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Picador

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Bricolage et création

Créations folklore du Mexique

Masques calaveras, pinatas, papel picados, couronnes de fleur à la Frida Khalo, cactus, ojos de Dios, Milagros, Nichos... Huit activités originales et très variées pour s'immerger dans la culture mexicaine et créer une ambiance de fête !

05/2023

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Technologie

Le Clos Serpollet. 27 ans d histoire à travers les brevets industriels

Qui sait, aujourd'hui, que la voiture à vapeur fut un engin extrêmement performant capable, dès le 13 avril 1902, d'atteindre la vitesse de 120 km à l'heure ? Qui se souvient que les camions à vapeur ont été fabriqués jusqu'en 1935 ? La singularité du "Clos Serpollet" tient au choix de l'auteur à retracer la vie des géniaux inventeurs sous l'angle exclusif des brevets déposés successivement sur une durée de 27 années. En toute impartialité, Pierre Dubarry de Lassalle les présente et analyse avec clarté, rigueur et minutie ; le but est de retracer ainsi, de façon riche et vivante, toute la création continue de ceux qui furent, en leurs lieux et en leurs temps, d'authentiques - et donc d'admirables - "gentlemen mécaniciens" . Ingénieur chimiste de formation, Pierre Dubarry de Lassalle (1929 - 2000) exerçait la profession de Conseil en propriété industrielle et avait publié, en 1983, Vaporisme de la physique du modèle, aux éditions Picador.

09/2023

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Policiers

Camargue blanche et série noire

Durant la Féria du Riz, en Arles, un torero, enfant du pays, est retrouvé mystérieusement assassiné dans les arènes, juste avant le paseo, quasiment sous les yeux de sa cuadrilla et des autres professionnels de la corrida prêts à entrer en piste. Un meurtre qui va plonger dans la stupéfaction le petit monde du toro, mais aussi toute une région, un territoire de nature et de culture, la Camargue. Il va revenir au commandant Sagnes de la police judiciaire et à son équipe de trouver le mobile du crime et de mettre un nom sur un assassin déterminé aux méthodes surprenantes. Et pour cela ils devront se familiariser avec un monde parfois interlope et souvent fermé, où se croisent riziculteurs et hommes politiques, russe en mal d'amour, avocats et juges, peones et picadors, financiers équivoques... Bref, les marécages sont partout !

03/2020

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Beaux arts

Eduardo Arroyo. Dans le respect des traditions

A l'occasion de son exposition "Dans le respect des traditions", à la Fondation Maeght, ce livre-catalogue présente un grand nombre de peintures, dessins, sculptures ainsi que des photographies d'archives et un choix de ses écrits introuvables ou inédits. Il est accompagné d'une présentation d'Adrien Maeght et de trois essais de Fabienne Di Rocco, Olivier Kaeppelin et Daniel Rondeau. Dans cet ouvrage, Eduardo Arroyo se révèle, plus que jamais, un artiste et un écrivain. Héritier de Francis Picabia, il joue avec la pensée, les formes, les images, les fictions qu'il compose. Il interroge la grande Histoire comme l'histoire de l'art, la politique comme l'esthétique. Son oeuvre nous emporte dans des narrations paradoxales et aventureuses. Auteur de scénographies et de décors, notamment pour son ami le dramaturge Klaus Michael Griiber, il crée également sur la toile de véritables scènes picturales où nous côtoyons James Joyce, Ferdinand Hodler, Winston Churchill, Van Gogh aussi bien que des espions, des essaims de mouches, des boxeurs ainsi qu'un vieux picador traversant les paysages d'Espagne. Observateur ironique des sociétés et des hommes, il démontre dans cette exposition et ce catalogue, suivant les mots de Walter Benjamin que "l'oeuvre d'art est, par essence, antihistorique. L'artiste dépend de lui seul. Il ne promet rien d'autre aux siècles à venir que ses propres oeuvres".

