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Viguier

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Littérature française

Le Figuier

Aux premières pages, un atelier d'imprimerie, dans une ruelle proche de la Seine. Un homme y travaille, solitaire. Il édite de la poésie. Il en traduit, des langues les plus diverses. Il en écrit : poète amoureux de son labeur, des mots qu'il compose, qui fait "couler du soleil dans le plomb". Dans son passé, des images d'Europe buissonnière, de Grand Nord, de guerre d'Espagne. Et bien d'autres : comment les démêler ? Autour de lui, d'autres vies, tournées vers l'avenir. Ce livre commence en 1957, sur fond de guerre d'Algérie, et s'achève dix ans plus tard en Amérique centrale. François Maspero, qui fut ces années-là libraire, éditeur et directeur de la revue Partisans, aurait pu rédiger la chronique d'un acteur et d'un témoin. Pourtant, ce n'est pas une autobiographie de plus. Certes, l'auteur y parle de ce qu'il a vécu et partagé. Mais son roman est avant tout un travail d'écrivain. Pas de jugements, de bilans, de portraits à clef ou de règlements de comptes. Ce qui importe pour lui, c'est de dire sa tendresse physique pour des êtres, leurs gestes, leurs idées, leurs rêves. De dire le goût qui lui est resté de choses, de paysages, de lumières. De retrouver un sourire, de revivre sans en rien renier une joie ou un refus. De tisser, en conteur, sur cette trame première, une histoire qui se noue lentement jusqu'à la rupture finale. Et de chercher simplement, comme il l'a déjà fait dans Le Sourire du Chat, le sens de certains mots : ce sens, usé ou perdu, au lecteur de le retrouver avec lui, au détour d'une page.

02/1988

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Littérature française

Le figuier

Chacun de nous traverse des moments faits de bonheur et de déception. C'est normal, c'est ce que nous appelons la vie. Je refuse de croire que chaque être doit passer par quelque chose qui le détruit complètement pour découvrir qui il est vraiment. Y a-t-il plus belle ambition que celle de vouloir vivre libre et heureux ? La mission de ce livre est donc de t'aider à trouver ta liberté personnelle. S'il te permet d'aller mieux dans ta vie, s'il est vrai que le bonheur est contagieux, alors puisse ton entourage en bénéficier et ensemble, faisons de notre communauté dans laquelle nous vivons, un endroit plus harmonieux. Entendons-nous ici sur la définition de "liberté" : Etre libre, ne signifie pas faire ce qu'on veut mais être ce qu'on est. Etre qui on est vraiment ; menant à la très inspirante citation de Périclès : "Il n'est point de bonheur sans liberté ni de liberté sans courage". Le figuier n'est pas le fruit du hasard. Dans l'antiquité, chez les Arabes et les Egyptiens, le figuier était un arbre sacré, symbole du bonheur et de la paix "Les peuples ne tireront plus l'épée l'un contre l'autre et on ne s'exercera plus pour la guerre. Chacun restera assis à l'ombre de sa vigne et de son figuier."

10/2021

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Littérature étrangère

Le figuier

La construction en 1966 d'un nouveau Collège à Getxo, au Pays basque, fait ressurgir l'histoire de Rogelio Ceron, cet homme solitaire arrimé à un terrain isolé et au seul figuier qui y pousse depuis la fin de la guerre civile. Rogelio Ceron est un ancien phalangiste, de ceux qui, à la nuit tombée, allaient de maison en maison débusquer les " rouges " pour les fusiller sans autre forme de procès. Au cours d'une de ces " expéditions " punitives, Ceron est marqué par le regard de haine que lui jette un enfant, Gabino, à qui il vient d'enlever son père et son frère. Le phalangiste se persuade aussitôt que cet enfant finira par le tuer. Le lendemain, Ceron s'aperçoit que les deux corps ont été enterrés sous un monticule de terre où a été plantée une pousse de figuier. Il se transforme alors, rompt avec les phalangistes, pour se consacrer à la mission tacitement ordonnée par l'enfant, de veiller le figuier. Il est persuadé que l'enfant et lui sont liés par le destin. Pourtant, pendant trois décennies, Rogelio et Gabino n'échangent pas un mot. Le silence est un personnage de plus dans cette tragédie. A l'image du silence des familles des victimes de la guerre civile qui ont enduré quarante ans d'un exil intérieur, sans pourvoir exprimer leur douleur. Rogelio et Gabino représentent les deux Espagne, mais au fil des années, ils sortent peu à peu du cadre initial de chacun de leurs camps. Le figuier incarne l'oubli impossible, le souvenir vivant et silencieux. Le figuier pousse et ses racines se nourrissent des morts de la guerre.

01/2016

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Littérature française

Bleu-figuier

" Là-bas, il faut l'avoir vu, il n'y a pas de mots pour ça ", lui répétait Alain. Longtemps Jeanne l'a cru, mais il y avait ce secret, souvenir d'un matin de février 62 qu'elle seule pouvait exhumer. Quel est ce souvenir plus puissant que l'oubli ? On dirait que Jeanne, sa fille, est née pour cette question. Fascinée par la solitude de son père, elle suit les traces de sa mémoire avec un regard d'une acuité extrême. Que trouvera-t-elle là-bas ?

03/1999

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Littérature française

Le figuier stérile

Ce roman se situe à la fin du XXIe siècle, quand l'infertilité exponentielle des hommes et des femmes menace la race humaine. Ancré dans la réalité des couples en mal d'enfant dont il décrit le parcours insensé pour obtenir des gamètes ou trouver une mère porteuse à l'étranger, il dénonce également la mercantilisation de l'humain et les pratiques inacceptables et inhumaines qui profitent de la détresse de ceux qui souhaitent devenir des parents. Parmi ces pratiques, les plus incroyables relatées ici, les plus sordides, sont fondées sur des questions médicales, des faits, des chiffres, réels... Les personnages de ce roman qui n'exclut ni l'amour ni l'humour sont hauts en couleur et méritent qu'on s'y attache, ne serait-ce que parce qu'ils nous ressemblent.

11/2021

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Vie chrétienne

Sous le figuier

Zachée, un simple spectateur, est interpellé à Jéricho par Jésus qui lui demande de loger chez lui. Immédiatement, Zachée s'en réjouit et organise un dîner improvisé. L'Evangile se contente de dire qu'à l'issue de cette soirée, Zachée décide de donner la moitié de ses biens aux pauvres. Rien ne suggère que Jésus lui en ait fait la demande. Le même matin, Jésus avait guéri un aveugle qui réclamait sa guérison à grands cris. L'ancien aveugle a recouvré le don de la vue. Et Amos verra dorénavant très loin en avant. Zachée découvre en lui-même le désir du don. Comment l'a-t-il entendu ? Un talent neuf lui est confié. Donner, est-ce se défaire de ce que l'on possède ? Ou le partager et le multiplier ?

04/2022

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