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Thomas de Quincey

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Livres, actualités : tout sur Leonard de Vinci

Fantastique visionnaire, inventeur de génie, les expressions manquent pour cerner la personnalité de Leonard de Vinci. Le 500e anniversaire de sa disparition est l'occasion de se replonger dans la vie, l'œuvre et l'héritage du peintre florentin, qui a multiplié les activités, de l'architecture à la botanique, en passant par la musique, la poésie ou encore la philosophie.

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Livres, actualités : tout sur Michel Houellebecq

Révélé avec Extension du domaine de la lutte, publié en 1994 par les Éditions Maurice Nadeau, Michel Houellebecq, né Michel Thomas en 1956 ou 1958 selon ses propres dires, a cultivé le mystère tout au long de sa carrière : après ce premier roman remarqué, il publie Les Particules élémentaires (1998), puis Plateforme (2001), alors qu'il vient de s'exiler en Irlande.

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Livres, actualités : tout sur Antoine de Saint-Exupéry

Né le 29 juin 1900 à Lyon, Antoine de Saint-Exupéry reste l'homme du Petit Prince pour des millions de lecteurs dans le monde entier. Publié en 1943 à New York avant de ne l'être que 2 ans plus tard par Gallimard en France, après la mort de son auteur, ce conte féérique et philosophique fait depuis partie des ouvrages français les plus célèbres à l'international.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Guy de Maupassant

Sombrant dans la folie alors qu’il n’avait qu’une quarantaine d’années, Guy de Maupassant meurt à 43 ans, ne lègue au patrimoine littéraire français qu’une décennie d’œuvres. Mais quelles œuvres ! En quelques pages, Maupassant parvient à mêler ce pessimisme caractéristique, un réalisme prégnant et une dose de fantastique qui fera sa marque. 

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Dossier

Albums, romans : une sélection de 20 livres jeunesse pour Noël 2020

La crise sanitaire a contraint les librairies à fermer leurs portes depuis fin octobre dernier. Mais l’envie de lire est toujours là, car les livres sont le meilleur moyen de s’évader, d’apprendre, de se cultiver, de réfléchir, de rire aussi, à tous les âges et en famille.

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Dossier

Festival international de la bande dessinée d'Angoulême

Qu'on l'apprécie ou non, le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême reste l'une des plus grandes manifestations du monde consacrées à la bande dessinée.

Extraits

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Littérature étrangère

Les derniers jours de Thomas De Quincey

De Quincey se profile régulièrement derrière ses écrits, ce qui en fait une présence familière à tout lecteur attentif. Mais ce personnage exemplaire laisse naturellement échapper le singulier, ou l'irrégulier, de cette vie, ce qui lui fut propre jusqu'à l'insignifiance - ou à la fiction (cet "anecdotage" que De Quincey lui-même exploita si bien à propos de Kant). John Ritchie Findlay accompagna les dernières années de l'écrivain. Plein de révérence, et d'étonnement, il laissa de cette amitié une petite chronique jamais rééditée depuis sa publication originale. Voici donc, comme figés dans le temps, quelques éclats de cette très étrange existence. Voici un De Quincey aussi courtois, affable et serviable qu'incontrôlablement caustique, ou médisant ; perambulateur émérite et opiniâtre opiomane ; toujours en retard d'un écrit, ou d'un crédit, toujours en retard d'une dette, espérant sans cesse se reprendre. Voici, sous le regard d'un témoin fasciné, l'émouvant portrait d'un excentrique malgré lui, en proie au démon de la ratiocination, à l'opiomanie, aux affres de la pauvreté et à l'obsession du texte impossible à écrire, à achever, à envoyer.

