Penguin Random Hous

Tandis que la fusion des deux maisons en un empire éditorial a été entérinée le 1er juillet, ses dirigeants annoncent une longue phase transitionnelle sans trop de chamboulements imminents. En attendant une mouture plus officielle, la société se trouve représentée par un logo temporaire mettant simultanément en scène la mascotte des banquises et la célèbre maison. Et le nouveau label dominant de l'industrie mondiale du livre, qui pèsera désormais plus d'un quart du marché, vient d'opérer quelques nominations à ses postes clés.

Le développement du géant allemand, le groupe Bertelsmann, qui possède une partie du monstrueux groupe éditorial Penguin Random House, a décidé de se ruer sur les médias numériques et l'éducation. À l'étranger. Un programme d'investissement est prévu à moyen terme, pour générer 1,13 milliard $. Juste de quoi s'agrandir...

Dans l'édition anglo-saxonne, l'annonce de Penguin Random House UK concernant le licenciement de 38 employés s'inscrit dans une tendance plus large de coupes d'effectifs qui traversent le secteur, aux États-Unis et au Royaume-Uni. Pourtant l'année du géant de l'édition, ponctuée par le succès de plusieurs best-sellers, se clôt sur un bilan positif.

Le grand PDG du groupe Penguin Random House, résultat de la fusion des deux géants américains, a annoncé ce 27 août qu'une transition était entamée. Markus Dohle, vient en effet d'officialiser deux nominations, qui devraient marquer une nouvelle approche pour le groupe éditorial. Et l'un nommé des deux est particulièrement connu...

Un partenariat autour de “valeurs communes”

Bertelsmann a annoncé avoir finalisé le rachat des 25 % que le géant de l’éducation Pearson avait encore dans l’entreprise Penguin Random House : il possède à présent 100 % d’un des plus importants groupes d’édition au monde.

La fusion entre les deux grands groupes, Penguin, filiale de Pearson, et Random House, filiale de Bertelsman, a été entérinée ce matin même, par les deux sociétés mères. La nouvelle marque Penguin Random House, sera donc le plus important groupe éditorial au monde, avec la plus grosse liste de best-sellers. Et partout dans le monde, les autorités de la concurrence ont donné leur accord... 

La maison d’édition Penguin Random House, version australienne, a annoncé ce matin la vente de sa librairie en ligne, Bookworld. Le bénéficiaire n’est autre que Booktopia. Le résultat ? Deux des plus grandes boutiques australiennes de l'internet du Oueb vont ainsi ne faire qu’une. 

L'année 2014 fut juteuse, pour le groupe Penguin Random House. Au point que les employés recevront un petit bonus, en ce mois d'avril, de 750 $. Les revenus ont en effet augmenté de 25,2 %, pour se porter à 3,3 milliards €, alors que le bénéfice d'exploitation est en hausse de 24,5 %, à 452 millions €. Markhus Dole, le directeur général, savoure.

La maison d'édition Penguin Random House, éditeur numéro un aux États-Unis et au Royaume-Uni, se tourne vers la plate-forme de microblogging Tumblr pour lancer sa campagne visant à dénicher de nouveaux commerciaux. Avec Tumblr, l'un des réseaux sociaux les plus populaires chez les 18-34 ans, le groupe éditorial compte attirer les jeunes créatifs.  

Après avoir fusionné au niveau international, avec le consentement de toutes les autorités de la concurrence de la planète, le groupe Penguin Random House commence ses emplettes. Issu de la réunion des structures éditoriales de Pearson, pour Penguin, et Bertelsmann, pour Random House, ce dernier serait donc entré en négociations avec le groupe de presse espagnol Prisa, pour le rachat de plusieurs maisons.

Une étude de Nielsen Bookscan dévoilée par l'Irish Publishing News estime qu'après la fusion entre Penguin et Random House, le nouveau groupe aura une part conséquence du marché irlandais, avec plus de 22 % des parts. Car la nouvelle entité englobera Penguin Ireland et Transworld Irland, respectivement filiales de Penguin et de Random House (au travers de Transworld).

#ProcesAntitrust — Outre-Atlantique se poursuit un procès d'envergure, aux conséquences importantes pour l'édition américaine. Le ministère de la Justice conteste en effet l'acquisition de Simon & Schuster par un de ses concurrents, le groupe Penguin Random House. Ce 9 août, un autre acteur important, HarperCollins, s'est exprimé par la voix de son PDG.

En 2012, le groupe Pearson, propriétaire de Penguin, s’offrait les services de Author Solutions, pour 116 millions $. L’objectif était de commercialiser des outils à destination des auteurs indépendants. Sauf que cette société est rapidement devenue un véritable boulet, plombant l’image de marque. Fort heureusement, elle vient d’être vendue.

