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Taisia Kitaiskaia

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Critique littéraire

Les sorcières de la littérature

Le livre pour célébrer les magiciennes de la littérature ! 30 ensorcelantes écrivaines qui ont marqué leur époque, reconnues ou injustement oubliées, illustrées et racontées dans toute leur puissance. Toni Morrison, Virginia Woolf, Emily Dickinson, mais aussi María Sabina, Andre Lorde, Yumiko Kurahashi, Oétavia E. Butler... Alchimistes du verbe, elles nous emportent dans un envoûtant tour du monde et révèlent le pouvoir des femmes de lettres.

11/2019

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Arts divinatoires

L'Oracle des sorcières de la littérature. Avec 70 cartes illustrées et un livre d'accompagnement

"Cet oracle vous incitera non seulement à vous plonger dans des oeuvres de fiction et de poésie qui vous transporteront, mais aussi à faire appel à la créatrice qui sommeille en vous. Par-dessus tout, il est un appel à l'action pour devenir la sorcière qui écrit sa propre histoire et la met au monde par sa volonté". Kristen Sollée, auteure de Sorcières, salopes, féministes. Emily Brontë, Virginia Woolf, Toni Morrison Laissez leur génie illuminer votre chemin. Les cartes de cet oracle, tirées du livre Les sorcières de la littérature, repensent les femmes écrivaines visionnaires et les honorent du titre de sorcières. Vous y (re)découvrirez des femmes créatives et émancipées. Rendant hommage aux pouvoirs magiques des femmes écrivaines à travers le temps, cet oracle vous invitera à découvrir et à nourrir votre propre sorcière intérieure, c'est-à-dire : cette sagesse que vous abritez en vous-même et qui sait exactement ce qui se passe et ce qu'il est juste de faire. Les cartes des trente portraits d'auteures (les Sorcières) ainsi que les quarante peintures extraites de l'imagerie traditionnelle des attributs des sorcières vous relieront à la magie de ces artistes de la littérature (ainsi qu'à leurs animaux magiques) et seront pour vous des portails de guidance et de méditation.

06/2022

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Littérature française

La photographe

Lud a grandi dans l'admiration d'Agafonova, l'écrivaine autour de laquelle gravite toute la diaspora slave de l'Archipel Café, et de sa fille Taisiya. Aussi, lorsqu'elles se retrouvent par hasard à l'âge adulte et que Taisiya lui demande de poser pour elle, un jeu ambigu se met en place semaine après semaine entre la photographe et son modèle : Taisiya s'offre nue devant son appareil, découvre toute sa vérité, sa fragilité, ses fêlures. Il faudra une ultime soirée pour que les acteurs d'un passé déjà à moitié effacé se retrouvent enfin et qu'explosent les rivalités et les faux-semblants.

03/2019

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Récits de voyage

Les platanes d'Istanbul

En 2011, l'écrivaine québécoise Tassia Trifiatis-Tezgel part s'installer à Istanbul avec son mari. Au cours des trois années passées dans la métropole turque, elle écrit des instantanés sur son quotidien, son exploration du populaire et religieux quartier de Yenibosna où elle habite, ses anecdotes recueillies au bakkal (marché du coin), sa découverte de la ville en minibus, puis finalement, la profonde amitié qu'elle noue avec une femme originaire du Kurdistan. Caroline Lavergne est une dessinatrice québécoise et tient notamment le blog Caroline dessine. Tassia et Caroline sont amies, toutes deux sont "fans" des Carnets de Joann Sfar, chacune admire le travail de l'autre. En novembre 2013, Caroline part rejoindre Tassia à Istanbul pour "mettre en dessins" ses mots, son Istanbul. Armée de sa plume et ses aquarelles, Caroline s'est imprégnée de la vie stambouliote durant un mois et en a ramené des illustrations des scènes et habitants stambouliotes empreintes de douceur et de sensibilité. A mi-chemin entre la chronique de voyage et le journal intime, Les platanes d'Istanbul offre au lecteur une vision émouvante et insolite de la cinquième plus grande ville du monde, hors des sentiers battus et à l'écart des seuls lieux touristiques. Résultat d'une création à quatre yeux et à quatre mains, c'est aussi une ode aux femmes et à l'amitié féminine en particulier. Après Judas (2007) et Mère-grand (2011), Tassia Trifiatis-Tezgel continue ici son exploration des questions du métissage culturel, des racines, des liens familiaux, de la relation particulière que l'humain entretient avec son territoire, dans une langue sensible, poétique et audacieuse.

07/2018

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BD tout public

Mamohtobo

Sur le point de se marier avec Taïssa, Fiodor doit embarquer sur le brise-glace n°13 qui part ravitailler la ville d'Ulitza. Quand plus loin la banquise sibérienne se referme sur le bateau, il n'y a plus qu'à boire la vodka. Entre deux bagarres, les hommes font ce qu'ils peuvent. Le capitaine rebaptise le navire en peignant de grandes lettres sur toute la hauteur de la coque, Zot pense aux amants de sa femme, Ditmar, le géant norvégien, se pavane devant le miroir, Kassia chante Nirvana à tue-tête... Bientôt, des mammouths millénaires rôdent autour du bateau. Et, sur terre, d'étranges motifs couleur de sang apparaissent sur la robe de mariée de Taïssa.

03/2009

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Littérature étrangère

La Filiale

Le narrateur, Dalmatov, est un journaliste russe émigré à New-York qui travaille à la station de radio russe antisoviétique : "Troisième vague" en référence à la troisième vague d'émigrés russes. Il est marié et a deux enfants. Un jour, il est envoyé comme correspondant à Los-Angeles où a lieu un congrès de dissidents intitulé "La Nouvelle Russie" qu'il observe avec beaucoup d'ironie. Il y retrouve Tassia, sa première femme, qui décide de squatter sa chambre d'hôtel. Dalmatov se souvient de leurs premières amours à Leningrad. Le congrès élit un nouveau gouvernement russe et choisit Tassia comme leader de l'opposition. Tassia offre un chiot à Dalmatov, puis le plaque comme elle l'a déjà fait il y a bien des années, durant son service militaire. Un récit doux-amer en petites touches qui mêle anecdotes, réflexions et souvenirs de jeunesse, le tout d'inspiration autobiographique comme toujours chez Dovlatov. Et comme toujours chez cet auteur qui, dans la grande tradition de la littérature russe, manie à merveille l'autodérision, le rire perce à travers les larmes et les larmes à travers le rire. Un roman très drôle, très triste et très touchant, qui incite à la réflexion et dont le thème essentiel est l'absurdité de l'existence.

05/2019

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