Recherche

Perseigne

Extraits

ActuaLitté

Littérature française

Jeanne et le loup de Perseigne

Dans la vaste forêt de Perseigne, l'arrivée d'un loup et de sa meute bouleverse l'équilibre tranquille de la région. Alors qu'une petite fille prénommée Jeanne se retrouve égarée au coeur de cette forêt, une suite d'événements inattendus se dessine pour cette aventure hors du commun. Cette rencontre soulève des interrogations profondes : pourquoi le loup est-il si souvent méprisé ? Peut-on réellement envisager une cohabitation harmonieuse entre les hommes et ces prédateurs fascinants ? Ces questions, plus pertinentes que jamais, se posent encore aujourd'hui.

01/2024

ActuaLitté

Littérature française

Six ans de guerre en Perseigne. 1939 - 1944

Lorsque la Seconde Guerre mondiale éclate, Abel Boissier est forestier en Perseigne. En observateur privilégié, il dresse dans ses calepins le décor irréel du monde qui l'entoure. Sous les arbres centenaires, il croise gangsters et personnages louches, traque braconniers, trafiquants, et n'hésite pas à porter secours aux pilotes de chasse tombés en forêt. Il est aussi le témoin de la répression féroce de l'été 1944 à l'encontre des résistants du secteur. Sang, brutalité, malheurs et trahisons seront son quotidien. Abel achève son récit en mars 1946, puis ses carnets tombent dans l'oubli. Ils sont retrouvés par hasard au début des années 2000 et sauvés in extremis de la destruction. Au-delà de son intérêt historique, l'édition de ce passionnant témoignage est aussi un hommage à ce véritable "loup des bois" confronté à la folie des Hommes.

05/2021

ActuaLitté

Littérature française

Contes. Tome 2

Je me préparais à sonner au presbytère, quand la porte s'ouvrit. Je dus m'effacer pour livrer passage à une femme en deuil qui sortait. Elle me parut très pâle sous son voile de crêpe anglais, mais il me fut impossible de distinguer ses traits. D'ailleurs, elle passa rapidement, reconduite par le curé jusqu'à la voiture - une vieille calèche de campagne attelée d'un gros percheron - qui stationnait à la porte. - Ainsi, monsieur le curé, c'est bien entendu comme cela ? Voyons, nous n'avons rien oublié ? - Je ne crois pas, madame la marquise. - Faudra-t-il vous envoyer quelqu'un de la ferme pour vous aider, monsieur le curé ? - Merci, merci, madame la marquise... Gaudaud, mon sacristain, est habitué... Je l'emmènerai. - Eh bien ! au revoir, monsieur le curé. - Je vous présente mes respects, madame la marquise. Le curé referma la portière, et la voiture partit, dans un bruit de ferrailles, vénérable et disloquée. - Quelle bonne dame ! me dit le vieux curé, comme nous entrions au presbytère. Si celle-là ne va pas tout droit en paradis, c'est que personne n'ira. - Qui est-ce donc ? demandai-je. Il me semble que cette figure ne m'est pas inconnue. - C'est Mme la marquise de Perseigne. - Comment, la marquise de Perseigne ? la célèbre et belle marquise de Perseigne ?

01/2023

ActuaLitté

Littérature française

Contes. Tome 1

Je me préparais à sonner au presbytère, quand la porte s'ouvrit. Je dus m'effacer pour livrer passage à une femme en deuil qui sortait. Elle me parut très pâle sous son voile de crêpe anglais, mais il me fut impossible de distinguer ses traits. D'ailleurs, elle passa rapidement, reconduite par le curé jusqu'à la voiture - une vieille calèche de campagne attelée d'un gros percheron - qui stationnait à la porte. - Ainsi, monsieur le curé, c'est bien entendu comme cela ? Voyons, nous n'avons rien oublié ? - Je ne crois pas, madame la marquise. - Faudra-t-il vous envoyer quelqu'un de la ferme pour vous aider, monsieur le curé ? - Merci, merci, madame la marquise... Gaudaud, mon sacristain, est habitué... Je l'emmènerai. - Eh bien ! au revoir, monsieur le curé. - Je vous présente mes respects, madame la marquise. Le curé referma la portière, et la voiture partit, dans un bruit de ferrailles, vénérable et disloquée. - Quelle bonne dame ! me dit le vieux curé, comme nous entrions au presbytère. Si celle-là ne va pas tout droit en paradis, c'est que personne n'ira. - Qui est-ce donc ? demandai-je. Il me semble que cette figure ne m'est pas inconnue. - C'est Mme la marquise de Perseigne. - Comment, la marquise de Perseigne ? la célèbre et belle marquise de Perseigne ?

01/2023

ActuaLitté

Littérature française

Contes. Tome 3

Je me préparais à sonner au presbytère, quand la porte s'ouvrit. Je dus m'effacer pour livrer passage à une femme en deuil qui sortait. Elle me parut très pâle sous son voile de crêpe anglais, mais il me fut impossible de distinguer ses traits. D'ailleurs, elle passa rapidement, reconduite par le curé jusqu'à la voiture - une vieille calèche de campagne attelée d'un gros percheron - qui stationnait à la porte. - Ainsi, monsieur le curé, c'est bien entendu comme cela ? Voyons, nous n'avons rien oublié ? - Je ne crois pas, madame la marquise. - Faudra-t-il vous envoyer quelqu'un de la ferme pour vous aider, monsieur le curé ? - Merci, merci, madame la marquise... Gaudaud, mon sacristain, est habitué... Je l'emmènerai. - Eh bien ! au revoir, monsieur le curé. - Je vous présente mes respects, madame la marquise. Le curé referma la portière, et la voiture partit, dans un bruit de ferrailles, vénérable et disloquée. - Quelle bonne dame ! me dit le vieux curé, comme nous entrions au presbytère. Si celle-là ne va pas tout droit en paradis, c'est que personne n'ira. - Qui est-ce donc ? demandai-je. Il me semble que cette figure ne m'est pas inconnue. - C'est Mme la marquise de Perseigne. - Comment, la marquise de Perseigne ? la célèbre et belle marquise de Perseigne ?

01/2023

ActuaLitté

Littérature française

Contes. Tome 4

Je me préparais à sonner au presbytère, quand la porte s'ouvrit. Je dus m'effacer pour livrer passage à une femme en deuil qui sortait. Elle me parut très pâle sous son voile de crêpe anglais, mais il me fut impossible de distinguer ses traits. D'ailleurs, elle passa rapidement, reconduite par le curé jusqu'à la voiture - une vieille calèche de campagne attelée d'un gros percheron - qui stationnait à la porte. - Ainsi, monsieur le curé, c'est bien entendu comme cela ? Voyons, nous n'avons rien oublié ? - Je ne crois pas, madame la marquise. - Faudra-t-il vous envoyer quelqu'un de la ferme pour vous aider, monsieur le curé ? - Merci, merci, madame la marquise... Gaudaud, mon sacristain, est habitué... Je l'emmènerai. - Eh bien ! au revoir, monsieur le curé. - Je vous présente mes respects, madame la marquise. Le curé referma la portière, et la voiture partit, dans un bruit de ferrailles, vénérable et disloquée. - Quelle bonne dame ! me dit le vieux curé, comme nous entrions au presbytère. Si celle-là ne va pas tout droit en paradis, c'est que personne n'ira. - Qui est-ce donc ? demandai-je. Il me semble que cette figure ne m'est pas inconnue. - C'est Mme la marquise de Perseigne. - Comment, la marquise de Perseigne ? la célèbre et belle marquise de Perseigne ?

01/2023

Tous les articles