou 14,99 $ pour accéder à différents titres.

Le groupe Hachette vient d’annoncer que le rachat du groupe Perseus avait été conclu. La vente a été effectuée par Centre Lane Partners, un fonds d’investissement. Fin juin 2014, un premier rapprochement des deux entités avait été envisagé. Puis, le rachat, prévu pour le 31 juillet, était finalement repoussé, avant d’être définitivement annulé début août.

La pratique est connue, et finalement, sert avant tous les intérêts du vendeur : on laisse courir les bruits les plus probables, voire improbables, pour s'assurer que l'enchère (ou la jarretière) de la mariée, monte le plus haut possible. Et aujourd'hui, c'est au tour de l'AFP de faire monter les enchères autour de la vente de Flammarion. 

Pearson a décidé de permettre à d’autres que ses propres éditeurs d’exploiter leurs riches bases de données, par exemple leur dictionnaire, leur guide de Londres ou leurs archives du Financial Times.

D’après un classement établi par l’hebdomadaire spécialisé Livres Hebdo, le groupe britannique Pearson reste numéro un mondial de l’édition. Avec un chiffre d'affaires de 6,07 milliards €, Pearson devance trois groupes d’édition professionnelle : l’Américain ThomsonReuters (5,29 milliards €), l’anglo-néerlandais RELX Group (4,77 milliards €) et le Néerlandais Wolters Kluwer (4,20 milliards €).

La nouvelle était tombée en juillet dernier : l’éditeur britannique Pearson se délestait du Financial Times, dans lequel il était actionnaire. Le repreneur n’est autre que le japonais Nikkei. Pearson a alors annoncé ce lundi 30 novembre que la vente est désormais « finalisée ». 

Depuis hier, la nouvelle d'une possible fusion entre les groupes Bertelsmann et Pearson, autour de leurs filiales éditoriales ne manque pas de susciter quelques réflexions, alors que l'on en est encore qu'au stade des possibles négociations. Dans tous les cas, le cabinet d'expertise Exane BNP Paribas, spécialisé dans les investissements, dresse plusieurs pistes de réflexion intéressantes.

Les ebooks scolaires de Schwarzenegger, Pearson acquiesce

15 % de moins sur les DPP, pour Droit de prêt public, la conditions vont mal. Ce système par lequel l'auteur perçoit une redevance chaque fois que son ouvrage est emprunté dans une bibliothèque publique, coule avec les budgets déjà réduits.

Le groupe Pearson vient d'annoncer une augmentation de 72% de son chiffre d'affaires sur l'exercice 2011, soit 1,15 milliard de pounds (1,18 millard d'euros), grâce notamment aux ventes d'ebooks de Penguin qui ont doublé, et du FT Group (maison mère du Financial Times) dont les bénéfices ont augmenté de 25%.

Alors que le rapprochement entre les deux groupes Bertelsmann et Pearson a été confirmé hier, on se dirige donc vers la création, mi-2013, d'une super structure, sobrement baptisée Penguin Random House. Mais l'éclairage porté sur la célèbre maison au Manchot a également incité Pearson, son actuel propriétaire, à quelques commentaires.

Les best-sellers des manuels scolaires de Pearson viennent d'intégrer, sous le format d'une toute nouvelle gamme, l'iBookstore du Royaume-Uni, d'Australie et du Canada. Les ouvrages contiennent désormais des outils multimédias avec de la vidéo, de l'audio, des images et animations 3D interactives, ainsi que des systèmes d'évaluation.

Finies, les formations professionnelles, explique l'éditeur Pearson, qui a décidé d'abandonner ce pan d'activité, en Grande-Bretagne. Pearson in Practice arrête donc, suite à un audit réalisé en octobre 2012, qui a incité les dirigeants à réfléchir : 120 millions £ de coût, c'était probablement trop, alors que, depuis 2010, la firme avait réalisé des acquisitions pour développer justement ce secteur.

Pearson vient d'investir dans la joint venture Microsoft-Barnes & Noble : Nook Media. Microsoft avait déjà investi dans le projet de B & N la somme de 300 millions de dollars au mois d'avril. Pearson, propriétaire du Financial Times, a annoncé une participation à hauteur de 89,5 millions de dollars, ce qui correspond à une part de 5% dans cette entreprise destinée à faire la concurrence à Amazon.

Que se passe-t-il quand en pleine révolution sociale, sur fond de violences en Lybie, un groupe d'édition se fait pointer que l'un de ses actionnaires n'est autre que la Libyan Investment Authority ? Eh bien... ça ne joue pas vraiment la langue de bois, en fait.

Des salaires gelés pour les salariés de Pearson