Stanley Kubrick Odyss%C3%A9e

Une exposition Stanley Kubrick se tient pour la première fois à la Cinémathèque française du 23 mars au 31 juillet. Cet événement majeur sera l’occasion de pénétrer enfin l’univers d’un des cinéastes les plus secrets au travers d’archives mêlant correspondances, livres annotés, carnets, découpages techniques, dessins, esquisses et photographies. Outre ces documents, l’exposition fera la part belle aux décors et aux objets techniques qui ont jalonnés la carrière du réalisateur.

Stanley Kubrick, filmographie complète, de Paul Duncan

Stanley Kubrick occupe une place de choix dans l'univers des Simpson, et ce n'est pas la première fois que la famille déjantée des États-Unis rend hommage au réalisateur. On se souvient qu'au cours du numéro spécial Simpson Horror Show V, c'est une réécriture du film Shining qui avait fourni la matière aux scénaristes. Un film d'ailleurs inspiré d'un ouvrage, signé, excusez du peu, par Stephen King.

Paul Duncan : la filmographie complète de Stanley Kubrick

Qui dit Orange Mécanique dit, automatiquement, Stanley Kubrick, avant même que le nom de l'auteur du livre original, Anthony Burgess, ne soit évoqué. Mais un autre réalisateur, plus expérimental que Kubrick, s'était emparé de l'ouvrage pour en produire une adaptation filmée. En 1965, 6 ans avant l'adaptation avec Malcolm McDowell, Andy Warhol réalisait Vinyl, film de 70 minutes qui suit le parcours d'un certain Victor...

Un peu désespérés, les avocats allemands de Samsung : pour prouver qu’Apple n’a pas le monopole des bouts de plastique rectangulaires, à angles ronds, ils ont sorti des tiroirs l’Odyssée de l’espace de Stanley Kubrick. Visionnaire génial, le cinéaste avait inventé l’iPad avant Apple…

C'est une pièce exceptionnelle, conservée à Londres, dans les Archives Stanley Kubrick, mais pour le moment en voyage autour du monde pour différentes expositions. L'exemplaire de Shining utilisé par Stanley Kubrick pour préparer son adaptation du roman de Stephen King est rempli d'annotations, certaines de la main du maître, ou d'autres qui ont bâti ce chef-d'oeuvre du cinéma d'horreur.

A l'arrivée de son nouveau roman, Doctor Sleep, Stephen King devient la star des médias. Cette suite de The Shining attire l'attention de la presse, mais entraîne le Roi à des commentaires parfois désagréables... vis-à-vis de Stanley Kubrick. Eh oui, en 1980, le réalisateur se lançait avec Jack Nicholson dans une adaptation du roman, pourtant exceptionnelle.

« Orange Mécanique », « Eyes Wide Shut », « Shining », « 2001 : L’Odyssée de l’Espace », «  Full Metal Jacket »... On avait vu que le réalisateur américain maîtrisait l’horreur, le suspens, l’érotisme, l’abstraction métaphysique, le film de guerre ou le film historique, mais l’idée qu’il reprenne un conte paraissait invraisemblable. Et pourtant, Stanley Kubrick envisageait bien de faire son Pinocchio pour « faire rire les enfants et qu’ils se sentent heureux ». C’est son plus proche collaborateur qui l’a confié dans un livre. Nous n’avons pas pu voir si son nez s’allongeait ou non. 

En 1980 sort dans les cinémas du monde un film d'horreur qui deviendra une référence : Stanley Kubrick signe Shining, d'après le roman Shining, l'enfant lumière de Stephen King, publié en 1977. Avec Jack Nicholson, Shelley Duvall et Danny Lloyd, enfermé dans le fameux hôtel...

Un scénario inédit, intitulé Burning Secret, vient de voir le jour. Stanley Kubrick s’était manifestement passionné par une nouvelle de Stefan Zweig, datée de 1913, Brûlant secret (trad. Nicole Taubes, Folio). Écrit en 1956 avec le romancier Calder Willingham, le scénario était tombé dans l’oubli.

Certains auraient bien vu David Lynch derrière la caméra pour un remake du Shining de Stanley Kubrick, adaptation du roman de Stephen King. Mais Steve Ramsden, réalisateur, a imaginé un croisement improbable entre Kubrick et l'esthète Wes Anderson.

La firme allemande prépare l'introduction de sa nouvelle liseuse numérique. Celle-ci devrait arriver sur les étals courant décembre.

Stanley Chapman, traducteur de Raymond Queneau et Boris Vian

L'avis de Stephen King sur l'adaptation de son roman par Stanley Kubrick est connu : Shining était un bon film, assurément, mais il passait à côté du véritable enjeu de son roman, la destruction d'une famille par l'addiction à l'alcool du paternel. Le documentaire Room 237 propose toute une variété d'autres interprétations…

Historiquement, c’est le film où Jack Nicholson apparaît comme plus cinglé que jamais. C’est aussi l’adaptation d’un de ses romans que Stephen King a le plus détesté. Mais reste que Shining par Stanley Kubrick, c’est un moment de pur bonheur — et qu’en période de vacances, tout fan rêve de pouvoir louer une semaine à l’Overlook Hotel...

