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Les résultats sont enthousiasmants, assure un email envoyé par Jeff... Belle, le vice-président d'Amazon Publishing, à des agents littéraires. Ce dernier se dit particulièrement content des premiers mois d'exploitation des différentes filiales de la maison d'édition. Et des ventes de livres, bien entendu !

Le groupe britannique Amazon Anonymous a lancé une campagne de boycott, visant la plateforme du géant de l'ecommerce à l'occasion des fêtes de fin d'année. Associé au site Ethical Consumer, les activistes ont publié leur guide des alternatives qui permettront à leurs soutiens de faire leurs achats ailleurs en cette période de Noël. Pendant ce temps là, chez Jeff Bezos, on arme les entrepôts américains de robots pour assurer la rapidité des livraisons. 

Un immense entrepôt, des milliers d’employés et des centaines de rayonnages, bienvenue chez Amazon. Il y a 9 ans, le géant de la vente sur internet ouvrait son premier pied à terre en France, à Saran, près de la ville d’Orléans. Très vite, l’entreprise est devenue le premier employeur du département. Mais que se passe-t-il vraiment derrière ses murs ?

Certains espèrent encore que le conflit entre Hachette Book Goup et Amazon autour de la vente de livres cessera prochainement. Peu probable. Depuis les premières révélations du New York Times, le 8 mai dernier, on nage dans le grand vide d'informations. Contacté à différentes reprises, le groupe Hachette Livre, en France, ne souhaite pas faire de commentaires.

Les libraires britanniques ne seront sans doute pas surpris, mais un rapport du Centre for Economics and Business Research, centre de recherches en économie basé à Londres, révèle qu'ils payent environ 11 fois plus de taxes commerciales qu'Amazon. Comble de l'ironie, malgré un chiffre d'affaires qui tutoie 1,5 milliard £ en 2016, le géant du web a réussi à payer deux fois moins de taxes qu'en 2015.

120 éditeurs du bassin hispanophone, majoritairement basés au Brésil, s'élèvent contre une demande d'Amazon, exposée dans un courrier envoyé par la firme. La multinationale réclame désormais une remise minimale sur les livres de 58 %, assortie de 5 % supplémentaires pour « l'amélioration des ventes ». Les éditeurs assurent qu'« il n'y a pas de marge de manœuvre pour de nouvelles remises ».

Les libraires britanniques, comme ailleurs, peinent à boucler leurs fins de mois. Loyer en hausse, désertification des centres-villes, concurrence numérique... Mais, surtout, comme nous l'avait précisé Tim Walker, président de la Booksellers Association, le poids financier des taxes commerciales. Le gouvernement britannique a réjoui l'organisation des libraires, en annonçant une réforme de ce prélèvement fiscal pour 2016.

Début octobre certains utilisateurs de la plateforme commerciale Kobo, parmi les plus observateurs, ont constaté d'étranges divergences dans la tarification des titres numériques. Pour un même livre, et rien qu'en se loguant et déconnectant son compte client, ils se retrouvaient alors face à deux, voir trois prix différents. Des théories diverses et variées quant aux raisons de ces écarts de prix injustifiés se sont diffusées sur le web, avant que Kobo ne s'explique officiellement cette semaine. C'est en fin de compte un bug qui est en cause.

Pour l'édition 2012 du Salon du livre, une nouvelle plateforme professionnelle sera mise en place : BibliDoc. Celle-ci est destinée à mettre en relation « les 4 000 responsables des bibliothèques et centres de documentation qui se déplacent chaque année Porte de Versailles ».

Au cours de la Book Industry Conference, qui a eu lieu les 16 et 17 mai à Londres, plusieurs recommandations ont été formulés à l'attention des libraires. S'informer des livres valorisés dans les médias, ainsi que de renforcer leurs liens avec les éditeurs et les clients, deux pistes à suivre...

Les acteurs de la vente au détail seront ravis de savoir que la Commission européenne se penche sérieusement sur la question des pratiques commerciales déloyales. Elle adopte en effet un plan d'action européen, pour donner au commerce de détail, un nouveau souffle, débarrassé des exactions que ses acteurs et les politiques peuvent dénoncer. 

Difficile de faire plus prudent que le marché chinois, et plus sensibles que ses acteurs. Quant aux autorités de la concurrence, elles pincent plus facilement le nez encore. Ainsi, Amazon avait joué de prudence, en ne commercialisant pas ouvertement son Kindle sur sa boutique amazon.cn. Une mesure sage, qui avait poussé le cybermarchand à ne proposer que des applications... en attendant mieux ?

Microsoft flagelle Google en place publique sur ses pratiques commerciales

L’entreprise Kamael - Leslibraires.fr, présidée par Thomas Le Bras, annonce l’arrivée de Lise Pansiot au poste de commerciale. Depuis le mois de mars 2021, elle est chargée de la commercialisation du logiciel de gestion spécialisé en librairie, Gestock, ainsi que des sites internet leslibraires.fr.

