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Traductrice

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Littérature étrangère

La traductrice

Ce tout petit livre nous conte, de façon vivante et concrète, l'étonnante histoire vraie d'une traductrice russe passionnée de poésie anglaise qui, arrêtée pendant la guerre de 40, traduisit le Don Juan de Byron (17 000 vers) dans une cellule du NKVD pendant deux ans. Le destin de Tatiana Gnéditch, par ailleurs descendante du traducteur de L'Ilyade en russe, illustre à merveille la place de la poésie dans la résistance intérieure aux dictatures : Tatiana Gnéditch a survécu à la prison et au camp grâce au poème de Byron.
Et sa passion pour la littérature est devenue le catalyseur des aspirations à la liberté et à la beauté de ceux qui, plus tard, ont lu les 100 000 exemplaires de sa traduction.

03/2012

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XXe siècle

La faute de la traductrice

En 1959, le monde s'est reconstruit, oubliant le Troisième Reich et son Führer. Dans la nouvelle France de De Gaulle, on commerce, on négocie, on exporte. Et Solange, jeune traductrice aux allures de femme moderne, entend ajouter sa pierre à ce futur radieux en entrant dans la société Inter-Ingen, au département des Opérations étrangères. Alors certes, il n'aurait pas fallu que Solange trouve son chef de service si séduisant. Elle aurait dû refuser de partir avec lui pour négocier de nouveaux contrats en Argentine. Elle aurait mieux fait de ne pas sortir seule et d'éviter cet étrange restaurant qui rassemblait des individus louches. Mais pouvait-elle s'imaginer que c'était là que l'Allemagne nazie rêvait d'un flamboyant retour ?

06/2023

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Traduction

Les traductrices françaises de la Renaissance (1521-1568)

72Normal021falsefalsefalseFRX-NONEX-NONE / Style Definitions / table. MsoNormalTable {mso-style-name : "Tableau Normal" ; mso-tstyle-rowband-size : 0 ; mso-tstyle-colband-size : 0 ; mso-style-noshow : yes ; mso-style-priority : 99 ; mso-style-parent : "" ; mso-padding-alt : 0cm 5. 4pt 0cm 5. 4pt ; mso-para-margin : 0cm ; mso-para-margin-bottom : . 0001pt ; mso-pagination : widow-orphan ; font-size : 10. 0pt ; font-family : "Times New Roman", serif ; } Cette étude doublée d'une anthologie jette un nouvel éclairage sur les stratégies de présentation de soi des traductrices françaises de la Renaissance et sur l'idée de la traduction qu'elles mettent en avant dans leurs paratextes. Dans leurs écrits paratextuels, rare espace où elles s'expriment en leur propre nom, les traductrices de la Renaissance cherchent a` gagner la sympathie et l'adhésion du lecteur en se parant de diverses qualités morales. Mais d'une traductrice à l'autre, les stratégies de présentation de soi varient. Certaines cultivent l'effacement de soi, feignant d'exercer leur occupation dans l'ombre de la sphère privée quant d'autres, comme Hélisenne de Crenne, emploient un vaste appareil paratextuel pour asseoir leur ethos d'humaniste. A l'opposé, Marguerite de Cambis, Marie de Cotteblanche et Anne de Marquets, s'approprient une série de lieux communs dévalorisants attachés à l'activité de traduction : l'acte traductif prend les allures convenables d'un passe-temps féminin. La présente étude, doublée d'une anthologie des écrits paratextuels de traductrices parus entre 1521 et 1568, vise à éclairer ce corpus longtemps délaissé, à la faveur d'une analyse multidisciplinaire fondée sur la rhétorique, l'histoire des femmes et l'histoire de la traduction.

