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Viviers

Extraits

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Roman d'amour, roman sentiment

Le vivier

Accablée par le désastre de son mariage, Brenda se réfugie dans les lieux de son enfance, sur la bordure d'une encoche découpée dans la côte du Finistère Nord. Là, la vie est simplifiée. Le paysage respire au rythme des marées. Les gens pratiquent le plus naturellement du monde des relations savoureuses. Un voilier rouge pose l'ancre dans le décor. Quelle histoire ramène-t-il à son bord ? Qui est Goulven le navigateur solitaire de ce navire ? Le passé et le présent de Brenda et Goulven teintent leur rencontre. Brenda qui travaille pour un cabinet comptable doit se pencher sur la gestion déconcertante du vivier où travaille Anielle, la femme de Goulven.

05/2023

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Théâtre

Le Vivier des noms

La nouvelle pièce de Valère Novarina, telle qu'elle sera représentée dans le cadre officiel du Festival d'Avignon 2015.

06/2015

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Divers

Le grand vivier. Journal, récolte 2020-2021

La multitude invisible sépare les êtres, restitue chacun à sa réclusion. Jean-Louis Giovannoni travaille depuis toujours sur cette notion de séparation et de réclusion, qui trouve dans ce journal, débuté au printemps 2020, un ancrage dans le réel. Comme si la réalité soudaine à laquelle le monde se trouvait confronté s'ajustait au monde littéraire de Giovannoni. Un journal, mais un journal fragmentaire, morcelé, d'abord tenu au cours des longues journées de confinement, puis continué pendant plus d'un an. Giovannoni depuis toujours essaie l'espace comme on essaie un vêtement. Est-il à la bonne mesure ? Est-on trop serré dedans ? Quelle est notre aisance, notre liberté de mouvement ? Il touche les murs, le plafond, arpente les couloirs en boucle, sort sur son balcon. Petit à petit naît le besoin de repousser l'espace, d'agrandir les murs, il regarde les photographies qui deviennent plus grandes que la réalité, les meubles immobiles, les fantômes qui peuplent les appartements : la vie se renverse, "je ne fais que déplacer de l'immobile en moi" dit-il. Il se met à parler aux objets devenus les seuls compagnons. Il parle même aux pierres, les écoute respirer. Il parle à ses vêtements, il s'installe dans sa penderie. Il parle aux portes qu'il n'ose pas toucher. Bruit de fond de la télévision, ou de pas dans l'immeuble, murmures, légers mouvements de rideaux : chaque son semble s'amplifier à l'oreille alerte, attentive, en attente. A l'écoute des voix du monde qui donnent des nouvelles du large et de la mer qui se déplace dans l'imagination. Il reste de longs moments devant le paysage statique de la rue, à attendre "la compagnie des oiseaux" . Il regarde ce qui change, ce qui se déplace, ce qui disparaît. Il compte les morts. Jour après jour, la ville s'efface à force de ne plus être visible, rue après rue, quartier après quartier. Tout disparaît dans notre dos. Le Grand vivier est le livre de l'air qui circule entre les hommes et les choses arrêtées, et Giovannoni dépeint une humanité prise dans la résine comme les insectes, alors que partout le printemps pousse sa germination. "Peut-être y a-t-il dans l'air des frontières à ne pas dépasser" , dans cette vie entourée de monstres invisibles qui nous dévorent et de fantômes qui nous habitent, brutalement confrontés à notre intériorité, à la porosité de notre corps aux infections, aux maladies qui pullulent et prolifèrent en nous : humanité consommable abandonnée à la voracité de l'invisible. Et quand à nouveau sortir devient possible, que l'on redécouvre la rue, que l'on repousse la limite des quartiers, que l'on retrouve la parole, on retrouve aussi un monde qui s'était habitué à notre absence. Qu'est-ce qui circule dans un monde débarrassé des hommes ? L'air, l'espace laissé vacant, mais l'espace sans hommes n'est pas vide pour autant. Dans l'intervalle on a diminué, on a perdu de soi, on ne sait pas bien quoi. On a beau retrouver l'extérieur, "si on sort, on ne sort pas de soi" . La pandémie est un monde giovannonesque, qui révèle et rassemble toutes les obsessions que l'auteur creuse depuis Les mots sont des vêtements endormis (1983) jusqu'à Sous le seuil (2016) - le rapport à l'espace, le virus incontrôlable des mots, les germinations, les vies exogènes qui grouillent en soi, l'impossibilité de sortir de ses pas. Le Grand vivier est un livre qui se referme comme un requiem, dans un éternel adieu aux morts qu'on ne finit jamais de quitter : "le monde est vide" sans les fantômes.

04/2023

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Protestantisme

Lucien Vivier. Tome 1, Témoin d'un siècle de Pentecôtisme en France et dans le monde

"La vie de Lucien Vivier nous enseigne à bien des égards. L'amplitude de son ministère et les saisons qu'il a traversées soulignent en rouge la maturité d'une persévérance remarquable. Malgré la fracture suscitée pendant la Seconde Guerre mondiale, il fut bien souvent fédérateur, contribuant à la constitution de nouveaux départements des Assemblées de Dieu d'envergure nationale et internationale (Département médias Christ Vous Appelle, CVA désormais EVANDIS , Action Evangélique de Pentecôte pour l'Eglise persécutée, Ecole biblique, désormais Institut de Théologie Biblique, ITB).
M. Vivier a vécu aux premières loges l'éclosion d'un pentecôtisme autochtone "à la française et pour les Français". Le compagnonnage a été son modèle de formation et c'est la mémoire qu'il laisse : un compagnon du Seigneur et de la Pentecôte pour tous ceux qui l'ont approché de près pendant ces dernières huit décennies. Retour sur un siècle de vie : un témoin majeur du mouvement évangélique des Assemblées de Dieu en France, en Europe de l'Est, en Afrique du Nord et dans le monde.
"

10/2021

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Lecture 9-12 ans

La maison des petits bonheurs

"Je m'appelle Aline Dupin ; j'ai onze ans depuis le 16 août ; on habite 13 bis, rue Jacquemont, la maison qui est juste en face de la cour du charbonnier". Ainsi commence le journal d'Aline, chronique d'une vie constellée de petits soucis et de craintes, de grandes joies et de petits bonheurs. On y respire le parfum d'un Paris un peu disparu et la générosité d'un écrivain qui sut si bien donner aux enfants la littérature qu'ils méritaient.

08/2012

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Théâtre

Le bout du monde

Une décharge publique au bord de la mer... Un arbre sec... comme calciné... Quelques vieux bouts de bois, restes de lits, morceaux de chaises.... Un tas de gravats... Un bidon/barbecue d'où s'échappe une fumée Un autre bidon, couché, d'où sortent deux pieds... Dans ce décor apocalyptique, trois SDF... Tous trois "traumatisés" par différents accidents de la vie qui les ont fait basculer dans le monde des marginaux... Autour d'eux, la mer monte... Un texte qui oscille entre l'absurde et la triste réalité.

09/2014

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