Reznikov Prix romancières

Le 20e Prix des Romancières a été remis ce mercredi 28 mars dans le salon André Gide du Bistrot de Paris (33, rue de Lille, Paris 7e) à la romancière, traductrice et critique littéraire Patricia Reznikov pour Le songe du photographe, publié récemment aux éditions Albin Michel. Elle succède à François Cérésa, lauréat 2017 pour Poupe (Le Rocher). 

Cinq titres composent la deuxième sélection du Prix des Romancières, qui récompense une œuvre en prose de langue française, susceptible de toucher un large public par son caractère universel. 

Quatre titres composent la deuxième sélection du Prix des Romancières, qui récompense une œuvre en prose de langue française, susceptible de toucher un large public par son caractère universel.

Quatre titres composent la deuxième sélection du Prix des Romancières, qui récompense une œuvre en prose de langue française, susceptible de toucher un large public par son caractère universel.

Huit titres composent en 2021 la première sélection du prix des Romancières, qui récompense une œuvre en prose de langue française, susceptible de toucher un large public par son caractère universel.

Audrey Claire lauréate du 12e prix des Romancières

Le 24e Prix des Romancières est attribué au roman de Véronique Ovaldé, Fille en colère sur un banc de pierre, publié aux éditions Flammarion en janvier dernier. Élue au premier tour, elle succède à François-Guillaume Lorrain, lauréat 2022 pour Scarlett, (Flammarion). Le vote s’est déroulé le 19 avril dans le salon André Gide du Bistrot de Paris.

Le 21e Prix des Romancières a été remis ce jeudi 18 avril dans le salon André Gide du Bistrot de Paris (33, rue de Lille, Paris 7e) à Jean-Paul Delfino, pour Les voyages de sable, publié aux éditions Le Passage.

Une de plus, mais cette fois, c’est un prix littéraire qui accuse le coup du coronavirus. En effet, le Prix des Romancières 2020 ne sera pas mené au bout, apprend-on dans un communiqué.

Neuf titres composent en 2023 la première sélection du Prix des Romancières, qui récompense une œuvre en prose de langue française, susceptible de toucher un large public par son caractère universel.

François-Guillaume Lorrain est le nouveau lauréat du Prix des Romancières 2022 pour Scarlett, publié aux éditions Flammarion. Elu au premier tour, il fut désigné parmi cinq finalistes, sélectionnés en mars dernier. Financé par la Ville de Saint-Louis, créé en 1999 par Jacqueline Monsigny, le Prix des Romancières récompense l’auteur d’une œuvre en prose de langue française, susceptible de toucher un large public par son caractère universel.

Quatre titres composent la deuxième sélection du Prix des Romancières, qui récompense une œuvre en prose de langue française susceptible de toucher un large public par son caractère universel. Le dernier vote se tiendra le 19 avril, et le prix sera proclamé à Paris le 3 mai.

Créé en 1999 à la Foire du Livre de Saint-Louis, le Prix des Romancières récompense une œuvre en prose de langue française, susceptible de toucher un large public par son caractère universel. Le jury a dévoilé, mercredi 12 janvier, sa première sélection après délibération. 

Cinq titres composent la deuxième sélection du Prix des Romancières, qui récompense une oeuvre en prose de langue française, susceptible de toucher un large public par son caractère universel.

La première sélection du Prix des Romancières, qui récompense une œuvre en prose de langue française capable d'atteindre un large public grâce à son caractère universel, comprend neuf titres.

Camille Peretti sera honorée du 25e Prix des Romancières le mercredi 3 avril chez Livres Hebdo, récompensée pour L’inconnue du portrait, éditée par Calmann-Lévy. Désignée lauréate dès le premier tour, elle prend la relève de Véronique Ovaldé, gagnante de l'édition 2023 pour Fille en colère sur un banc de pierre (Flammarion). Le processus de sélection a eu lieu le 20 mars à la bibliothèque André Gide du Bistrot de Paris.

La prochaine rentrée littéraire verra apparaître une nouvelle récompense, qui se veut innovante et entend combiner deux tendances actuelles : le crowdsourcing et les primo-romanciers, tout en s'appuyant sur le savoir-faire d'un club de livres associé à celui d'une maison d'édition spécialisée dans les nouveaux écrivains. Pour la première remise de ces lauriers, le rendez-vous est fixé au 24 septembre 2013 au siège de France Loisirs.

