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Pour une économie de la réconciliation. Faire de l'ESS la norme de l'économie de demain

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Littératures de l'Imaginaire : questionner le monde de demain

Depuis le début de son aventure éditoriale en 2010, Scrineo a publié des romans imaginaires, portés par des auteurs et autrices exclusivement francophones – du steampunk à la dark fantasy, en passant par le fantastique et la SF. Les premiers titres ont permis de lancer une nouvelle génération comme Patrick McSpare et Olivier Peru, avec la série Les Hauts Conteurs (Lauréat du Prix des Incos 2012), Joslan F. Keller et Aurélie Laloum avec la série Via temporis et Marie Pavlenko et sa trilogie Le livre de Saskia

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Octobre, mois de l'Imaginaire, la littérature de demain

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Nuit de la lecture 2023 : 12 livres jeunesse pour se faire peur

Du 19 au 22 janvier, les Nuits de la lecture joueront avec des récits parfois très inquiétants. Organisé par le Centre national du livre, cet événement s’accompagne d’une bibliographie illustrant la thématique de l’édition 2023, La Peur. Et pour débuter, voici douze ouvrages de littérature jeunesse.

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Albums, romans : une sélection de 20 livres jeunesse pour Noël 2020

La crise sanitaire a contraint les librairies à fermer leurs portes depuis fin octobre dernier. Mais l’envie de lire est toujours là, car les livres sont le meilleur moyen de s’évader, d’apprendre, de se cultiver, de réfléchir, de rire aussi, à tous les âges et en famille.

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Livres, actualités : tout sur Leonard de Vinci

Fantastique visionnaire, inventeur de génie, les expressions manquent pour cerner la personnalité de Leonard de Vinci. Le 500e anniversaire de sa disparition est l'occasion de se replonger dans la vie, l'œuvre et l'héritage du peintre florentin, qui a multiplié les activités, de l'architecture à la botanique, en passant par la musique, la poésie ou encore la philosophie.

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Pour 2023, Un Week-end à l'est invite Tbilissi, capitale de la Géorgie

Après avoir exploré des villes telles que Varsovie, Kyiv, Budapest, Belgrade, Sofia et récemment Odessa en soutien à l'Ukraine, "Un week-end à l'Est" pose ses valises pour sa septième édition à Tbilissi, le cœur de la Géorgie. Cette année, la réalisatrice et auteure Nana Ekvtimishvili en est la marraine, avec Nino Haratischwili comme invitée principale, et un focus spécial sur l'auteur d'origine géorgienne, Emmanuel Carrère.

Extraits

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Economie (essai)

Pour une économie de la réconciliation. Faire de l'ESS la norme de l'économie de demain

Un essai à la fois personnel et politique d'une personnalité majeure de l'économie sociale et solidaire sur la manière dont l'ESS peut et doit être un levier de transformation globale de la société. Le 6e opus de la collection " Mondes en transitions ". La crise à grande échelle que nous vivons est révélatrice d'échecs et d'insuffisances, d'inégalités sociales et environnementales, voire de menaces stratégiques. Pour y faire face, l'économie sociale et solidaire (ESS) propose son pouvoir de transformation. Elle contribue à l'alternative nécessaire pour innover et entreprendre en faveur d'une économie qui fonctionne à l'énergie citoyenne, centrée sur des besoins d'intérêt collectif, engagée dans la résorption des inégalités et la transition écologique. Plus encore, l'ESS est à l'avant-garde des mutations que doit engager le monde des entreprises, dans toutes ses composantes, pour pouvoir assumer un rôle plus politique, au service de la cité. Les structures de l'ESS, entreprises à finalité démocratique, à utilité sociale et environnementale, peuvent essaimer dans toute la société. Il est temps que l'ESS joue pleinement son rôle en tant qu'économie de la réconciliation, clé d'une société plus apaisée : réconciliation entre des enjeux, des contraintes, des aspirations et des intérêts divers. Elle doit pour cela prendre conscience de sa capacité d'entraînement et de sa force. Ses acteurs trouveront dans cet ouvrage des raisons de faire des choses plus grandes qu'eux-mêmes.

04/2022

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Connaissance de soi

L'ésonomie, une économie spirituelle

Le monde moderne souffre d'un excès de matérialisme. L'idéologie marchande, que l'on qualifie de néolibéralisme, tend à enfermer les hommes dans un paradigme où seul l'argent est une fin et où la cupidité régit le tissu socio-économique. L'humanité est en proie à une perte de spiritualité laïque, en marge des religions, qui l'amène tout droit vers sa propre perte. Si l'économie, oïkos-nómos, désigne la gestion de la terre et que l'écologie, oïkos-logos, signifie la science de cette même planète que nous devrions appliquer à cette même gestion, alors force est de constater que nous manquons de sagesse pour manier chacune de ces sciences. L'ésonomie, ésô-nómos, désigne la gestion de son être intérieur afin de parvenir à la connaissance du Soi fondamentale à l'avènement d'un nouveau paradigme à finalité plus humaine, universelle et spirituelle. D'abord la connaissance de soi, puis la connaissance du monde, enfin la gestion du monde dont nous rêvons.

