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Siri

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Comédie romantique et humorist

Siri, qui suis-je ?

" Quand Le Journal de Bridget Jones rencontre La Revanche d'une blonde. " Booklist " Il faut croire que je suis le genre de fille qui atterrit à l'hôpital en robe de cocktail un mardi soir, sans pièce d'identité, ni accompagnant. Le médecin dit que j'ai passé les deux derniers jours dans un léger coma, comme Peter Gallagher dans L'amour à tout prix, un film dont je me souviens chaque réplique. Pour ce qui est de mon nom à moi ? Pas la moindre idée. Tout ce que je sais, c'est que je déteste ma coiffure. " Lorsque Mia se réveille dans un hôpital de Long Beach, elle est incollable sur la famille Kardashian-Jenner mais ne sait plus ni son nom ni où elle habite. Heureusement que les réseaux sociaux existent ! Instagram lui indique alors qu'elle vit dans une immense villa dont la façade rose ferait pâlir de jalousie Kylie Jenner. C'est là qu'elle tombe sur Max, un séduisant house-sitter, qui lui explique que la maison appartient en réalité à son petit ami, JP, un milliardaire français. Waouh la vie de Mia semble parfaite ! Mais en remontant son fil Instagram, Max et elle lèvent le voile sur une vérité surprenante... A l'ère où tout va si vite, est-il encore temps pour elle de réécrire son histoire ? " Vous avez aimé The Flight Attendant ? Ce roman est fait pour vous. " E ! Online " Une satire mordante sur l'ère 2. 0. " POPSUGAR " Parfait pour les amateurs de comédies romantiques modernes. " Kirkus Reviews " Amusant et divertissant. " Publishers Weekly

05/2021

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Livres 0-3 ans

Qui Siri la souris cherche-t-elle ?

De superbes languettes en textiles tissé de qualité supérieure ajoutent un véritable plus à ces livres d'histoires. Côté face figure le personnage qui apparaît dans l'histoire à cette page. Alors que côté pile, les tout-petits pourront observer un objet à découvrir dans l'illustration de la page. Si bien que, parallélement au jeu de l'espion de Charlie le Chien avec les autres animaux de la maison, les languettes ajoutent un élément amusant à cette charmante expérience de lecture. Les enfants peuvent également se servir des languettes pour se raconter l'histoire avec leurs propres mots, simplement en les suivant. Une adorable collection à conserver !

07/2020

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Critique littéraire

Entretiens avec Françoise Siri. Suivis de Douze poèmes inédits

François Cheng, poète, essayiste et sage venu de l'autre bout du monde, est devenu l'une des figures les plus appréciées du public. Au fil de cinq entretiens sur France Culture ("A voix nue"), Françoise Siri, journaliste, "passeuse" de poésie et créatrice d'événements littéraires, a voulu en savoir plus sur son parcours. De son enfance chinoise à l'Académie française, François Cheng raconte la misère de ses premières années en France et son apprentissage de la langue. Sur un ton très personnel, il dévoile ses sources d'inspiration et sa pensée intime, évoquant la beauté, la mort, le mal - ses thèmes de prédilection - mais aussi la méditation telle qu'il la pratique, l'amitié, l'amour... et même la pâtisserie française dont il se délecte ! Ces entretiens passionnants sont suivis de douze poèmes inédits. Autant de moments de simple et subtile profondeur.

02/2015

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Psychologie, psychanalyse

Pour Siri avec amour. Une mère, son fils autiste et la tendresse des machines

Tout a commencé quand Gus, un garçon de treize ans atteint d'autisme, a découvert une entité virtuelle capable de lui fournir des informations relatives à ses diverses obsessions (les trains, les avions, les escalators et la météo), mais aussi d'engager avec lui un pseudo discussion, sans jamais se lasser. Cet interlocuteur s'appelait Siri et logeait dans l'iPhone de sa mère. A travers des épisodes tour à tour drôles, poignants et inspirants, Judith Newman nous conte son expérience avec cet enfant exceptionnel. Du plus charmant (l'insistance de Gus à emporter avec lui son iPad à l'Apple Store, "comme ça il peut rendre visite à ses amis "), du plus douloureux (s'entendre suggérer de mettre son fils de six ans sous traitement médicamenteux). Pour Siri avec amour nous ouvre les yeux sur la magie et les défis d'une vie qui sort de l'ordinaire. C'est aussi un hommage à la technologie. A une époque où l'on s'inquiète de voir les gadgets électroniques nous abrutir, elle révèle qu'ils peuvent offrir une voix à certains, notamment les enfants autistes. Traduit de l'anglais par Johan-Frédérik Hel Guedj

01/2018

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Poches Littérature internation

Tout ce que j'aimais

Au milieu des années 1970, à New York, deux couples d'artistes ont partagé les rêves de liberté de l'époque. De l'art et de la création, ils ont fait le ciment d'une amitié qu'ils voulaient éternelle et, quand ils ont fondé leur famille, se sont installés dans des appartements voisins. Rien n'a pu les préparer aux coups dont le destin va les frapper et qui vont infléchir radicalement le cours de leurs vies... Sin Hustvedt convie ici à un voyage à travers les régions inquiétantes de l'âme : bouleversant, ambigu, vertigineux, Tout ce que j'aimais est le roman d'une génération coupable d'innocence qui se retrouve, vingt ans plus tard, au bout de son beau rêve.

