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La vigne qui aimait un lierre et autres fables…

BONNES FEUILLES - Son véritable nom est Betty Pack. Américaine, elle est recrutée par les Services secrets anglais au crépuscule des années folles. Cynthia, son nom de code, c’est William Stephenson, dit l’Intrépide, qui l’a trouvé. Il est le plus grand des espions, un as de la dissimulation. 

THEATRE JEUNESSE - Le Garçon qui aimait est une pièce à deux voix. Juliette aime la K-pop (musique pop coréenne). Aurèle, lui, aime observer les grenouilles en prenant des notes.

ROMAN FRANCOPHONE - « Les enfants on leur doit tout, madame Blondel. Et eux ils nous doivent rien. Ils n’ont pas demandé à naître. » C’est l’amour inconditionnel, tout autant que le sacrifice de sa propre vie sociale et amoureuse, d’un fils à sa mère, pour vénérer de sa présence cette femme entière, drôle, dévouée et possédant cette qualité propre aux gens de l'exil : la bienveillance et une abnégation qui force le respect.

Considéré comme l’un des plus grands romanciers de l’époque victorienne, Charles Dickens aimait mélanger génie créatif et humour. Dans sa petite maison londonienne, aujourd’hui ouverte à la visite, l’auteur s’était ainsi attelé à remplir sa bibliothèque... de faux livres.

C'est dans l'entre-deux tours d'une présidentielle enflammée, façon pétard mouillé, que s'inscrit le livre des journalistes Éric Mandonnet et Ludovic Vigogne, rédacteur en chef adjoint de l'Express et chef du service politique de Paris Match. Avec un petit Nicolas Sarkozy, les yeux tournés vers le ciel, les mains jointes en prieur, la couverture a tout de la petite confession intime. Mais rien à faire l'ancien président de la République ne répond plus aux demandes d'interviews, il se contente de faire des conférences devant des banquiers brésiliens.

Chaque année, dans les jours qui suivent le 4 juillet, c'est à un passage en revue des interprétations de l'hymne américain que l'on assiste, appréciations et critiques à l'appui. Chaque année, c'est aussi le débat sur l'adéquation entre le Star Spangled Banner, dont les paroles sont tirées d'un poème de Francis Scott Key qui célèbre le courage US face aux attaques déloyales de la Couronne britannique en 1812 Defence of McHenry, et l'Amérique contemporaine.

Le flic s'appelle Lonnie Blevins et il a fait une grosse bêtise, pour ne pas dire autre chose. Cet enquêteur de la police de Harris County au Texas vient d'être pris la main dans le sac: il a volé des comic books de très grande valeur à l'homme sur lequel il enquêtait. L'homme en question, un avocat, est lui aussi poursuivi pour avoir dérobé d'importantes sommes d'argent à son employeur. 

L’acteur américain Jerry Lewis est décédé ce 20 août à Las Vegas. De son vrai nom Jérome Levitch, il était l’une des plus grandes figures comiques des États-Unis. Humoriste, producteur, acteur et réalisateur, il a incontestablement marqué Hollywood — ayant pris part, y compris comme scénariste, à plus d’une centaine de films.

Ah ça, le monde du sport peut être chagriné : la petite perle des Los Angeles Lakers, Kobe Bryant, vient d’annoncer qu’il se retirait de la compétition. La saison 2015-2016 du championnat américain, la NBA, achevée, il prendra sa retraite, après 20 années de bons dunks et de loyales acrobaties aériennes. 

ENQUETE - Au début des années 2000, il a volé près de 200.000 $ d’éditions anciennes, écumant les libraires spécialisés américains. Jusqu’à ce que l’un deux, qui s’avérera irrésistiblement opiniâtre, décide qu’il était désormais temps que cela cesse et de le démasquer.

#LitteratureTcheque – Très connu en République tchèque, Adolf Born vit dès l'âge de 5 ans à Prague suite à une mutation de son père, et y vivra jusqu'à sa mort le 22 mai dernier. Il suit les enseignements de l'illustrateur Antonín Pelc à l'École des Arts appliqués de Prague, et se tourne, à la fin de ses études, vers la caricature.

Filippo Bernardini aura provoqué des frayeurs dans l’édition : en usurpant l’identité d’éditeurs ou d’agents littéraires, il a mis la main sur près d’un millier d’ouvrages encore non-publiés. Son procès, qui s’ouvrira en avril, passera en revue ces cinq années d’imposture. Avec déjà un premier élément de réponse : pourquoi ces vols ?