Depuis juillet 2013, les deux groupes Bertelsmann et Pearson ont effectivement fusionné leurs sociétés éditoriales. En résulte le monstre Penguin Random House, soit 15.000 nouveautés chaque année, et 10.000 employés à travers le monde. Mais le temps passe, et la position de Bertelsmann quant à l’avenir se précise. 

C'est un peu la même que pour les livres numériques : les éditeurs de livres audio réalisent que le marché est conséquent, prometteur, et que mettre tous ses œufs dans le même panier — Amazon — serait un peu risqué. Alors qu'Audible, le service d'Amazon en matière de livres audio, détient de nombreuses parts de marché, Penguin Random House propose l'application Volumes, pour valoriser son offre.

Le groupe Penguin Random House a annoncé le 6 avril dans un communiqué avoir signé un accord avec le groupe Grupo Zeta pour l’achat des Ediciones B, maison d’édition située à Barcelone, qui comprend les empreintes B, Bruguera, Vergara, Nova, B de Blook, B de Books, B de Bolsillo et B.cat.

Le groupe d'édition britannique Pearson a l'intention de céder les parts qu'il possède dans le supergroupe international Penguin Random House, ce qui pourrait profiter au groupe allemand Bertelsmann, qui en possède l'autre moitié. Bertelsmann pourrait ainsi mettre la main sur un des groupes les plus puissants de l'édition mondiale. 

La transaction initiée par le groupe Pearson pour se séparer de 22 % du supergroupe d'édition Penguin Random House, récupéré par le groupe allemand Bertelsmann, est désormais effective. Bertelsmann possède à présent 75 % d'un des plus importants groupes d'édition au monde, Penguin Random House.

Les deux associés Bertelsmann et Pearson avaient trouvé un terrain d’entente en regroupant leurs groupes éditoriaux littéraires. La fusion aboutit à la création de Penguin Random House, le plus grand consortium de maisons littéraires au monde. Qui sera bientôt la propriété, un peu plus, de Bertelsmann...

Le géant international Penguin Random House vient de finaliser son rachat de F+W Books, spécialisé dans les ouvrages illustrés de non-fiction. Ses grandes thématiques tournent autour de l’art, de l'artisanat, de la généalogie, des antiquités ou encore du travail du bois. 

L'un des plus puissants groupes d'édition du monde, Penguin Random House, vient de taper du poing sur la table, en Afrique du Sud : la maison menace de procès tous les internautes qui participent et encouragent la diffusion pirate, au format numérique, du livre Gangster State de Pieter-Louis Myburgh. Un député sud-africain, Julius Sello Malema, fait partie de ceux qui réclament un exemplaire pirate du livre, sur Twitter.

La joint-venture entre Penguin et Random House, confirmée ce lundi, a fait grand bruit. La taille de cette nouvelle structure a de quoi faire peur. Pourtant certains y voient une opportunité pour les petits éditeurs, ce qui va à l'encontre de l'idée selon laquelle ce rapprochement assurerait une domination sans partage.

Alors qu'ils refusaient de faire le moindre commentaire jusqu'à l'heure, les deux groupes Pearson et Bertelsmann viennent de confirmer l'information qui circulait sur un rapprochement de leurs branches éditoriales. D'un côté, donc, Random House, de l'autre, Penguin, avec une fusion prévue pour la seconde moitié de l'année 2013.

Ce n'est pas une grande surprise, mais cela reste une information cruciale pour le monde du livre. La fusion entre les deux maisons d'édition Penguin et Random House a reçu le feu vert de l'Union européenne. 

La fusion de deux supergroupes éditoriaux, Random House et Penguin, en 2013, soulevait des craintes quant à la construction d'un monopole mondial. Mais impliquait également des réactions en chaîne liées à une nouvelle stratégie commune : au sein de cette dernière, les conditions de prêt des titres des deux groupes, singulièrement différentes, devaient nécessairement s'accorder. C'est désormais chose faite, mais les bibliothécaires sont partagés.

Dans son association, le nouveau groupe éditorial Penguin Random House a décidé, pour la division UK, de réunir ses activités numériques, audio et collecte de données sur les consommateurs, pour mieux appréhender « l'édition numérique expérimentale », rapporte le Bookseller. 

Avec la fusion de Random House et Penguin, filiales respectives de Bertelsmann et Pearson, c'est un quart de la production de livres mondiale qui sera centralisée. Un poids de 3,05 milliards € qui n'est pas sans conséquence pour l'ensemble des acteurs du livre. À compter par les auteurs et leurs agents en premier lieu. Pour certains, c'est même le plus grand événement depuis le lancement d'Amazon sur internet...