Recherche

Rendez-nous nos noms ! Quand les juifs revendiquent leur identité perdue

Rédacteurs

Dossiers

ActuaLitté

Dossier

Nos horizons désirables : le livre a rendez-vous avec son avenir

Devant les défis importants du domaine du livre, les experts et volontaires s'engagent activement. L'Agence coordonne les Rencontres régionales du livre et de la lecture dans la région des Hauts-de-France, un événement visant à collaborer pour façonner l'avenir du secteur et envisager des perspectives prometteuses.

ActuaLitté

Dossier

Nos amies les bêtes : les animaux dans la littérature

Depuis l’intérêt des Mésopotamiens dans des récits mythologiques aux premières fables d’Ésope, nos amies les bêtes occupent une place particulière. Tout à la fois créatures choyées et craintes, compagnons ou ennemis, elles bénéficient d’une affection particulière chez les écrivains. Et loin de ce que l'on imaginerait, pas uniquement en littérature jeunesse.

ActuaLitté

Dossier

Robots, extraterrestres, IA, humains... qui aura le dernier mot ?

Ah, l'ère technologique ! Une époque où nos téléphones sont plus intelligents que nos animaux de compagnie, où nos montres peuvent nous dire combien de pas nous avons faits (comme si cela comptait vraiment après cette pizza quatre fromages) et où nos réfrigérateurs peuvent nous rappeler d'acheter du lait. Mais attendez, ce n'est pas tout ! 

ActuaLitté

Dossier

Festival des Littératures européennes de Cognac 2021

Cette année, le LEC Festival nous emmène sur « la route du Danube », chère à Emmanuel Ruben. Éloignés des lecteurs depuis longtemps, la tentation de l’ailleurs a été forte. Que ce fleuve soit un pont entre nous et les peuples qui le bordent ! Stephan Zweig montre dans Le Monde d’hier combien nos destins sont liés. Les invités nous raconteront l’Histoire et des histoires, ils nous inviteront à écouter leur musique.

ActuaLitté

Dossier

Les Contes des coeurs perdus

Les Contes des cœurs perdus est une collection enchanteresse créée par le scénariste Loïc Clément, dans un univers mélangeant réalité et fantastique.

ActuaLitté

Dossier

Les littératures d'Italie se donnent rendez-vous à Cognac

Le Festival des Littératures Européennes de Cognac (LEC Festival), fondé en 1988, est une célébration annuelle de la littérature européenne. Chaque édition explore un thème spécifique (région d'Europe, pays ou sujet d'actualité), offrant un panorama diversifié des lettres européennes tout en mettant en lumière les grands classiques mais aussi les écrivains contemporains.

Extraits

ActuaLitté

Psychologie, psychanalyse

Rendez-nous nos noms ! Quand les juifs revendiquent leur identité perdue

Rendez-nous nos noms ! Tel est le propos du manifeste coordonné par Céline Masson et Natalie Felzenszwalbe. Après la Seconde Guerre mondiale notamment, nombre de familles juives ont en effet changé leur nom pour échapper à la persécution antisémite et nazie en le francisant. Aujourd'hui, après des décennies de silence, de refoulement peut être, ces familles tentent de faire valoir leur droit auprès de la justice administrative. Combat des origines retrouvées, découverte douloureuse parfois de toute une histoire, secret des liens familiaux... Avec des témoignages, des réflexions inédites, les auteurs permettent à cette mémoire étouffée de retrouver la parole. Préfacé par Annette Wieviorka et postfacé par Daniel Sibony, ce document fort rejoint l'histoire du judaïsme contemporain et les traumatismes qui l'ont marqué.

11/2012

ActuaLitté

Littérature étrangère

Tous nos noms

Evénement littéraire aux Etats-Unis, Tous nos noms est sans doute le livre le plus ambitieux de l'auteur des Belles choses que porte le ciel. Roman de la maturité, où l'évocation d'une amitié mise à mal par l'Histoire se confond avec le portrait d'un continent déchiré, il pousse plus loin encore l'exploration de l'exil et du déracinement. Isaac, un jeune Africain, est venu aux Etats-Unis dans le cadre d'un programme d'échange universitaire. Ni Helen, la jeune assistante sociale qui tombe amoureuse de lui, ni le lecteur ne connaissent son vrai nom : il l'a laissé derrière lui, en Ouganda, avec les promesses d'une révolution réprimée dans le sang par la future dictature, abandonnant aussi son ami le plus cher. Du chaos de l'Afrique à la solitude du Midwest, dans une Amérique déchirée entre la guerre du Vietnam et la lutte pour les droits civiques, l'écriture intimiste et mélancolique de Dinaw Mengestu, mêlant les voix d'Helen et d'Isaac, saisit les paradoxes de l'Histoire et de la nature humaine avec une force et une intelligence peu communes. " Un roman étincelant, profondément émouvant. " The New York Times

