acheter écrivain

La Foire du livre de Londres bat son plein, et les études présentées se multiplient, entre deux déclarations fortes apostrophant l'industrie du livre, et vaticinant à tout crin. Ainsi, la dernière analyse en date, réalisée par Nielsen BookScan et Kantar Worldpanel démontre que les consommateurs qui entrent dans le marché du livre numérique achètent bien plus. Problème : ils achètent plus chez Amazon...

Lui-même libraire indépendant, l'écrivain américain Jaime Clarke a lancé un site Internet dédié à ses publications. Et, pour son dernier roman, Veron Downs, cet auteur qui a fondé une librairie à Boston demande à ses lecteurs de ne pas passer par Amazon pour réaliser leur achat, rapporte le Los Angeles Times.

Quand les Simpson interrogent la société américaine, il ne fait pas bon d'y laisser les doigts traîner... Marge, convaincue qu'un DVD éducatif provoque des catastrophes sur l'évolution intellectuelle des enfants, va décider de priver sa famille de télévision durant 24 heures. Il s'agit de l'épisode 14 de la saison 24, diffusé en février dernier... 

Nancy veut acheter un trésor national

Lire est peut-être la première des initiatives à adopter si l’on souhaite se lancer sur le marché très complexe des cryptomonnaies. Dans un univers qui apparaît en phase de correction depuis plusieurs mois, touché par de nombreuses crises de confiance, il importe d’être le plus éclairé possible pour prendre les bonnes décisions.

De Francfort : Dans les villes des pays les plus industrialisés, elles se multiplient : les campagnes invitant les consommateurs à « acheter local » ont le vent en poupe. Et pour cause, puisqu'elles permettent souvent de responsabiliser le client, et d'augmenter les ventes « vertueuses » pour la communauté. David Mesche, libraire berlinois, est venu partager son expérience avec son initiative « Buy Local ».

Une nouvelle application vient de sortir pour iPad, et évidemment sortie par une petite société de Seattle qui monte, qui monte et devrait faire parler d'elle.

Vendre ou acheter des livres universitaires ? FacBooks

Alors que la biographie de Steve Jobs explose déjà dans les précommandes chez les libraires en ligne, le studio Sony Pictures a posé une option puis acheté les droits pour l'adaptation d'un biopic basé sur le livre de Walter Isaacson.

Si le phénomène avait déjà été évoqué par des observateurs de l'industrie musicale, une nouvelle étude semble corroborer la théorie voulant que les DRM aient un effet délétère sur les ventes d'ebooks. Celle-ci est publiée sur le site Authorearnings.com, qui en est à son troisième trimestre d'études visant à déterminer comment maximiser les revenus des écrivains et déterminer les dernières tendances. Alors que les grandes maisons d'édition s'investissent toujours dans les logiciels anti-piratages, l'observation des listes de best-sellers autopubliés via Amazon, le 14 juillet, semble indiquer que ces titres gagnent à être dépourvus de DRM.

Les informations ont tendance à se croiser intelligemment, quand on prend le temps d'un peu de recul. Recul qui manque parfois au débat passionné, et passionnant, sur la présence de DRM dans les fichiers numériques d'éditeurs. S'il est entendu que chacun prêche pour sa paroisse, et voit, plus ou moins long que le bout de son nez, il faut rendre à César ce qui lui appartient.

Depuis plusieurs mois, la diffusion des livres numériques a saisi à bras-le-corps les possibilités du Web, et notamment ces canaux gratuits et libres qu'il a mis en place dès sa naissance, les réseaux Warez (partage et échange gratuit de fichiers). Rappelant que ces derniers ne sont pas forcément illégaux, Fred Boot les utilise pour distribuer sa dernière BD, Spécial Origines, et financer ainsi une version papier en crowdfunding.

Décidément les maisons d'écrivain envahissent le marché immobilier ces derniers temps. Après celle d'Ernest Hemingway, on vient d'apprendre la mise en vente de la maison jaune de Truman Capote (1924-1984), située à Brooklyn Heights, au 70 Willow Street.

Fondée en avril 1996 par Brewster Kahle à San Francisco (Californie), l'Internet Archive a pour but de constituer, stocker, préserver et gérer une archive de l'internet, en sauvegardant et stockant la totalité du web tous les deux mois.