06/2023

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Critique littéraire

Traduire, collaborer, résister. Traducteurs et traductrices sous l'Occupation

A travers une galerie de portraits de traducteurs et traductrices ayant exercé entre 1940 et 1944, cet ouvrage offre un éclairage nouveau sur la vie littéraire durant la seconde guerre mondiale. Traduire, comme écrire, sous la botte de l'occupant nazi, c'est résister ou collaborer. Ce livre explore les trajectoires individuelles et le travail de ces médiateurs, "acteurs invisibles de la littérature". Quelle est leur place ? Dans quel contexte évoluent-t-ils ? Quel est leur rôle ? Hélène Bokanowski, Maurice Betz, Pierre Darmangeat, Paul de Man ou encore Jean Wahl : ces portraits saisissent la traduction sous plusieurs aspects : biographique, historique, sociologique, historique, éditorial et théorique. En s'appuyant sur des archives privées inédites, cet ouvrage constitue un apport précieux aux études sur la vie littéraire francophone en temps de guerre. Avec les contributions de Lucile Arnoux-Famoux, Albrecht Betz, Stéphanie Braendli, Pauline Giocanti, Yanno Guo, Sylvie Humbert-Mougin, Alexis Tautou, Hubert Roland, Thomas Vuong.

11/2019

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Traduction

Faut-il se ressembler pour traduire ? Légitimité de la traduction, paroles de traductrices et traducteurs

La polémique concernant l'identité de la traductrice néerlandaise (puis du traducteur catalan) des textes d'Amanda Gorman marqua les esprits par sa virulence. Mais au coeur de cette affaire se trouve finalement un questionnement assez simple : faut-il ressembler à l'auteure pour pouvoir la traduire ? Cette polémique ne fait qu'interpeler de nouveau, en somme, la légitimité du traducteur. Mais il est vrai qu'en s'ancrant sur le terrain de l'identité, elle questionne le manque de diversité (réel ou supposé) de la profession. Elle vient aussi s'ajouter à d'autres problématiques : certains soulignent par exemple l'asymétrie excluante du marché littéraire, qui invisibilise de nombreux professionnels de la traduction. Dans ce moment particulier, alors que se combinent plusieurs interrogations, il apparaît tout spécialement utile de donner la parole aux traductrices et traducteurs.

11/2021

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Poésie - Comptines

Dans une autre clarté

Ce recueil de poésies à destination de la jeunesse a été réalisé en coédition avec la Maison de la poésie de Tinqueux-Centre de créations pour l'enfance, qui s'attache à rendre la poésie proche et familière aux enfants (notamment grâce à son Salon annuel de la poésie jeunesse). Il est composé d'un choix de 33 poèmes, qui ont pour ligne directrice la mort - sujet trop rarement abordé, que ce soit avec les adultes ou avec les enfants - et sont découpés en cinq séquences : 1. prologue et sensibilisation au monde de Svetlana Makarovic (5 poèmes sur le thème de l'hiver, de la guerre, de la faute...) ; 2. la fragilité (6 poèmes) ; 3. le temps qui passe (7 poèmes) ; 4. l'absence (7 poèmes) ; 5. et l'éternel recommencement (8 poèmes). Il s'agit là d'une riche introduction à la poésie si particulière de Svetlana Makarovic, sombre, parfois ironique et toujours proche de la nature. Ses vers se déploient dans des paysages de prairies piquetées de fleurs, de forêts où poussent des fougères immenses ou encore de jardins dont les plantes sont pourvues d'étranges vertus. Non moins étranges sont les animaux qui habitent ces lieux, chats, oiseaux, vipères... et nous accompagnent, eux aussi, tout au long de notre chemin d'humain, de la vie à la mort. Dans l'esprit de la collection "Poezija jeunesse" imaginée par le Centre de créations pour l'enfance de Tinqueux et les Editions franco-slovènes, ce recueil est illustré par des élèves de plusieurs classes du collège Paulette-Billa de Tinqueux, encadrés par leur professeure de Segpa Laure Pihet, qui leur enseigne notamment les arts plastiques. Quoi de mieux qu'un adolescent qui dessine, inspiré par un poème, pour le conduire tout naturellement à la poésie ?

10/2022

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