12/2021

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Economie

L'économie de la confiance

Plus que jamais, la confiance est partout dans le débat public : "personne de confiance", "école de la confiance", "société de confiance", etc. Mais, trop souvent, la confiance est incomprise et instrumentalisée. Comment appréhender l'importance de cette notion complexe dans le système économique, social, politique, médiatique ? Quelles en sont les différentes définitions et les diverses formes ? Peut-on vraiment mesurer la confiance et, si oui, comment ? Quels en sont les causes supposées et les effets attendus ? Quel est l'état véritable de la confiance en France ? En répondant à toutes ces questions à la lumière des auteurs classiques et des travaux les plus contemporains, cet ouvrage veut autant informer et instruire les lecteurs que les mettre en garde : la confiance, clé de la coopération sociale, n'est ni bonne en soi ni bonne à tout. Elle ne permet ni de tout comprendre ni de tout régler dans les sociétés humaines et dans les économies. Comme il y a de bonnes et de mauvaises confiances, il y en a de bons et de mauvais usages.

06/2019

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Economie

L'économie de la vie

" Après une enquête planétaire, auprès des meilleures sources, souvent confidentielles, j'ai découvert bien des choses sur les causes et les conséquences de cette pandémie. Certains dirigeants, commettant des erreurs sincères ou mentant à leur peuple, ont, en imitant la Chine, conduit à la mort prématurée de plusieurs centaines de milliers de personnes et coûté plusieurs milliers de milliards à l'économie mondiale. Suivre à temps l'autre voie, celle de la Corée du Sud, aurait coûté beaucoup moins d'argent, épargné des milliers de vies et protégé des centaines de millions de travailleurs. De tout cela, et de bien d'autres choses que nous aura apprises cette pandémie, en bouleversant nos vies, il faut tirer les leçons. Pour se préparer à ce qui vient : une crise économique, philosophique, idéologique, sociale, politique, écologique stupéfiante, presque inimaginable ; plus grave en tout cas qu'aucune autre depuis deux siècles. Pour ne pas faire souffrir les enfants d'aujourd'hui de la pandémie à 10 ans, de la dictature à 20 ans et du désastre climatique à 30 ans, il faut passer au plus vite de l'économie de la survie à l'économie de la vie. Elle regroupe tous les secteurs qui se donnent pour mission la défense de la vie et dont on constate tous les jours, très pragmatiquement, l'importance vitale, comme : la santé, la gestion des déchets, la distribution d'eau, le sport, l'alimentation, l'agriculture, l'éducation, l'énergie propre, le numérique, le logement, la culture, l'assurance. Parce qu'il n'y a pas de vie possible si on n'agit pas tout de suite, dans l'intérêt de toutes les vies, d'aujourd'hui et du futur. Si on ne comprend pas que seul le temps des hommes a de la valeur. Que de passionnants combats à mener ! " J. A.

06/2020

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Philosophie

L'économie de la nature

L'expression "économie de la nature" a surgi dans le vocabulaire des sciences au XVIIIe siècle bien avant que le néologisme "écologie" ne s'impose à nous, plus d'un siècle et demi plus tard. Chez Carl von Linné, Gilbert White ou Charles Darwin, l'économie de la nature désigne l'organisation des relations entre les espèces au vu du climat, du territoire et de leur évolution. Cette économie pense l'imbrication des espèces, y compris les êtres humains, dans un réseau d'interactions incommensurables et impondérables. Mais très vite, les physiocrates, les premiers "économistes", la dévoient pour fonder une science de l'agriculture subordonnée à de prétendues lois du marché. Un détournement dont nous pâtissons jusqu'à ce jour. Tant que ne sera pas restitué son sens, le terme "économie" nous donnera l'impression de voir double dès lors que flanqué de celui d'"écologie". Il nous sera alors dit qu'il faut tenter de réconcilier l'une à l'autre, comme s'il s'agissait de deux champs distincts. Ce court essai s'emploie à redonner ses droits à l'économie de la nature.

10/2019

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Psychologie, psychanalyse

L'économie de la jouissance

Danger ! Nous sommes menacés en tant que citoyens dans notre existence. D'inquiétants périls pèsent sur nous, plus précisément sur l'énonciation du désir. Ce désir était encore récemment placé sous l'égide du Nom-du-Père et fondé sur un manque, à savoir la perte définitive de l'objet pleinement satisfaisant. La vie ne nous permettait de le retrouver que sous la forme de semblant. Avec l'économie de marché, une multitude potentiellement infinie d'objets s'impose au sujet contemporain jusqu'à effacer complètement l'idée même d'un manque pourtant fondamental par rapport au désir. L'accumulation de ces objets, au principe du discours capitaliste, relance à l'infini l'économie de la jouissance, non sans provoquer ce que Bernard Stiegler appelle "l'impossible régression des alternatives bienfaisantes". Pour échapper à cette disparition du manque et par là à l'effacement du désir, il s'agit de bifurquer et de produire un lien social qui n'est pas fondé sur le discours capitaliste, mais dans l'amour pour une sexualité fondée sur le manque. "Là où croit le péril, croit aussi ce qui sauve" (Hölderlin). Là où croit le danger de l'économie de marché, croit aussi le désir dans son articulation avec les Noms-du-Père et la sexualité. Encadrée d'une brillante préface de Claude Landman et d'une postface audacieuse de Bernard Stiegler, cette étude tire la sonnette d'alarme sur notre économie actuelle.

03/2019

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