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Riccardo Cardellicchio

Extraits

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Littérature française

J'ai vu Ricardo finir

Ricardo, ex champion d'Afrique de Basket-ball et haut cadre, rencontra pour son malheur Mme Débohi Drissénon, fondé de pouvoir de sa banque. Celle-ci était membre des Madones Serties, une secte de femmes qui avaient pour unique ambition d'être des veuves riches. Par des micmacs, elles réussirent à l'isoler de tous les siens afin d'en faire une proie facile et le tuer. Pour y arriver, elles lui flanquèrent d'abord " une épouse ". Puis, elles mirent à contribution leur réseau composé de gourous religieux, d'hommes de loi, d'agents de sécurité, de domestiques... Elles y parvinrent, plus facilement que prévu.

10/2021

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Histoire de la pensée économiq

David Ricardo. L'économiste capital

Une lecture de vacances, au hasard d'un séjour à Bath, change la destinée de David Ricardo (1772-1823) : la découverte des Recherches sur les causes et la nature de la richesse des nations d'Adam Smith, le conduira à refonder, en quelques années, l'économie politique. Nombreux sont ceux qui ont construit leur oeuvre en réponse à ses Principes ou en rupture avec eux : de Malthus, qui fut son meilleur ami et son plus fidèle adversaire, à Marx ou Keynes des années plus tard. Après Trafalgar et Waterloo, dans le décor d'une Angleterre qui est celle des gentilshommes campagnards de Jane Austen, mais aussi des ateliers de Manchester, tous les conflits sont loin d'être résolus : rentiers du sol contre industriels, ouvriers contre patrons, fermiers contre propriétaires... Ricardo est le premier à scruter les contradictions, mais aussi les espérances d'une société capitaliste. C'est le propre des classiques d'être toujours actuels, même deux cents ans après leur mort. L'armature forgée par ce prince de l'économie permet encore de poser, en toute objectivité, les termes des débats les plus biaisés en apparence. Quelle est la nature de l'opposition entre capital et travail ? Le libre-échange donnet- il la clé de la prospérité ? Faut-il faire travailler l'homme ou la machine ? A quand la décroissance ? Ricardo élargit dramatiquement le diamètre du cercle de la raison économique : certaines réponses qu'il suggère risquent de vous surprendre.

10/2023

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Beaux arts

Ricardo Bofill. Une architecture visionnaire

Ricardo Bofill est l'un des architectes majeurs et visionnaires radicaux du xxe siècle. Avec le Taller de Arquitectura, une équipe pluridisciplinaire, il a conçu des complexes urbains d'avant-garde, élevés au rang d'icônes et mis à l'honneur dans de nombreux films et photographies. Sa vision de la vie urbaine et du collectif a toujours défié toutes les idées reçues en matière d'espace partagé et proposé un mode de vie alternatif. Cette monographie explore son approche révolutionnaire à travers la mise en perspective de ses plus grands projets. Nouvelles photographies étonnantes, textes de spécialistes et commentaires de l'architecte accompagnent dessins préparatoires et plans de niveau. A une époque où les styles architecturaux dominants tendent toujours plus vers l'homogénéité, les créations fantasques de Bofill comblent nos attentes en matière d'originalité, de personnalité et d'idéaux.

03/2019

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Architectes

Ricardo Bofill. Les années françaises

Reconnu en Europe comme un architecte d'avant-garde dans les années 70, l'architecte catalan Ricardo Bofill fut appelé sur la scène française suite à la destruction des Halles de Baltard en 1971. Appelé à concourir en 1974, l'architecte tenta de renouer avec les formes historiques de l'architecture et de l'urbanisme parisiens. Ecarté en avril 1978, après plus de 3 ans de projets et de maquettes par Jacques Chirac, premier maire de la Ville de Paris, qui préfèrera une architecture neutre et moins monumentale, Bofill va néanmoins jouer un rôle de premier plan dans l'élaboration des villes nouvelles en France, de 1972 à 1985, avec des projets aussi marquants que controversés : Abraxas à Marne-la-Vallée, le Lac, à Saint-Quentin-en-Yvelines, la Place Majeure, à Cergy-le-Haut, ou encore le le quartier Antigone de Montpellier. Conçu comme un véritable journal de bord largement illustré, décrivant les relations étroites entre l'architecture et la politique sous Valéry Giscard d'Estaing et François Mitterand, cet ouvrage revient pour la première fois sur l'emblématique chantier des Halles, couvert par une clause de confidentialité jusqu'au décès de l'architecte, en 2021. A travers les récits de témoins de l'époque, Jack Lang, Jean-Jacques Aillagon, Paul Chemetov, Roland Catro... comme les archives du Taller, l'auteure décrit la prodigieuse ascension de Bofill au rang de superstar, ainsi que l'importance de l'architecture, alors au centre de toutes les conversations.

11/2023

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Ouvrages généraux

L'indianisme en Amérique latine : Ricardo Rojas

L'oeuvre de l'Argentin Ricardo Rojas permet d'aborder les relations entre cosmopolitisme et nationalisme depuis une perspective originale. Fin connaisseur de l'histoire de la littérature argentine et des biographies de San Martín et Sarmiento, qui seront ensuite portées au grand écran, son esthétique eurindienne a mis en avant l'héritage précolombien dans un scénario d'immigration européenne oublieux de toute empreinte continentale sur la "fabrication" de la culture nationale. A l'aube du xxe siècle, Rojas a trouvé dans le territoire le principal support symbolique et matériel du lien social et a proposé de remplacer la dialectique européenne de la civilisation et de la barbarie par l'indianisme et l'exotisme, dans le but de démystifier la lecture asymétrique des peuples comme supérieurs et inférieurs. Ce livre constitue une contribution essentielle à la réflexion sur la dimension démocratique et pluraliste singulière des nationalismes latino-américains, qui les distingue de leurs homologues européens.

07/2022

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Littérature étrangère

L'Année de la mort de Ricardo Reis

On sait que le poète portugais Fernando Pessoa (1887-1935) s'était exercé à la production de ce qu'on appelle des hétéronymes : un groupe d'écrivains de noms divers et d'esthétiques différentes auxquels il attribuait certaines de ses oeuvres. Le roman de José Saramago est l'histoire, en quelque sorte devenue indépendante, d'un de ses hétéronymes, Ricardo Reis - poète, d'après son " oeuvre ", de la fuite du temps et épicurien à la " sérénité crispée " -, tout de suite après la mort de Pessoa. Ricardo Reis, parti du Portugal au moment des troubles nés de l'instabilité de la jeune république, et après avoir vécu dans un exil doré au Brésil, revient donc - ayant perdu son créateur - à la découverte d'une Lisbonne nostalgique et policière où il exerce la profession de médecin, non sans céder de temps en temps à des passions brèves. Mais il n'en finit pas pour autant avec celui dont, dès l'abord, il va visiter la tombe et qui revient le voir régulièrement. Il s'agit donc ici d'une fiction greffée sur une fiction et engendrant un mystérieux jeu de miroirs : les reflets se multiplient à l'infini, renvoient les uns aux autres, créant une singulière galaxie. Qui ne va pas sans une interrogation profonde sur la vérité et l'unicité du sujet.

10/1988

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