12/1996

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Critique littéraire

L'imaginaire des drogues. De Thomas de Quincey à Henri Michaux

Si la toxicomanie constitue aujourd'hui un fléau social dont se préoccupent à juste titre les milieux médicaux et les pouvoirs publics, le recours aux drogues a été, depuis le début du XIXe siècle, un phénomène culturel qui a exercé une influence considérable sur l'imaginaire des artistes et de leur public. Il était nécessaire de montrer, textes à l'appui, que ce n'est pas le " toxique " qui a été longtemps l'élément déterminant, mais la recherche d'un changement d'état qui a revêtu, selon la drogue l'opium, le haschisch, la " fée morphine ", la cocaïne, la mescaline - et selon les consommateurs, des formes différentes : rompre avec les entraves du temps et de l'espace, élargir l'expérience humaine au-delà des limites de la pensée rationnelle, retrouver une unité perdue, accéder à une jouissance ignorée (les " paradis artificiels "), etc. Bien que la portée du phénomène, telle qu'on essaie ici de la définir, dépasse de loin les limites de la littérature, ce sont les écrivains qui permettent le mieux de le saisir au vif. Pour ne citer que les principaux : Théophile Gautier, Baudelaire, Rimbaud, Jarry, Cocteau, Joë Bousquet, Walter Benjamin, Artaud, Jünger, sans oublier Thomas De Quincey et Henri Michaux, par lesquels s'ouvre et se clôt cette étude. Celle-ci fait aussi sa place à de savoureux " romans de mœurs ", qui permettent de préciser l'image du drogué ou de la " morphinée " dans les milieux les plus divers. Elle se termine par une réflexion sur l'usage de la drogue aujourd'hui : " prothèse " suppléant au vide de l'existence plus qu'ouverture sur l'inconnu. Il semble bien que la drogue, banalisée et médicalisée, ne soit plus propre à engendrer des poètes, des créateurs.

02/2000

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Kant

Les Derniers Jours d'Emmanuel Kant

Thomas De Quincey n'aima personne autant que Coleridge, mais révéla les manies de son poète préféré avec volupté. Il adora Wordsworth, et en trois pages d'extase il montre le grand homme coupant un beau livre avec un couteau souillé de beurre. Mais parmi les héros de Thomas De Quincey, sans contredit le premier fut Kant. De Quincey considère que jamais l'intelligence humaine ne s'éleva au point qu'elle atteignit en Emmanuel Kant. Et pourtant l'intelligence humaine, même à ce point, n'est pas divine. Non seulement elle est mortelle mais, chose affreuse, elle peut décroître, vieillir, se décrépir. Et peut-être De Quincey éprouve-t-il encore plus d'affection pour cette suprême lueur, au moment où elle vacille. Il suit ses palpitations. Il note l'heure où Kant cessa de pouvoir créer des idées générales et ordonna faussement les faits de la nature. Il marque la minute où sa mémoire défaillit. Il inscrit la seconde où sa faculté de reconnaissance s'éteignit. Et parallèlement il peint les tableaux successifs de sa déchéance physique, jusqu'à l'agonie, jusqu'aux soubresauts du râle, jusqu'à la dernière étincelle de conscience, jusqu'au hoquet final. Ce journal des derniers moments de Kant est composé au moyen des détails que De Quincey tira des mémoires de Wasianski, de Borowski, et de Jachmann, publiés à Königsberg en 1804, année où Kant mourut ; mais il employa aussi d'autres sources. Tout cela est fictivement groupé dans un seul récit, attribué à Wasianski. En réalité l'oeuvre est uniquement, ligne à ligne, l'oeuvre de De Quincey : par un artifice admirable, et consacré par DeFoë dans son immortel "Journal de la Peste de Londres", De Quincey s'est révélé, lui aussi, "faussaire de la nature" , et a scellé son invention du sceau contrefait de la réalité. - Marcel Schwob.

