Random House Crown litterature

Aux États-Unis, une fusion d'envergure prend place entre deux filiales du groupe Penguin Random House, qui officient toutes deux dans le domaine de la littérature. Random House et Crown se retrouvent ainsi sous l'autorité de Gina Centrello, présidente et éditrice chez Random House. Le groupe promet que les identités respectives des maisons seront préservées.

Où peuvent bien mener les premiers pas d'une maison d'édition sur le terrain des jeux vidéo ? Random House vient de dévoiler quelques statistiques quant au lancement de sa fiction interactive en ligne, Black Crown, lancée courant du mois de mai. Rédigée par Rob Sherman, avec du contenu ajouté toutes les deux semaines, actuellement à 65 % de son achèvement prévu pour septembre, le titre free-to-play aurait conquis 6000 joueurs, dont 5 % ayant déboursé quelques deniers pour acquérir des suppléments payants.

L'éditeur Random House vient de sortir son nouveau site, Black Crown Project, un jeu vidéo narratif, gratuit et accessible uniquement en ligne. Un projet éditorial et vidéoludique qui n'est pour le moment pas accompagné de la publication d'un livre, dont la présentation est plus qu'éloquente : « Une nouvelle sorte d'expérience narrative infectieuse. » Rien que cela...

La conjoncture économique continue à miner les maisons d'édition. Random House, la plus grande maison d'édition au monde, s'apprête à sous-louer 9 des 24 étages que la société occupe au 1745 Broadway.

Hier sur son site internet, par un communiqué de presse, 

Random House rachète les presses Monacelli

Tandis que la fusion des deux maisons en un empire éditorial a été entérinée le 1er juillet, ses dirigeants annoncent une longue phase transitionnelle sans trop de chamboulements imminents. En attendant une mouture plus officielle, la société se trouve représentée par un logo temporaire mettant simultanément en scène la mascotte des banquises et la célèbre maison. Et le nouveau label dominant de l'industrie mondiale du livre, qui pèsera désormais plus d'un quart du marché, vient d'opérer quelques nominations à ses postes clés.

Le développement du géant allemand, le groupe Bertelsmann, qui possède une partie du monstrueux groupe éditorial Penguin Random House, a décidé de se ruer sur les médias numériques et l'éducation. À l'étranger. Un programme d'investissement est prévu à moyen terme, pour générer 1,13 milliard $. Juste de quoi s'agrandir...

Comment fonctionne l'économie numérique en Chine ? C'est la question qu'a voulu soulever Markus Dohle, président et CEO de Random House. Selon lui, pour entrer dans la tendance globale de la transformation numérique, l'e-marché chinois ne devrait pas habituer ses lecteurs à un contenu de bas prix, voir gratuit…

Après Nova Scotia au Canada, c'est au tour des bibliothèques du Connecticut de se joindre au mouvement de boycott contre Random House et sa nouvelle politique tarifaire concernant les ebooks, rapporte Melville House. 

Random House la maison d'édition de livres imprimés et numériques, vient de lancer son bulletin d'information dédié aux professionnels de l'édition. 

 Les deux sociétés se sont réconciliées, nous l'annoncions hier. Ce que nous ne savions pas alors, c'est la manière dont Random House avait fait plier Wylie. Petit retour sur les faits.

Restructuration chez Random House : 5 % de licenciements

Bertelsmann remplace la direction de Random House

Dans l'édition anglo-saxonne, l'annonce de Penguin Random House UK concernant le licenciement de 38 employés s'inscrit dans une tendance plus large de coupes d'effectifs qui traversent le secteur, aux États-Unis et au Royaume-Uni. Pourtant l'année du géant de l'édition, ponctuée par le succès de plusieurs best-sellers, se clôt sur un bilan positif.

Créé dans les années 1950, le Club Bertelsmann, sorte de France Loisirs allemand, va fermer ses portes fin 2015, a annoncé Direct Group Bertelsmann dans un communiqué. Outre le désamour des lecteurs pour la souscription, la vente directe pratiquée dans les 52 boutiques allemandes, autrichiennes et suisses ne dégage pas de résultats suffisants.

