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Stalag

Extraits

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Littérature française

Stalag

Mettre des mots sur le silence des pères... Ce roman raconte la guerre, la quête d'un fils, les épreuves qu'il veut bien subir pour son père. Une histoire française, une parabole universelle. Fin de la Deuxième Guerre. Deux frères, Brunet et Berthol, qui auraient l'âge d'être au lycée, vivent perdus dans un hameau des Alpes. De leur désert, ils croient entendre la rumeur de la débâcle allemande, les convois qui refluent le long du Rhône et dans les vallées. Brunet, par amour, est sûr que leur père, prisonnier d'un Stalag à l'est de l'Allemagne, a profité du chaos pour s'évader, revenir à pied, en héros. Il l'imagine tout proche, à quelques heures de route peut-être... Porté par cette folle espérance, Brunet décide de se mettre en marche. En chemin, dans la nuit, vient à sa rencontre tout un peuple inquiétant et rude : soldats perdus, déserteurs allemands, Français qui fuient les bombes ou se battent. Une longue nuit qui ne fait que commencer.

08/2004

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Critique littéraire

Des Tranchées au Stalag

Une famille française marquée par deux guerres. La correspondance d'un jeune couple et de ses proches nous plonge au coeur de la vie d'une famille de parisiens croyants durant le début de la première guerre mondiale. Ce sont les misères, difficultés, les attentes et espérances des civils qui sont relatées au fil des lettres, ainsi qu'un reflet réaliste de la vie des tranchées. Une génération plus tard, leur fils vivra, à son tour, les souffrances liées à la seconde guerre mondiale, une captivité de cinq années en Allemagne. Son journal et ses écrits racontent la vie difficile, parfois entrecoupée de moments plus détendus, au stalag.

02/2019

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Histoire de France

J'ai souffert au stalag

Combien ont-ils été, jeunes hommes et jeunes femmes, à subir le même sort ?? Combien restent-ils aujourd'hui à pouvoir raconter ?? Leur nombre se réduit forcément d'année en année, hélas. Pour éviter que leur histoire s'efface avec eux, Philippe Carrozza les a rencontrés. "? Nous étions tous assommés de fatigue, si bien que quand on nous a dit que nous allions marcher jusqu'à un endroit où nous pourrions retirer des papiers pour rentrer à la maison, la plupart des hommes n'ont pas vu la supercherie. Les Allemands, par contre, avaient des projets préparés de longue date ? : nous ramener chez eux comme butin de guerre. ? " G. Goguin

09/2018

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BD tout public

Moi René Tardi, prisonnier de guerre au Stalag IIB Tome 1

Nous nous étions battus, mon mécano et moi. Nous avions reçu l'ordre de détruire l'ennemi. Nous avions obéi... Oui, nous nous étions battus, et ce 22 mai 1940, un mercredi, douze jours après l'offensive, au petit matin, à l'orée d'un bois, nous venions d'être faits aux pattes. C'était à Mons-en-Chaussée, près de Péronne, dans la Somme. Mon père avait été blessé dans ce coin, vingt-cinq ans plus tôt. Moi, j'avais vingt-cinq ans et je venais de recevoir comme un coup de massue derrière la tête.

11/2012

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Historique

Moi René Tardi, prisonnier de guerre au Stalag IIB L'intégrale

Moi, René Tardi, prisonnier de guerre au Stalag IIB est à l'origine une trilogie mûrie de longue date : transposer en bande dessinée les carnets de son père, chronique de sa jeunesse et de ses années de captivité. Après avoir énormément travaillé sur la Grande Guerre, c'est la première fois que Tardi se penche d'aussi près sur la Seconde Guerre mondiale. En mettant en images l'histoire de son père militaire, prisonnier de guerre en Pologne pendant 5 ans, Tardi explore rien moins que les racines et les ressorts de sa propre vie. Ce " roman familial " prend des accents d'autant plus intimes que jamais Tardi ne s'était autant livré dans l'un de ses livres, se mettant lui-même en scène aux côtés de son père.

01/2022

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TRAVAUX SUR LA MEMOIRE

Histoire familiale du prisonnier de guerre Gaston Duplat. Stalag XVIII C, mai 1940-juin 1945

"Les douleurs d'hommes sont muettes" , écrit le comité de rédaction de la revue Maintenir, revue de l'Amicale des anciens des Stalags XVIII, en évoquant le destin tragique des prisonniers de guerre français de la Seconde Guerre mondiale. Ainsi de Gaston Duplat - PG matricule 2977 détenu du 23 juin 1940 au 7 mai 1945 au camp de Coëtquidan (Morbihan), puis au Fronstalag 183 de Vannes, enfin au Stalag XVIII C de Markt Pongau (Autriche) - qui resta lui aussi pudique sur son histoire : un long silence jamais rompu. Un silence, mais deux carnets de captivité, plus de trois cents lettres, deux albums photographiques et un herbier annoté retrouvés dans les archives familiales après son décès et celui de son épouse. Ces documents furent le point de départ d'une longue enquête sur la vie de cette famille brutalement éclatée par la captivité du père. Essayer de reconstituer cette vie, de la comprendre au travers des mots et des archives ; tenter de ne pas seulement s'intéresser à l'histoire de la captivité, des Stalags et des Kommandos, mais aussi de se pencher sur une histoire singulière, de ne pas seulement s'intéresser au prisonnier matricule 2677 mais aussi penser à son épouse et à ses enfants, voilà l'objet de cet ouvrage.

10/2023

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