Dans le cadre de la sortie prochaine de sa plateforme de vente d'ebooks, Bilbary a annoncé la semaine dernière avoir conclu un nouveau partenariat. Après les bibliothèques du Kansas et de Denver, le réseau de bibliothèques Califa rallonge la liste des organismes à but non-lucratif désireux de tirer parti du large éventail de livres numériques hébergé par Bilbary. Cela constitue un pas de plus vers l'intégration des bibliothèques parmi les canaux de distribution du marché de l'ebook.

Suite à nos différents articles explorant l'offre que les éditions Fleurus ont mise en place, permettant d'acheter la version numérique, si on le souhaite, pour 1 €, dès lors que l'on achète la version papier, Frédéric Bouyeure, des éditions La Géante, a pris contact avec nous.

En Australie, le parti libéral avait promis au cours de sa campagne une grande évaluation des différentes lois sur la concurrence. Deux ans plus tard, le texte final a été dévoilé, avec une évaluation du gouvernement attendue au mois de mai prochain. Mais la suppression de certaines mesures de régulation a provoqué une levée de boucliers dans le monde de l'édition.

Moins de demandes pour les prépas scientifiques et commerciales en 2010

Depuis l’arrivée de Véronique Cardi à la tête de la maison, les éditions Lattès se réorganisent. Nommée présidente en janvier dernier, elle a choisi de repenser le service commercial des éditions JCLattès et de renforcer la relation libraires. 

L'IABD vient de diffuser un communiqué pour tenter de faire entendre raison aux députés, qui luttent farouchement contre l'adoption de l'article L. 134-8. Ce dernier vise à rendre l'accès gratuit aux oeuvres dites orphelines. Il s'agit d'oeuvres sous droit, dont on ne connaît cependant pas l'ayant droit, à l'exception de l'éditeur.

C'est comme pour donner de l'eau au moulin de notre grand dossier Actualeaks sur la numérisation à la BnF que Denis Bruckmann, conservateur général à la BnF et directeur du département des Collections vient de s'appuyer sur le Bulletin des Bibliothèques de France, la revue la plus institutionnelle, pour raconter un peu plus ce qu'il en est de BnF Partenariats. Si l'établissement n'a jamais souhaité retourner nos demandes d'entretien ni répondre à nos questions, c'est que l'on préférait profiter du BBF pour communiquer. Mais là encore, la communication a quelque chose d'assez obscur.

Depuis plusieurs mois, le vendeur de livres et d'ebooks Amazon use de sa force de frappe commerciale et de ses parts de marché pour exiger de quelques éditeurs américains, les plus importants du secteur, de meilleures conditions commerciales. Ces dernières concerneraient la vente de livres numériques, sur laquelle Amazon réclame de meilleures marges. 

L’analyse des données du marché a toujours été cruciale pour la prise de décision d’une entreprise, et cela vaut aussi pour les maisons d’édition. L’évolution du numérique leur donne maintenant des clés, comme l’exploitation du Big Data, pour se concentrer sur l’utilisation des données, qui se révèle être un puissant outil pour mieux promouvoir le livre et satisfaire au mieux les attentes des lecteurs.

Le mouvement partira de San Francisco, avec ou sans fleurs dans les cheveux : 250 auteurs, essentiellement des universitaires se sont réunis dans une nouvelle structure, l'Authors Alliance. Leur objectif premier reste bien entendu la défense des intérêts des écrivains, mais adaptée à l'ère numérique et aux moteurs de recherche. Ils réclament une réforme du copyright, pour faciliter la diffusion des oeuvres.

Si, un peu plus tôt au cours de l'année, des données livrées par OverDrive avaient permis de conclure que le prêt d'ebooks en bibliothèque était en mesure de doper les ventes des éditeurs, il pourrait en être de même pour la diffusion de titres en lecture gratuite. Ainsi, le premier livre de Tess Thompson, publié par Booktrope, est devenu un best-seller après avoir été offert gracieusement, et ce, par le fruit d'une campagne promotionnelle agressive dans l'ère du temps, appuyée par les médias sociaux.

Alors que les différents pays de l'Union Européenne sont partagés entre les spécificités nationales (loi PULN la France, l'Allemagne est en cours de discussions) et décisions judiciaires de la Commission Européenne (fin du prix fixé par l'éditeur), les libraires se doivent d'intégrer des clauses de territorialité, à la demande des éditeurs. Une situation qui tend à se généraliser, au grand dam des expatriés.

Économies et conquête commerciale à la Fnac : sauver les emplois

Libraires et éditeurs, partenaires... insatisfaits

On en poufferait devant l’absurdité de la chose : les relations entre Donald Trump et Beijing n’ont rien de la lune de miel. Les négociations entre les deux pays tournent régulièrement en eau de boudin, avec des dommages collatéraux un peu partout. Au cœur du problème, la hausse des droits de douane. Et pour effet boomerang de provoquer une tempête dans les bénitiers… 

Fait connu et malheureusement avéré, les artistes, en particulier dans le secteur de l'édition, voient leurs revenus diminuer. Des députés de La France insoumise ont déposé à l'Assemblée une proposition de loi visant à l’institution d’un fonds de soutien à la création artistique. Délivrant des aides ponctuelles à la création ainsi qu'un droit au soutien à la création, ce fonds serait alimenté par un prélèvement sur les utilisations commerciales du domaine public.