RoboCop

« S'il vous plaît, gardez une distance d'un mètre, s'il vous plaît, limitez-vous à cinq personnes par groupe. » Une voix robotique qui interpelle les passants qui ne respectent pas les distances de sécurité imposées par la situation sanitaire – voilà une scène aux airs de société dystopique, et pourtant. Loin d’une fiction, c’est, depuis le 5 septembre, la réalité de Singapour.

Si l'homme de Fer de Stan Lee vit le jour en 1963, dans Marvel Comics, et a connu depuis une large et grande carrière, le personnage de RoboCop, n'apparut qu'en 1987 dans le film de Paul Verhoeven. Passons sous silence la nouvelle version remixée, qui est récemment sortie au cinéma. L'armure pour soldat parfait, le cyborg protecteur du citoyen, avec un coeur de flic en or, l'armée américaine s'en est emparée depuis des lustres. 

AVANT-PARUTION – C’est presque pareil ! explore avec humour la face cachée du 7e art et dévoile ses pires ainsi que ses meilleures arnaques. Quand une idée est bonne, elle peut bien servir plusieurs fois ! Chaque grand succès hollywoodien ouvre ainsi la voie à une surprenante parade de copies et d’ersatz.

Quand on voit ce que Hollywood a fait de son Robocop, on comprend facilement que Paul Verhoeven ait envie de changer d'air. Pour son prochain film, le réalisateur a jeté son dévolu sur Oh !, le roman de Philippe Djian paru en 2012 chez Gallimard. Le long-métrage sera produit par Wild Bunch, et la nouvelle annoncée par son codirecteur Vincent Maraval.

Si plusieurs réalisateurs ont déjà jeté leur dévolu sur le célébrissime Bel-Ami de Guy de Maupassant, aucune de ces adaptations n’a pour le moment été destinée au petit écran. C’était sans compter sur Paul Verhoeven (RoboCop, Total Recall, Elle) qui travaillerait actuellement sur une version contemporaine du roman, et en minisérie, annonce son producteur Saïd Ben Saïd.

Nul joueur ayant possédé un NES – oui, oui, ce n’est pas tout jeune... – ne peut être passé à côté de Mega Man. Ce personnage développé par Akira Kitamura, pour le compte de Capcom, était un robot à visage humain, une sorte de Robocop sympathique, sur jeu de plateforme. Débutée en 1987, la franchise est devenue un véritable carton pour Nintendi, avant de se développer sur d’autres consoles.

Et si Terminator affrontait Robocop ? Ou que Goldorak se la mettait avec les Transformers ? Ces questions, les amateurs de pop culture et de culture tout court se les sont posées régulièrement. Le dessinateur Thierry Martin a décidé de mettre en images les affrontements de personnages de la bande dessinée mondiale, manga et comics y compris, avec l'aide de quelques collègues... À vous de découvrir « Les combats célèbres dans l'espace inter-iconique »...

La folie du dimanche s'empare du Salon du livre

Soyons honnêtes, la décennie 80 connu quelques-uns des meilleurs films de science-fiction de l'histoire du cinéma, parallèlement à une vague d'anime de toute beauté. Alors, coupler les deux ne pouvait que produire un résultat grandiose : le Russe Dmitry Grozov, ou Ahriman de son nom d'artiste, a revisité les films cultes que sont Terminator, Alien, Predator ou Blade Runner pour en faire des anime...

Le 7 février 2019 marquera le lancement du nouveau label de bande dessinée, Vestron, avec la sortie de l'album Predator : Chasseurs en librairie. Spécialisé surtout en « Ciné-Comics », mais loin de se cantonner à cette approche, Vestron publiera surtout des BD tirées de films en albums « paperback » des livres à couverture souple, au format unique.

Détourner des affiches de films ou des couvertures de livres fait partie des exercices préférés des graphistes et autres artistes. Matt Stevens le prouve une fois de plus avec son projet Good Movies as Old Books (« De bons films, comme des vieux livres »), qui imagine des films-cultes comme Alien, Fargo, Do the Right Thing ou Mad Max : Fury Road sous la forme de livres vintage...

Paul Verhoeven : 'Jésus, fils de de Marie, violée'

Voilà une nouvelle qui devrait réjouir à la fois les fans de Django Unchained et … du Zorro de Matt Wagner ! En effet, le Hollywood Reporter a annoncé que le réalisateur mêlerait son talent à celui du dessinateur, afin de continuer les aventures du chasseur de prime aux côté de Zorro, le tout en comics... et d'ici la fin 2014.