A aime B qui aime C. Le rythme vallonné de ce chagrin d’amour classique n’est pas sans rappeler le gong, à deux coups, qui précède une tragédie. Racine en a écrit douze. Son intuition n’a pas pris une ride : plus c’est simple, plus le tumulte bout sous la surface lisse ; plus c’est limpide, plus c’est obscur, là, au cœur de l’intensité irrationnelle des passions.

Romain Puértolas, auteur du roman originel, Zidrou, Falzar et Kyung Eun ont tous travaillé de concert pour adapter l’ouvrage en bande dessinée. Zidrou et Falzar se sont occupés du scénario et Kyung Eun avait en charge de dessiner. Le résultat sera à découvrir chez Jungle début octobre. Et en attendant, voici en avant-premières les planches de la BD. 

James H. Billington aura régné en maître sur la Bibliothèque du Congrès : durant près de 30 ans, il en fut le dirigeant. Mais l’heure de la retraite sonne et il s’en retourne à ses pénates, manger du poulet aux hormones, comme le veut la chanson. 

Les passages télé de Bukowski font maintenant partie de la légende des lettres américaines. Dans cet extrait repéré par le site Open Culture, l’auteur de Factotum joue les philosophes et nous livre quelques-unes de ses vues concernant l’existence, dans son style unique et son sens de la mesure toute relative.

Le roman de Stephen King La Petite Fille qui aimait Tom Gordon, paru en France en 2000 aux éditions Albin Michel dans une traduction de François Lasquin, sera adapté au cinéma par la réalisatrice écossaise Lynne Ramsay. Le projet d'adaptation avait notamment intéressé le réalisateur George Romero, maître du film de zombies décédé en 2017, sans aboutir, faute de budget.

Gracié, le poète qatari est en réalité un miraculé : l’émir est intervenu pour mettre un terme à sa peine de prison. Il a ainsi été libéré en ce début de semaine, après avoir tout de même passé quatre années en incarcération. Sa condamnation portait sur 15 années de réclusion au total. 

Récemment ouvert, le Musée Mer Marine de Bordeaux (situé à proximité de la base sous-marine) offre une nouvelle exposition temporaire, jusqu’au 6 octobre. Elle est entièrement consacrée à l’œuvre de Sempé, que l’on découvre à travers des centaines de dessins. Une chance rare, pour qui a apprécié Le Petit Nicolas, de mieux faire connaissance avec le dessinateur.

Interview de Vincent Crouzet, l'auteur qui amait les requins

BONNES FEUILLES – Quand la violence du présent convoque celle du passé : Jeanne, harcelée et frappée par son mari, va devoir affronter, pour pouvoir revivre, le bourreau de son enfance… A l’occasion de cette nouvelle rentrée littéraire, les éditions Michel Lafon vous proposent de découvrir le premier roman d’Isabelle Le Nouvel. « On ne guérit pas d’être morte. »

Exhumer un parchemin vieux de 800 ans, pour lui donner vie — littéralement —, voilà les merveilles auxquelles s’emploie le studio Ghibli. En mars 2016, les créateurs de Mon voisin Totoro ou Le Voyage de Chihiro déployaient des trésors d’attention pour réaliser une vidéo autour du Chōjū-jinbutsu-giga, un rouleau peint japonais datant du XIIe siècle. 

Les bibliothèques universitaires américaines avaient connu l’histoire de l’étudiante qui aimait s’exhiber et filmer ses représentations érotiques. Et elles pensaient qu’on les laisserait tranquilles suite à cela. C’était sans compter sur l’homme qui aimait renifler les chaussures des femmes par fétichisme. 

BONNES FEUILLES - Elle se rend aux obsèques de celui qu’elle aimait et pensait connaître, un homme disparu de sa vie depuis un an. 

Le Dr. Seuss, célèbre auteur de livres pour enfants aux États-Unis, était féru de couvre-chefs en tout genre. Il aimait tellement les chapeaux qu'il en avait plusieurs centaines chez lui. Une collection dont il était fier, puisqu'il aimait les montrer à ses amis de passage chez lui. Des objets également présents dans son oeuvre : beaucoup de personnages portent le chapeau. 

BONNES FEUILLES – Un roman intime et politique qui nous plonge au cœur de la guerre froide et dans la pensée complexe du père de la bombe. Robert Oppenheimer aimait les femmes, courser les trains au volant de sa puissante voiture, affronter les tempêtes à la barre de son bateau et galoper sur les chemins du Nouveau-Mexique. Par-dessus tout, il aimait la physique car elle réveillait en lui le philosophe, le poète. 

Après « l'homme qui m'aimait tout bas », dédié à son père adoptif, Eric Fottorino consacre ce dernier récit à son père biologique, rencontré pour la 1ère fois alors qu'il avait dix-sept ans.