08/2013

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Littérature étrangère

Vivre, penser, regarder

Dans “Vivre”, la partie la plus directement personnelle du livre, Siri Hustvedt s’interroge sur son enfance, sur les formes que le désir ou l’imaginaire peuvent revêtir pendant cette période de formation. Célébrant la relation de complicité entretenue avec une mère qui lui a enseigné l’importance de l’autonomie et de la liberté, elle retrace sa quête, encore juvénile, et déjà problématique d’une tentative de définition d’elle-même en dépit de son “étrange tête” sujette à des migraines chroniques qui l’accompagneront tout au long de sa vie. S’attardant sur la notion de contexte familial en ce qu’il a pu donner naissance à tel ou tel personnages de fiction, évoquant son rapport au sommeil et/ou à l’insomnie, ou l’impact, sur son existence, de son ascendance norvégienne, elle aborde la question des fonctionnements et dysfonctionnements de la mémoire affective et le rôle joué par la figure paternelle, dont tout lecteur de La Femme qui tremble (Actes Sud, 2010) sait le rôle qu’il a notamment joué dans l’écriture du roman Elégie pour un Américain (Actes Sud, 2008, Babel n°1006). La deuxième partie de l’ouvrage, “Penser”, moins “anecdotique”, moins “narrative”, propose quant à elle une ambitieuse réflexion sur les liens qui existent entre fiction et mensonge, autobiographie et oeuvre d’imagination. Siri Hustvedt s’y interroge sur la “machinerie” de l’écriture comme sur celle de la lecture, sur la notion de vérité et sur l’amnésie en ses tours et détours. S’attachant à rendre compte de son expérience d’acquisition des instruments d’analyse permettant de mieux saisir les fonctionnements cérébraux, mentaux qui président aussi bien à la maladie (dans le pire des cas) qu’à la création artistique (dans le meilleur), l’essayiste, loin de prôner les vertus du seul jargon ésotérique (dont, tout en le maîtrisant, elle récuse l’utilisation abusive et parfois stérile), s’en affranchit pour rendre compte, avec autant de clarté et de “pédagogie ”que possible (et sans toutefois sombrer dans l’écueil d’une hâtive vulgarisation) de ses propres avancées dans le domaine de la psychanalyse ou des neurosciences, tout en mettant à contribution sa longue pratique d’écrivain et de lectrice des grands textes littéraires qu’elle a intimement fréquentés, aussi bien que des ouvrages les plus exigeants dans le domaine de la philosophie (Kant, Kierkegaard, Ricoeur, Merleau-Ponty, Sartre), de la psychiatrie (Freud, Winnicott, William James, Lacan) ou de la neurobiologie (Jaak Panksepp, Antonio Damasio). Cette partie dont un des chapitres a pour titre “L’Analyste et la fiction”, se clôt sur “L’Aire de jeu de Freud”, conférence prononcée par Siri Hustvedt à Vienne lors des rencontres annuelles Sigmund Freud, en juin 2011. La troisième partie, “Regarder” est consacrée à l’univers des arts plastiques (peinture et photographie en particulier) que Siri Hustvedt n’a jamais cessé de fréquenter à titre personnel aussi bien qu’en tant que critique d’art. On y retrouvera quelques-unes des figures tutélaires qui habitent le panthéon visuel de l’écrivain (de Goya à Morandi, en passant par Louise Bourgeois, Gerhard Richter, Annette Messager, Duccio di Buoninsegna, Richard Allen Morris, entre autres). De même que dans Les Mystères du rectangle (Actes Sud , 2006), l’écrivain propose ici une informelle leçon de regard, lequel, s’il peut naturellement convoquer des savoirs (historiques, sémiotiques), doit aussi être capable de s’en émanciper au profit du libre exercice du jugement reposant sur la réappropriation par tout individu confronté à l’oeuvre d’art, de la fonction et de l’activité purement “humaines” sur laquelle repose une expérience qui requiert, de la part de celui qui regarde, la participation du corps et d’une sensibilité subjective au moins aussi cruciales, sinon plus, que le fait de détenir une culture académique. Au terme de la lecture de cette somme architecturée de réflexions, de lectures, d’expérience que Siri Hustvedt cherche à transmettre en toute rigueur mais avec le souci d’apprivoiser, pour elle-même comme pour autrui, la complexité des tenants et aboutissants de l’expérience humaine en tant qu’entité problématique et toujours en devenir, le lecteur aura fait la connaissance d’un écrivain qui a consacré une considérable partie de son existence à explorer sans désemparer les arcanes de l’être au monde qui nous est donné en partage sous ses formes multiples et chez qui la “vocation” d’écrire est inséparable d’une aspiration à la connaissance de soi et de l’autre rendue possible par une fréquentation assidue de la recherche à l’oeuvre, de tous temps, dans les divers domaines de la pensée.

01/2013

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