06/2017

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Sports

La corrida de A à Z

La corrida constitue un univers si vaste qu'il faudrait une vie entière pour en pénétrer les mystères. Certes, l'appréciation des gestes du torero, vifs comme l'éclair, demande un œil exercé. Néanmoins, en regroupant toutes les notices de cet abécédaire par grands sujets, c'est toute l'histoire de la corrida qui se dessine… Tout d'abord, vous retrouverez des intitulés qui suffisent pour comprendre que ce spectacle se joue en trois actes : le Scenario bien rodé commence par l'entrée en piste du Cheval avec son picador, et continue avec la pose des Banderilles et la mise à mort de l'animal à l'Epée. Mais que serait la corrida sans ses acteurs que sont le Matador, les femmes (Univers féminin) et les enfants (Juli, el), et surtout son rôle-titre, tenu par le Taureau et symboliquement par madame la Mort (Fête) ? Pour mieux comprendre les origines de la corrida, Elisabeth Hardouin-Fugier renvoie son lecteur à l'intitulé Ibérique. Introduite en France par Napoléon III, la corrida espagnole s'étend à partir d'une date précise, Dix-huit-cent-quatre-vingt-neuf, puis s'organise (Lois) avec une Période faste, l'après-guerre, qui suscite toutefois une Opposition. Pour finir le tour d'horizon proposé par cet ouvrage abondamment illustré, l'auteure nous entraîne dans les arènes d'Hagetmau, dans le Sud-Ouest, et dans le plus ancien élevage taurin du Sud-Est, fondé par Joseph Yonnet, tout en nous faisant découvrir la Camargue, les arènes d'Arles et de Nîmes. Universitaire, Elisabeth Hardouin-Fugier est une historienne des arts et des mentalités. Elle a traité les thèmes où se croisent les modes d'expression, la peinture mystique, les fleurs, les objets liturgiques ou de dévotion, les étoffes. Depuis un Que sais-je ? (1995, traduit en japonais) sur la corrida, elle a publié sur les jardins zoologiques (traductions en anglais, allemand, chinois, taïwanais), sur la législation animalière allemande et les multiples aspects de la corrida.

04/2010

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Littérature étrangère

L'abîme de l'illusion humaine

"J'ai découvert Gilbert Sorrentino un très beau jour de 1980, en prenant au hasard (?) un livre publié par Picador sur une tour Martello de livres dans un aéroport ; il s'agissait justement de Mulligan Stew ; ce livre m'a introduit à la littérature américaine contemporaine - disons d'une partie de cette littérature, les Gaddis, Gass, Coover, Davenport, Elkin, Goyen, Toby Olson, Coleman Dowell, etc. Sorrentino, décédé l'année en 2006, est l'auteur de plus d'une douzaine de romans, d'un recueil d'essais et d'une quinzaine de recueils de poésie. J'ai traduit à ce jour huit de ses livres (Red le Démon, Steelwork, Petit Casino, Mulligan Stew/Salmigondis, La Lune dans son envol, Aberration de la lumière et La Folie de l'or). Peu d'écrivains ont autant mis l'accent sur le refus d'écrire des histoires réalistes, avec une intrigue "minutieusement composée, intéressante, pleine de suspense", des personnages "plausibles, plein de substance et de motivation", un décor "qui vous rappelle quelque chose", au contraire, il insiste sur le fait qu'il n'y a là que de l'encre sur du papier, que sa création est pure imagination ; et pourtant le Brooklyn de ses livres, les personnages qui s'y trouvent sont d'une humanité étincelante - qu'il s'agisse de gens ordinaires, pauvres et sans espoir, ou du monde artificiel des arts (qu'il ne cesse de fustiger). Son oreille exceptionnelle lui permet de jouer de la langue anglaise comme d'un instrument, de la tordre, de la déformer, tout en restant constamment d'une grande lisibilité. Même lorsqu'il caricature un mauvais écrivain, son style est incomparable. Le tout est un mélange de noirceur extrême et d'humour, de dérision et d'humanisme dans lequel le lecteur pénètre pour ne plus en ressortir." Bernard Hoepffner Bien que l'oeuvre de Gilbert Sorrentino soit en partie plongée dans le Brooklyn de son enfance dont il fait revivre la langue, elle est également très proche de la culture européenne et de certaines recherches formelles. N'a-t-il pas lui-même énuméré quelles nécessités sous-tendaient son écriture ? Un souci obsessionnel de la structure formelle. Une aversion pour la répétition de l'expérience. L'amour de la digression et de la broderie. Un grand plaisir à donner des informations fausses ou ambiguës. Le désir d'inventer des problèmes que seule l'invention de formes nouvelles peut résoudre ? Et la joie de se faire une montagne d'une taupinière." Dernier livre de Sorrentino, Abyss of human illusion fut publié après sa mort en 2007. Il se compose de cinquante courts textes.

10/2015

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