Le grand PDG du groupe Penguin Random House, résultat de la fusion des deux géants américains, a annoncé ce 27 août qu'une transition était entamée. Markus Dohle, vient en effet d'officialiser deux nominations, qui devraient marquer une nouvelle approche pour le groupe éditorial. Et l'un nommé des deux est particulièrement connu...

Un partenariat autour de “valeurs communes”

Bertelsmann a annoncé avoir finalisé le rachat des 25 % que le géant de l’éducation Pearson avait encore dans l’entreprise Penguin Random House : il possède à présent 100 % d’un des plus importants groupes d’édition au monde.

Pour la coquette somme de 54,5 millions €, Berlusconi va donc se séparer de sa filiale espagnole, Random House Mondadori, et ce, peu de temps après que les groupes Bertelsmann et Pearson ont annoncé la fusion prochaine de leurs entités éditoriales. Penguin et Random House ne feront plus qu'un, à compter de la mi-2012, si l'autorité de la concurrence y consent, bien entendu.

La question du prêt d'ebooks en bibliothèques vient de faire un bond. Si les consommateurs achetant des livres numériques possèdent rarement l'ouvrage (stockage dans le cloud, pas de téléchargement du fichier, présence de DRM...), les bibliothèques revendiquent pour leur part qu'elles sont propriétaires des ebooks. De la même manière qu'elles possèdent les ouvrages imprimés. Sans discrimination.

Afin de faire sortir de l'inconnu certaines de ses nouvelles publications, la maison d'édition Random House a l'habitude d'user d'une pratique commerciale des plus agressives : elle distribue des livres gratuitement dans des lieux particulièrement choisis. Ainsi, des spectateurs du traditionnel Shakespeare in the Park, à New York, se sont vus remettre quelques livres gratuits.

Conrad Moffat Black n'est pas né de la dernière pluie : financier et biographe, il avait été condamné en 2007 à six années de prison. Il est libéré sous caution en juillet 2010, et depuis, les péripéties juridiques vont de Charybde en Scylla. Dernièrement, c'est un recours de ses avocats qui a été déposé, pour vice de procédure.

La fusion entre les deux grands groupes, Penguin, filiale de Pearson, et Random House, filiale de Bertelsman, a été entérinée ce matin même, par les deux sociétés mères. La nouvelle marque Penguin Random House, sera donc le plus important groupe éditorial au monde, avec la plus grosse liste de best-sellers. Et partout dans le monde, les autorités de la concurrence ont donné leur accord... 

Random House comptait parmi les derniers irréductibles à refuser que ses livres numériques ne soient présents dans l'ebookstore d'Apple. Mais depuis, les choses ont changé.

La maison d’édition Penguin Random House, version australienne, a annoncé ce matin la vente de sa librairie en ligne, Bookworld. Le bénéficiaire n’est autre que Booktopia. Le résultat ? Deux des plus grandes boutiques australiennes de l'internet du Oueb vont ainsi ne faire qu’une. 

L'année 2014 fut juteuse, pour le groupe Penguin Random House. Au point que les employés recevront un petit bonus, en ce mois d'avril, de 750 $. Les revenus ont en effet augmenté de 25,2 %, pour se porter à 3,3 milliards €, alors que le bénéfice d'exploitation est en hausse de 24,5 %, à 452 millions €. Markhus Dole, le directeur général, savoure.

La maison d'édition Penguin Random House, éditeur numéro un aux États-Unis et au Royaume-Uni, se tourne vers la plate-forme de microblogging Tumblr pour lancer sa campagne visant à dénicher de nouveaux commerciaux. Avec Tumblr, l'un des réseaux sociaux les plus populaires chez les 18-34 ans, le groupe éditorial compte attirer les jeunes créatifs.  

Les éditeurs prennent le pli de la communication sociale, et notamment des outils mis à disposition. Le dernier accord en date a été passé entre Random House et Pinterest, pour favoriser la connexion entre les lecteurs et les ouvrages. L'idée est d'enrichir les contenus proposés sur le site de l'éditeur, par l'intermédiaire de l'API du réseau de partage de photos.