08/2015

ActuaLitté

Théâtre

Nos enfants nous font peur

A la campagne ou à la ville, à Versailles à Saint-Denis, dans le XVIe, le XIXe : je suis en France, quand je mange des sushis rue du Faubourg-du-Temple avec la télé japonaise, sur écran plasma, je suis en France en mangeant une pizza casher avenue Gambetta, je suis en France chez l'épicier algérien, le cordonnier chinois, le taxiphone indien... je l'apprends tous les jours la France, dans les mots étrangers que j'entends, dans les couleurs les odeurs les accents...

02/2009

ActuaLitté

Développement personnel

Chairissons-nous ! Nos corps nous parlent

Chairissons-nous ! est une incitation à refaire corps. Le verbe "chairir" partage les valeurs essentielles de son homophone "chérir" : l'attention, le respect, la bienveillance. S'il est écrit avec l'"ai" de la "chair", c'est pour rendre sa place au corps dans les liens que tissent et cultivent ces aspirations. Le corps est un capital, matériel et symbolique. Le corps est aussi l'oeuvre évolutive du frottement de la vie contre nos peaux. "Se chairir", c'est prendre conscience de la liberté que nous offre ce mouvement. C'est nous alléger de fausses évidences qui brusquent nos vulnérabilités et nous brident. C'est colorier de joie et d'audace nos espaces-corps. Questionnant autant l'image de soi, les liens corps-environnement, l'activisme féministe et le tatouage que l'anorexie ou le body positivisme, Chairissons-nous ! est une invitation à parler créativement nos corps.

05/2019

ActuaLitté

Littérature française

Nos rendez-vous

Ce roman d'une passion d'amour contrariée est aussi le roman d'une époque. Amélie et Vincent se rencontrent, adolescents, à la Sorbonne à la fin des années 80. Dès cette scène de première vue, chacun ressent un coup de foudre sans oser l'avouer à l'autre : aucun des deux ne se sent "à la hauteur", aucun ne fait le premier pas, aucun n'a la maturité de saisir son bonheur... Ils se donnent rendez-vous, la jeune femme est en retard : à quelques minutes près, ce jour-là, ce n'était pas un simple rendez-vous qu'elle ratait, c'était sa vie ! Il ne savent pas que la vie prend le dessus, qu'elle nous emporte malgré nous vers des destins que nous ne maîtrisons plus, nous fait prendre des bifurcations comme on emprunte des portes, puis des couloirs, de dix ans, de vingt ans, de trente ans, nous fait épouser des personnes que nous n'aimons pas vraiment, faire des enfants avec des êtres qui n'auraient pas même été nos amis, nous fait rester avec eux à cause des enfants, nous sépare d'eux à cause des enfants... On suit en parallèle la trajectoire intime et professionnelle d'Amélie et de Vincent, et chaque fois que les hasards de l'existence les remettent en présence, ce n'est pas "le bon moment". Il leur faudra attendre presque trois décennies pour qu'enfin, vieillis, mûris, cabossés, ils puissent finir par s'avouer, et avouer à l'autre, qu'ils étaient faits l'un pour l'autre : "Vingt-huit ans, trois mois et douze jours que nous nous connaissons... Des mariages, des divorces, des deuils, des enfants, des centaines de voyages, parfois au bout du monde, des succès, des échecs, des espérances déçues, des rêves d'enfance perdus, des enfances déchues... Vingt-huit ans de rêves et de désir".

01/2020

ActuaLitté

Faits de société

Nos enfants nous haïront

Des retraites à payer, une nation paresseuse, une planète abîmée... Un jour, nos enfants auront 20 ans, 30 ans, 40 ans. Alors, pleins d'espoir et affamés d'avenir, ils comprendront que nous, les baby-boomers, leur avons laissé une société usée et mitée. Ce jour-là, ils nous haïront. Et ils auront raison. Nous avons eu tous les atouts en main, nous avons grandi dans une société en pleine croissance. Pourtant, nous sommes la première génération qui laissera moins à la suivante que ce qu'elle a reçu de la précédente. Et c'est le pire qu'on puisse faire à ses enfants leur léguer des dettes. Il ne s'agit pas de peindre le futur en noir. Mais de jeter un regard lucide sur ce que nous avons fait et de lancer les chantiers de l'avenir. Avant qu'il ne soit trop tard.

09/2006

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté