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Quignard

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Critique

Pascal Quignard

Dirigé par Mireille Calle-Gruber. L'oeuvre de Pascal Quignard est multiple par la diversité des domaines artistiques dans lesquels il excelle ; musique, dessin, cinéma, littérature... Le Cahier de L'Herne se propose d'explorer ces différentes facettes en retraçant l'itinéraire artistique de Pascal Quignard ; son parcours de musicien et ses nombreuses créations originales, ses collaborations avec compositeurs, scénaristes, musiciens et metteurs en scène dans le cadre de performances artisiques, son oeuvre littéraire tout à fait inclassable, qui oscille entre roman, essais philosophique, autobiographie, écrits historiques, poésie... Nous dévoilons par ailleurs dans ce volume, le manuscrit inédit du Petit Cupidon, plusieurs textes inédits et de nombreux dessins en couleur de Pascal Quignard. CAHIER CENTRAL DE 15 DESSINS DE PASCAL QUIGNARD, EN COULEUR.

10/2021

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Littérature comparée

Antiquités décentrées. Walcott, Quignard, Ransmayr

Dans trois oeuvres très différentes, Omeros (1990), Les Paradisiaques (2005), Le Dernier monde (1988), Walcott, Quignard et Ransmayr portent un regard décentré sur la culture européenne, et refondent à partir d'Homère, Virgile et Ovide des humanités plurielles. Leur tentative est de refaire monde.

09/2021

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Critique littéraire

Pascal Quignard. La voix de la danse

Au mois de novembre 2010, Pascal Quignard et la danseuse de butô Carlotta Ikeda ont créé la pièce Medea, sur la scène du Théâtre Molière, à Bordeaux. Cette rencontre de la danse et de la littérature était-elle donc marquée du sceau de l'inéluctable Oui, parce que la danse est au coeur de l'oeuvre de Pascal Quignard, depuis toujours, et elle éclaire indirectement le sens de ses collaborations multiples, avec des peintres, des musiciens, des comédiens. Affirmer la nécessité esthétique et logique de cet événement peut cependant surprendre car, dans le premier temps de l'oeuvre, le corps et sa danse n'apparaissaient guère. Pourtant, quand je l'interrogeais à ce sujet dans les entretiens que nous avons menés ensemble en 2000, il répondit ceci : "La danse est un art, bien sûr. J'en parle très souvent, quoi que vous en disiez, sous la forme du corps humain tournant la tête, tombant les bras levés, versant en arrière". Cette réponse m'a laissée songeuse. Je n'avais pas lu la danse dans son oeuvre, et c'est cette erreur de lecture - ou cette myopie - que l'écriture du présent essai a voulu corriger. Aussi ai-je souhaité lire ici ce que je n'avais pas lu, comprendre ce que je n'avais pas compris, en retraçant l'histoire de cette présence, à la fois fantomatique et réelle, du corps et de sa danse dans l'oeuvre.

02/2013

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Critique littéraire

Quignard, Maître de lecture. Lire, vivre, écrire

Loin des discours sur les vertus et les nécessités sociales de la lecture, Pascal Quignard, lecteur insatiable, en mesure les dangers. Elle peut être une passion dévorante, une expérience des limites, conduisant le lecteur aux confins de soi. Expérience a-sociale de ce qui en soi est le plus intime, le plus secret, elle peut aussi, à rebours, sauver la vie. Elle est, pour l'écrivain, le cœur de sa vie et de son œuvre. En elle, il puise l'énergie de sa pensée et de son écriture. Dans cet essai, à l'écoute des expériences de lecture les plus douloureuses imposées par les totalitarismes au XXe siècle, Agnès Cousin de Ravel interroge celle si singulière de Pascal Quignard, qui, au fil de ses livres, rend hommage à ses maîtres, Bataille, des Forêts, Rousseau, Montaigne et redonne vie à des auteurs oubliés. Il devient ainsi, à son tour, un Maître de lecture, invitant ses lecteurs à un voyage intellectuel et sensible au cœur de leur subjectivité.

08/2012

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Histoire littéraire

Barthes/Quignard. L'idée de littérature au tournant du XXIe siècle

Ce livre est pensé comme un exercice d'entrelecture qui croise les oeuvres de Roland Barthes (1915-1980) et de Pascal Quignard (1948). Il prend le parti de relier ces deux générations d'écrivain pour mettre en tension plusieurs enjeux théoriques qui, à l'échelle de la littérature française, ont convergé entre la fin du 20e siècle et le début du 21e siècle. Il s'intéresse plus particulièrement à ce courant d'auteurs qui a choisi de maintenir, dans les marges d'une écriture littérairement assumée, une forte ambition spéculative. L'ouvrage met alors au jour les différents arguments qui sous-tendent cette ressaisie des savoirs par la littérature. La question qui l'anime est d'ordre généalogique : il cherche à comprendre ce que la " littérarisation " des formes du discours savant (philosophie, anthropologie, psychanalyse, philologie, etc.) peut nous dire, en retour, de l'idée que la littérature se fait d'elle-même. Il montre ainsi combien cette revendication d'un savoir de la littérature tient à la fois de la fierté et de la résistance : de plus en plus contestée dans sa capacité à formuler des vérités, la littérature entend faire de sa relégation symbolique le lieu même d'une réaffirmation statutaire. A chacun des chapitres correspond alors un faisceau de problématiques que l'on retrouve au carrefour des oeuvres de Barthes et de Quignard : la concurrence des sciences et des lettres, la résurgence de la rhétorique dans la pensée littéraire, la mise en scène de la figure du " lettré ", la spectacularisation du rapport affecté au langage, la marginalisation héroïque de l'écrivain. De la revue Tel Quel aux Cahiers de L'Ephémère, de Bataille à Derrida, en passant par Rousseau et Lévi-Strauss, ce livre s'inscrit dans le jeu brouillé des généalogies pour retisser des solidarités inédites. A rebours d'une pensée de la fin de la littérature, il retrace l'histoire d'un certain " orgueil " de la littérature, symptomatique – lui aussi – du dernier tournant de siècle.

03/2021

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Critique littéraire

Pascal Quignard, l'écriture et sa spéculation. Précédé d'Esse in speculis

Des Petits Traités jusqu'au Dernier Royaume, le lecteur de Pascal Quignard, pour peu qu'il soit conquis par la beauté des phrases, ne peut manquer d'être saisi par la dimension extraordinairement théorique de l'horizon qu'elles composent. En rupture avec la philosophie et toute construction en système, la pensée de celui qui est aussi l'auteur d'une Rhétorique spéculative, s'appuyant sur la vitalité de la langue et sur la méditation de cette vitalité, n'est théorique, cependant, qu'en se nouant à sa propre écriture. Pensée qui spécule à mesure qu'elle s'écrit. Les contributeurs de ce volume, philosophes, littéraires, traducteurs, se sont essayés, chacun depuis un lieu dont l'oeuvre de Quignard vient troubler le partage, à rendre compte de cette singulière écriture, et de sa spéculation. Prolongeant leur travail à partir du mot même qui l'a initié, celui de spéculation, Pascal Quignard, dans un texte intitulé Esse in speculis, nous offre ici une méditation étymologique de son sens. Speculum, nous rappelle-t-il, c'est d'abord en latin la petite tour où un guetteur se maintient à l'affût "Etre à l'affût, c'est très différent de réfléchir. Spéculer, c'est très différent de penser."

01/2021

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