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Pietro Grossi

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Littérature étrangère

Le passage

"Un coup de fil absurde." C'est ce que pense Carlo en raccrochant. Treize ans qu'il se tient loin de son père, qu'il essaie d'oublier le gouffre qui les sépare. Et voilà que celui-ci lui réclame de l'aide depuis les côtes du Groenland, lui demande de revenir naviguer avec lui comme au bon vieux temps. Il s'agit de convoyer le Katrina jusqu'au Canada après un arrêt le long du légendaire Passage du Nord-Ouest, entre l'Atlantique et le Pacifique. Carlo n'est pas monté sur un bateau depuis des années. Et il faudrait, là, tout à coup, abandonner son cabinet d'architecte, Francesca, les jumeaux, sa vie à Londres ? Pourtant, après ce bref échange de mots qui sonne comme un appel au secours, son devoir de fils s'impose à lui comme une évidence. Il partira. Suspendu au-dessus des eaux, enfermé dans le silence des glaces, en lutte contre des dangers imprévus, épuisé par le soleil et le sel, Carlo affrontera le défi de la traversée et un autre plus grand encore : accepter son père. Une atmosphère tendue servie par une écriture minimaliste. Pietro Grossi, avec l'expérience de ceux qui ont grandi sur la mer, nous embarque vers une "zone limite du monde qui révèle notre véritable essence."

04/2017

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BD tout public

Piero

Années 1950, sud de la France. Baudoin relate son enfance et celle de son frère Piero sous la forme d'un hymne au dessin, mode d'expression qui conditionne leur rapport au monde et la façon dont ils vont grandir. Peu à peu, les dessins enfantins de batailles médiévales laissent place à la découverte de l'école puis, des amours adolescentes. L'accident de mobylette de Piero viendra bouleverser cet équilibre fraternel et déterminer leur choix de vie, entre Beaux-Arts et carrière administrative…

09/2011

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Littérature française

Pietri Bey

Lorsqu'en 1880, Laurent Pietri débarque en Égypte, c'est pour vivre une vie où la morale ne l'écrasera plus. Il est médecin, né en Corse, et ne rêve que d'accéder à une liberté de moeurs affranchie des carcans. La Corse, justement, depuis laquelle la famille - des notables - tisse ses réseaux, favorise l'éclosion des siens et leur ouvre les meilleures carrières : avocats, militaires, politiciens... médecins ! Cette Corse, dont l'exigence de rigueur morale affichée redouble celle propre aux grandes familles, lui offre une épouse... Livia, une petite-cousine, de vingt ans sa cadette. Mais Laurent, qui entre-temps a accédé au rang honorifique de bey pour son attitude courageuse lors d'une épidémie de choléra, est désormais pris au piège de la notabilité. Et Livia prisonnière à son tour du secret de son mari... Le mariage qui consolide le clan est aussi celui qui mène à la ruine les individus...

03/2011

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Littérature française

Pietra viva

Michelangelo, en ce printemps 1505, quitte Rome bouleversé. Il vient de découvrir sans vie le corps d’Andrea, le jeune moine dont la beauté lumineuse le fascinait. Il part choisir à Carrare les marbres du tombeau que le pape Jules II lui a commandé. Pendant six mois, cet artiste de trente ans déjà, à qui sa pietà a valu gloire et renommée, va vivre au rythme de la carrière, sélectionnant les meilleurs blocs, les négociants, organisant leur transport. Sa capacité à discerner la moindre veine dans la montagne a tôt fait de lui gagner la confiance des tailleurs de pierre. Lors de ses soirées solitaires à l’auberge, avec pour seule compagnie le petit livre de Pétrarque que lui a offert Lorenzo de Medici et la bible d’Andrea, il ne cesse d’interroger le mystère de la mort du moine, tout à son désir impétueux de capturer dans la pierre sa beauté terrestre. Au fil des jours, le sculpteur arrogant et tourmenté, que rien ne doit détourner de son oeuvre, se laisse pourtant approcher : par ses compagnons les carriers, par la folie douce de Cavallino, mais aussi par Michele, un enfant de six ans dont la mère vient de mourir. La naïveté et l’affection du petit garçon feront resurgir les souvenirs les plus enfouis de Michelangelo. Parce qu’enfin il s’abandonne à ses émotions, son séjour à Carrare, au cœur d’une nature exubérante, va marquer une transformation profonde dans son œuvre. Il retrouvera désormais ceux qu’il a aimés dans la matière vive du marbre.

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Littérature française

Pietra Viva

Michelangelo, en ce printemps 1505, quitte Rome pour Carrare après la mort d'Andrea, moine dont la beauté le bouleversait. Il doit y choisir les marbres du tombeau que le pape Jules II lui a commandé : pendant six mois, l'artiste de trente ans déjà, à qui sa pietà a valu gloire et renommée, vivra au rythme de la carrière. Dans sa solitude, il ne cesse d'interroger le mystère de la mort du moine, tout à son désir de capturer dans la pierre sa beauté terrestre. Mais au fil des jours, le sculpteur arrogant et tourmenté se laisse peu à peu approcher : par ses compagnons les carriers, dont il a gagné la confiance par sa capacité à discerner la moindre veine dans la montagne, par la folie douce de Cavallino, et par Michele, un enfant dont la mère vient de mourir. Ces rencontres, et ce séjour à Carrare, transformeront profondément son oeuvre. Léonor de Récondo signe un ouvrage profondément atypique, où l'émotion jaillit, jamais où on l'attend, et où tout n'est que finesse et retenue. Olivia de Lamberterie, Elle. Un récit aussi intense que lumineux, où s'accomplit le rêve d'une sidérante transmutation. Monique Petillon, Le Monde des livres.

02/2023

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Littérature française

Piero Solitude

Le fil de ce récit déroule l'histoire d'une rencontre entre une jeune femme, l'art de Piero della Francesca et un peintre d'aujourd'hui, qui s'appelle lui aussi Piero - un homme aperçu pour la première fois dans un café, au détour d'une place, à Rome. Cette vie à trois devient vite une danse si enivrante, sous la chaleur antique de l'Italie, que souvent l'on ne sait plus au bras de qui l'on danse. "C'est comme l'univers, on ne peut pas dire je le connais. Mais il habite à tel point les nuits et les jours, colore les heures même de repos, s'insinue dans tous les regards jetés, s'immisce dans tous les traits vus, au point qu'un soir, cela devient envahissant, doit naître, et ne cesse plus d'avoir un lieu en moi".

03/2020

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