Emmanuel Vincenot et Emmanuel Prelle signent une anthologie du cinéma de contrefaçon, Nanar Wars, une superproduction des éditions Wombat. Trente-cinq films sont évoqués et explorés dans l'ouvrage, soit autant de piratages et récupérations étranges des succès hollywoodiens. À l'occasion de la sortie du livre, une exposition d'affiches est organisée à la French Paper Gallery, à Paris.

Il aura fallu près de 6 mois pour que l’histoire soit définitivement réglée — ainsi qu’un sympathique chèque. Pour 8,45 milliards $ (6,91 milliards €), Amazon s’est offert le studio de réalisation et production MGM. Un lion qui continuera de rugir, donc, mais cette fois pour le compte de Jeff Bezos…

Alexandre Aja et la société de production américaine The Ministry of Content ont acquis les droits de la bande dessinée Les Sentinelles, écrite par Xavier Dorison et mise en image par Enrique Breccia aux Éditions Delcourt, vient d'annoncer l'éditeur dans un communiqué.

Dans les semaines qui précédent l'événement, les plus fins lecteurs commencent déjà les préparatifs liés à la venue au Salon. C'est qu'il faut programmer les différentes dédicaces auxquelles on souhaite assister, ou même prévoir le trajet jusqu'à la capitale et cet événement autour de la lecture. De ce point de vue, le Salon n'a rien perdu de sa capacité d'attraction.

Manga quoi ? Aujourd'hui, au Salon du Livre, Miya invite le p'tit public de la p'tite scène à sortir leurs plus beaux crayons (Non, pas les baguettes, Jimmy !) pour se dégourdir les doigts. Il s'agit de dessiner manga, les enfants. Miya est l'auteur française du manga Vis-à-vis (série composée de trois tomes publiée chez Pika).

Quelque part vers la fin des années 80, au cœur de l’Arizona, il était un réparateur d’aspirateur, parmi les plus talentueux que la Terre ait jamais portés. LE réparateur. Mais il se pourrait que ce ne soit là qu’une couverture...

Concentrant des flux de communication provenant des quatre coins du globe, Twitter est peut-être la plus grande agence de presse jamais créée. Un robot développé par Narrative Science peut désormais exploiter cette manne d'informations et d'opinions pour mettre automatiquement en forme des articles.

Le Prix Hors les murs 2019, décerné par un jury composé de personnes incarcérées en Normandie, a été remis à Nicolas Petrimaux pour son album Il faut flinguer Ramirez, publié par les éditions Glénat. 125 personnes ont participé à la sélection puis à l'élection du titre. L'auteur recevra la récompense lors de la 24e édition du festival de BD de Darnétal, Normandiebulle, le 28 septembre 2019.

C'est à se demander s'il n'aurait pas mieux fait de passer son tour, le sieur X-Man Darcos avec son histoire de portiques. Qualifié de «

BANDE DESSINÉE – La vie de cochon star a cela d’enviable qu’il peut devenir la coqueluche des réseaux sociaux, en un rien de temps. Néo avait fini par disposer de comptes Twitter, Facebook et chacune de ses apparitions défonçait le moindre lolcat dont la toile est pourtant friande. Mais ça, c’était avant…

Dis-moi ce que tu postes, je te dirai si tu vas entrer dans les petits fichiers de contrôle de mon grand réseau. Facebook prendrait-il les devants, en anticipant les demandes d'ayants droit et de majors, avec ce nouvel outil ? Le réseau social qui établit un profil factuel à des fins commerciales, de ses usagers, se lancera dans un profilage psychologique, pour déterminer qui est un pirate et qui pourrait le devenir...

#RentreeLitteraire23 - Une autre belle plume de droite qui naquit auprès de Léo Scheer, avec un nom qui est une attraction en soi, Louis-Henri de La Rochefoucauld. Ce patronyme fut même un thème exclusif quand en 2013, le jeune et noble auteur de Révolution française, était invité en binôme avec l’excentrique convenu Gonzague Saint-Bris, dans l’émission de l’actuel édité chez Léo Scheer, Éric Naulleau, et l’enfant « angoissé existentiel » (dixit le même Naulleau), Éric Zemmour…