La 25e édition du Prix des Romancières, décerné annuellement, a vu sa deuxième sélection annoncée pour l'année 2024. Ce prix, destiné à récompenser une œuvre de prose en français pouvant captiver un large public grâce à son universalité, a vu son jury se réunir ce 7 février dans l'enceinte de la Bibliothèque André Gide au Bistrot de Paris. Après délibération, cinq ouvrages ont été choisis.

Les comptes seront faits le 5 novembre prochain, à la date même du Goncourt, mais pour l'heure, ce sont les cinq finalistes pour la sélection Roman et les trois de la sélection Essais, que le prix Renaudot vient de présenter. David Foenkinos fait l'objet de multiples convoitises, présent dans cette liste, mais également celle du Goncourt. Difficile, difficile…

Le prix des Romancières, organisé en partenariat avec le Conseil régional du Grand Est et la Ville de Saint-Louis, est décerné à François Cérésa pour son roman Poupe, publié par les éditions du Rocher. Créé en 1999 lors de la 16e édition de la Foire du livre de Saint-Louis, le Prix des Romancières récompense un auteur de roman grand public écrit en français.

7 titres composent la première sélection du prix des Romancières, qui récompense une œuvre en prose de langue française, susceptible de toucher un large public par son caractère universel.

Auteure d’une trentaine de livres, Solange Fasquelle, membre du jury du prix Femina, est décédée ce 15 août. La famille a annoncé sa mort, survenue des suites d’une maladie. Romancière, elle avait vu son roman Le trio infernal adapté par Francis Girod, en 1974. Un ouvrage réaliste qui revenait sur l’Affaire Sarrejani, avocat d’affaires, mais également criminel, qui fut guillotiné en avril 1934.

Hilary Mantel vient d'être distinguée par le prix Costa du meilleur roman britannique. C'est son dernier ouvrage, Bring up the bodies, qui a, en effet, retenu toute l'attention du jury. La romancière britannique est la première à obtenir ainsi, la même année, les prix Booker et Costa, rapporte The Associated Press.

Née en 1960 à Hameln, Felicitas Hoppe vient de se voir remettre la plus importante récompense littéraire allemande, le prix Georg-Büchner, rapporte l'AFP. Essayiste et romancière de talent, elle se fit remarquer en 1996 pour son recueil de nouvelles Le pique-nique des coiffeurs.

Prix SNCF du polar 2009 : votez pour les six romanciers finalistes

Le 22e Prix des Romancières a été remis ce mercredi 31 mars en comité restreint à Andreï Makine, de l’Académie française, pour L’ami arménien, publié aux éditions Grasset. Élu au premier tour, il succède à Jean-Paul Delfino, lauréat 2019 pour Les voyages de sable (Le Passage), le prix n’ayant pas été décerné en 2020. 

Qui sont les lecteurs des lauréats des prix littéraires ? Babelio, en collaboration avec ActuaLitté, se penche sur les profils des lecteurs des écrivains distingués par les récompenses d'automne. Grâce à Babelio Data, un outil d'analyse avancé, une série d'articles est publiée pour dresser un portrait des différents publics de ces auteurs. Nous poursuivons notre série avec Neige Sinno, dont Triste titre (P.O.L) aura presque tout raflé.

En France, seuls deux de ses trois premiers romans ont été traduits chez Actes Sud, La fiancée gitane en février 2019 et Le Réseau pourpre en avril dernier (trad. Anne Proenza). Mais Carmen Mola préservait un mystère entier : cette Madrilène de 45 ans, se présentait comme mère de famille avec trois enfants. De fait, ils étaient bien trois, mais des auteurs, qui s’abritaient derrière ce pseudonyme. En recevant le prix littéraire majeur en Espagne, ils ont mis un terme à leur secret.

C'est avec son dernier roman, Les raisons de mon crime (233 pages, 17,90 €, Gallimard) que la romancière Nathalie Kuperman, née en 1963 à Paris, remporte le Prix de la Closerie des Lilas 2012.

Depuis quelques années, le polar s'est départi d'une image trop restreinte. Celle d'un genre acheté au kilomètre avec la vilaine étiquette de « roman de gare », le petit poche acheté pour être lu le temps d'un voyage et aussi vite oublié. Si on parle davantage de roman noir comme pour effacer une image trop populaire, les métamorphoses vont plus loin que le règne des auteurs venus du froid. En Australie, on n'hésite plus à mêler régulièrement le surnaturel, qui connaît un retour en grâce, au genre noir.