En attendant la parution prochaine de la suite de Shining, de Stephen King, ce premier volet littéraire et son adaptation cinématographique par Stanley Kubrick restent une énigme pour les amateurs du genre horrifique. Les intrigués qui rêvent de tout savoir sur le film de 1980 vont être ravis, car le 19 juin prochain sortira en salles le documentaire Room 237, de Rodney Asher, une véritable autopsie de la version possédée par Kubrick.

Dans un clip promotionnel destiné à ses clients singapouriens, Ikea s'est amusé à rejouer une des scènes les plus célèbres du film Shining de Stanley Kubrick, adaptation du roman éponyme de Stephen King.

En 1980, Stanley Kubrick sortait son adaptation du roman de Stephen King, Shining sur grand écran. La rencontre des deux maîtres n’a pourtant pas fait bon ménage. Près de 40 ans plus tard, l’auteur n’approuve toujours pas cette vision portée sur son livre.

En 1977, Stephen King fait paraître The Shining chez Doubleday. L’histoire de cet étrange hôtel, l’Overlook, dont Jack Torrance va assurer la surveillance, durant l’hiver, avec sa famille. Trois ans plus tard, Stanley Kubrick s’empare du livre, et produit une adaptation avec Jack Nicholson qui aujourd’hui fait encore date... 

On connaît Anthony Burgess à travers l'adaptation de son roman Orange Mécanique par Stanley Kubrick, et parfois par une lecture de l'original. Lorsque l'on évoque la musique dans son œuvre, c'est souvent pour parler à nouveau du film de Kubrick, et de ses scènes musicales très marquantes. Mais c'est oublier qu'Anthony Burgess était aussi musicien.

Il est l'homme à qui l'on doit L'Orange mécanique, porté aux nues dans son adaptation par Stanley Kubrick. Anthony Burgess est un grand bonhomme originaire de la ville de Manchester. Et celle-ci vient de faire à son sujet, une fameuse découverte.

Sortie en 1971, la légendaire chanson de John Lennon, Imagine, reste toujours aussi intemporelle. Un illustrateur du nom de Pablo Stanley l'a même adaptée, façon bande dessinée. L'espoir d'un monde meilleur où tout le monde vivrait en harmonie se dessine enfin... à travers des cases d’un Comics Strips. C'était en juin 2012, et cela n'a pas pris une ride.

Les anniversaires de deux albums cultes du groupe Radiohead seront célébrés en même temps : Kid A (2000) et Amnesiac (2001) fusionneront pour devenir Kid A Mnesia, à l'occasion d'une réédition luxueuse des deux albums, avec force bonus et titres inédits. Au même moment, à savoir en novembre 2021, Thom Yorke, chanteur du groupe, et Stanley Donwood, graphiste, publieront deux livres.

« À l'occasion de la sortie du film "2001 : l'Odyssée de l'espace" de Stanley Kubrick, l'auteur du roman éponyme Arthur C. Clarke revient sur les thèmes métaphysiques et philosophiques abordés dans son livre et dans l'adaptation cinématographique à laquelle il a participé avec Kubrick », indique l’INA. Le film qui fera un malheur, et dont l’ordinateur finira par terroriser les foules. 

Michael Herr est derrière deux des plus grands films de guerre du cinéma : Francis Ford Coppola l'engage d'abord pour adapter la nouvelle de Joseph Conrad, Au cœur des ténèbres, qui deviendra Apocalypse Now. Quelques années plus tard, c'est Stanley Kubrick qui sollicite les services de l'écrivain et journaliste américain, pour Full Metal Jacket.

« Les Éditions L'Age d'Homme ont la grande tristesse d'annoncer le décès de son directeur, Monsieur Vladimir Dimitrijevic, parti subitement le 28 juin 2011. »

L'oeuvre de Stephen King n'a de cesse de fasciner tout type d'artiste, qu'il s'agisse de Stanley Kubrick ou de Franck Darabont. Pour cette raison, la Hero Complex Gallery (HCG) organise une exposition réunissant des dessins inspirés des oeuvres du romancier. 

A.I. Intelligence Artificielle, de Steven Spielberg, s'inspire avant tout d'une idée de film, jamais concrétisée, de Stanley Kubrick. Mais le réalisateur d'Orange Mécanique s'était tourné vers une nouvelle de l'écrivain britannique Brian Aldiss, Les Supertoys durent tout l'été.

Réalisé par Stanley Kubrick, adaptation du roman d'Howard Fast, Spartacus est sorti pour la première fois en 1957. Dans le rôle principal, le spectateur retrouve Kirk Douglas à la tête d'une révolte sociale féroce. Le roman était sorti pour la première fois en 1951. Il a été édité en France par L'Atalante et traduit par Jean Rosenthal.