10/2023

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Critique littéraire

Les sociétés secrètes

Publié en 1847 et traduit en français pour la première fois, l'essai sur les sociétés secrètes reprend un thème cher à Thomas De Quincey : celui d'un savoir caché, d'un mystère se transmettant à travers les siècles, de génération en génération, évident et pourtant invisible. A la manière des Confessions d'un mangeur d'opium et De l'assassinat considéré comme un des beaux-arts, l'approche de ce mystère se fait de digressions en apartés, de considérations annexes en divagations sinueuses : considérant aussi bien les initiés d'Eleusis que les francs-maçons, De Quincey s'attarde esentiellement sur la secte antique des esséniens, prétexte à une interrogation sur le secret, la traîtrise, la fidélité à soi-même, la falsification et le soupçon. Fidèle à sa démarche, et à quelques-uns de ses préjugés les mieux arrêtés, De Quincey poursuit ici sa quête d'une origine impossible et mythique, lieu d'une vérité ultime dont on sait qu'elle sera pour toujours insaisissable.

02/1994

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Littérature étrangère

Confessions d'un mangeur d'opium. Témoignage d'un drogué

Thomas de Quincey (1785-1859) fut un des écrivains anglais les plus célèbres de son temps. L'audience de son ouvre dépassa de loin les frontières des îles Britanniques et de son époque et l'on sait qu'il fut un modèle tant pour Edgar Allan Poë, Charles Baudelaire, Nikolaï Gogol ou Jorge Luis Borges que pour Hector Berlioz à qui il inspira le thème de la Symphonie fantastique. Auteur brillant, Quincey fut aussi un opiomane frénétique durant toute sa vie et il a rendu compte de son addiction de manière détaillée dans Confessions d'un mangeur d'opium. Ce livre est à ce titre un document du plus grand intérêt car c'est la première description en Europe des effets de cette drogue que Thomas de Quincey décrit ainsi : « Le vin conduit toujours l'homme à la marge de l'absurdité et de l'extravagance, et au delà d'une certaine mesure, il a pour effet, de volatiliser, de disperser les énergies intellectuelles, tandis que l'opium semble toujours faire succéder le calme au désordre, la concentration à l'éparpillement. Pour tout dire en peu de mots, un homme qui est ivre ou qui tend vers l'ivresse, se trouve et sent qu'il se trouve dans une condition qui donne la prépondérance à la partie purement humaine, et trop souvent à la partie bestiale de la nature, tandis que le mangeur d'opium sent s'exalter en lui la partie la plus divine de cette nature, c'est-à-dire que les affections morales jouissent en lui d'une sérénité sans nuage sur laquelle plane la grande et majestueuse lumière de l'intelligence ».

06/2012

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Critique littéraire

Portraits littéraires. Souvenirs de la région des Lacs et des poètes lakistes

Ces Portraits littéraires forment avec les Confessions d'un opiomane anglais et les Esquisses autobiographiques une sorte de triptyque où Thomas de Quincey (1785-1859) nous lire par fragments une des autobiographies imaginaires les plus fortes de la littérature anglaise ; Ici, il s'agit non plus de souvenirs mais plutôt d'impressions de la maturité, dont le fil conducteur tient curieusement à une région, la région des lacs, celle du Westmorland, dont de Quincey dresse un portrait magnifique, tant de ses montagnes que de ses dangers ou de ses habitants et poètes. Entre 1803 et 1820,les plus grands poètes romantiques y habitent et forment la " Société des Lacs ". Coleridge, Wordsworth et Southey sont les trois figures majeures de ces lakistes dont l'opiomane anglais dresse un portrait saisissant. La fréquentation régulière de " ces grands hommes " donne lieu à des mémoires où le sens du détail, de la satire, de l'irrespect se mêle à la tendresse (pour Coleridge, surtout) ; car De Quincey rend toujours à César ce qui appartient à César, avec parfois une certaine cruauté - notamment lorsqu'il parle de l'opportunisme de Wordsworth. Rarement autobiographie aura été aussi paradoxale, proliférante, fragmentaire, tel un miroir brisé que le lecteur seul peut refaçonner, à partir de récits très vivants, d'anecdotes comiques ou dramatiques, de descriptions romantiques de Grasmere, où il logea en 1803, et de ses environs. Tels quels, ces Portraits littéraires constituent bien le cœur de l'autobiographie quinceyenne.

04/1998

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