Bernard Giraudeau : acheter mon bouquin relève du miracle

Lookybook, feuilleter entièrement les livres avant d'acheter

Deux millions d'Allemands veulent acheter des ebooks

La PDG d'Actes Sud, Françoise Nyssen, a déclaré dimanche à Livres Hebdo que la maison d'édition arlésienne souhaitait prendre part au rachat de Flammarion à RCS MediaGroup, qui vient officiellement de mettre en vente sa filiale française.  

L’écriture d’un écrivain en résidence le dévoile le plus souvent. Difficile, parfois, d’écrire sous la pression de la commande, ou aisé et quand ça l’est cela sort d’un jet. C’est en effet en trois mois que Guillaume Chérel nous a pondu son dernier opus dont le titre est égal à son auteur, ironique et lucide : Un bon écrivain est un écrivain mort.

Amazon et l'édition, 10 années d'amour

Depuis juillet 2013, les deux groupes Bertelsmann et Pearson ont effectivement fusionné leurs sociétés éditoriales. En résulte le monstre Penguin Random House, soit 15.000 nouveautés chaque année, et 10.000 employés à travers le monde. Mais le temps passe, et la position de Bertelsmann quant à l’avenir se précise. 

La reprise de l’activité économique découlera pour partie des sécurités sanitaires apportées aux consommateurs. C’est ce que dévoile une étude réalisée par Harris Interactive pour l’Afdas. En matière culturelle, l’ère post-confinement sera vigilante à de multiples détails pour les Français.

Le prédateur Gallimard vient de s'affûter les griffes. Il avait juré, il avait promis, mais finalement, changer de sens selon le vent n'est pas l'apanage des girouettes.  Et le grand patron de la maison vient de l'assurer à LivresHebdo : la société Flammarion, que le groupe italien RCS MediaGroup pourrait vendre, l'intéresse bel et bien.

Il n'est pas rare de voir Amazon parler de chiffres (tout en restant plus que vague bien sûr) et de se féliciter des bonnes ventes de ses ebooks ou de sa gamme Kindle, mais il est plus rare de voir la société parler de livres et de se féliciter de la popularité de la lecture en général.

C'est depuis le New York Times que l'on entendra la sonnette d'alarme tirée une nouvelle fois, pour attirer l'attention sur les périls des librairies. On savait que les clients des magasins de chaussures essayaient leurs futures godasses en boutique, avant de chercher à les acheter moins chères sur le net. Désormais, on fait de même avec les librairies.

Alors que plusieurs établissements, un peu partout dans le pays, souffrent d'une situation économique fragile, c'est vers la vente de livres sur internet que l'on se tourne pour trouver un coupable. À ce titre, le vendeur en libre LaLibrairie tord le cou à quelques idées reçues. 

C'est de coutume lorsque l'on fait face à un engouement délirant, ou que l'on souhaite attirer l'attention sur un produit : on annonce que les précommandes ne seront pas honorées dans les temps.

Les étudiants représentent un marché d'avenir pour l'édition, et le développement numérique. Que ce soit dans les collèges et les lycées pour les manuels, ou plus largement avec la littérature, en espérant que les smartphones rallient les jeunes à la lecture... Les habitudes changent, certes, mais comment ? 

En novembre, l'écrivain Sherman Alexie, bientôt suivi par des milliers de pairs, lançait la campagne Indies First. Au moment d'opter pour les bonnes résolutions que l'on tiendra, ou pas, pour la nouvelle année à venir, d'autres amoureux de lectures y vont de leur suggestion en faveur de la défense de la librairie indépendante. Argument invoqué : ces boutiques ne seraient pas simplement des lieux ou on achète des livres mais également des espaces événementiels, organisations philanthropiques et puis des endroits où vivent d'adorables animaux de compagnie...

Dans la décoration d'une pièce, si quelques tablettes peuvent contenir des milliers de livres, rien ne vaut encore la présence rassurante d'une bibliothèque solide, avec des tranches de livres bien visibles. Et au risque de froisser le célèbre adage : qu'importe l'ivresse(que) pourvu qu'on ait le flacon. C'est là le credo de la société Books by the foot.