Recherche

arménien

Extraits

ActuaLitté

Histoire internationale

L'Arménie et les Arméniens de A à Z

" Ils sont Arméniens... de A à Z. " La communauté arménienne en France est forte de plus de 600 000 Français répartis dans les grandes métropoles comme Nice, Marseille, Valence, Romans, Villeurbanne, Lyon, Alfortville, Issy-les-Moulineaux, Clamart, Paris... Une diaspora active, omniprésente dans les milieux économiques, culturels, politiques et artistiques. C'est l'histoire de cette communauté, que ce soit en France ou à l'étranger, sa culture, son patrimoine, son rôle et son empreinte à travers les siècles, que les auteurs nous font découvrir au fil des pages. Leur histoire familiale marquée par l'exode ayant suivi le génocide de 1915, qui est celle de la majorité des Arméniens, ressemble à une fresque, rythmée d'images, de couleurs, d'événements et de péripéties, transmise par leurs parents et grands-parents. Un parcours d'intégration exemplaire qu'ils ont choisi ici de raconter sous la forme d'un dictionnaire personnel de 100 entrées de A à Z illustré de 250 images. Textes et documents se conjuguent pour faire connaître et aimer l'histoire des Arméniens, une diaspora riche d'une double culture, à la fois refuge et force.

11/2020

ActuaLitté

Tourisme étranger

Merveilles d'Arménie

Les étrangers appellent notre pays, l'Arménie, "Musée à ciel ouvert". Cette encyclopédie est un guide très particulier qui chemine dans les quatre "salles" de ce musée : Antiquité, Moyen âge et Christianisme, Nature et Mode de vie et Epoque moderne. Les quatre-vingts "merveilles" présentées dans ce volume sont très précieuses pour le lecteur arménien. C'est probablement pour cette raison, que la maison d'édition a choisi un titre plutôt poétique "Merveilles". Néanmoins il faut aussi prendre en considération le fait que le peuple arménien est très fier de ses merveilles dont la plupart ont trouvé dignement leurs places dans le patrimoine mondial. Dans cette encyclopédie nous découvrons des domaines inhérents à l'histoire des Arméniens, mais qui se situent actuellement sur le territoire historique de l'Arménie, en Arménie Occidentale, (la Cathédrale de la Sainte-Croix d'Aghtamar, le canal de Sémiramis, la Cathédrale d'Ani, le lac de Van, etc.)

02/2019

ActuaLitté

Histoire internationale

Histoire d'Arménie

Situé au carrefour entre l'Orient et l'Occident, le vaste Plateau arménien a constitué, depuis des millénaires, le foyer du peuple arménien. Il est dominé par le mont Ararat où se serait échouée l'arche de Noé. L'Arménie fut un grand et puissant état sous le règne de Tigrane II le Grand et deviendra, au début du IVe siècle, le premier état chrétien dans le monde. Le dernier royaume arménien de Cilicie s'est éteint en 1375 et le dernier roi de l'histoire, Léon V de Lusignan, d'origine française, est mort à Paris en 1393. Le Génocide perpétré par le gouvernement Jeune turc, durant la 1re Guerre mondiale restera la page la plus sombre. Le 28 mai 1918 l'Arménie va renaître de ses cendres et proclamer son indépendance, sur une parcelle orientale de son territoire historique. Soviétisée par la suite, l'Arménie va, de nouveau, recouvrer son indépendance le 21 septembre 1991, après la fin de l'URSS. Quant à la diaspora, formée par les survivants du Génocide, elle compte désormais (sur les 9.000.000 d'individus vivants dans le monde) plus de deux Arméniens sur trois.

11/2011

ActuaLitté

Histoire internationale

L'Arménie du Levant (XIe-XIVe siècle). Coffret 2 volumes

L'année 1045 marqua la fin du dernier royaume en Grande Arménie, mais loin de disparaître l'Arménie se préparait à écrire les pages les plus brillantes de son histoire. Des principautés autonomes virent le jour sur la partie du territoire historique libérée du joug turc, pendant qu'un processus de renaissance étatique se développait en Cilicie, face à l'île de Chypre, aboutissant en 1198 à la fondation d'un " royaume d'Arménie hors d'Arménie ". Il y avait donc alors deux Arménie, liées face à l'irruption au Proche-Orient des Francs via les croisades au XIIe siècle puis des Mongols au XIIIe. Avec les Etats latins, dont ils adoptèrent plusieurs aspects administratifs, les Arméniens établirent des relations d'égal à égal où les liens matrimoniaux tenaient une place essentielle, tandis que face aux Mongols ils profitèrent de l'expérience des princes de Grande Arménie. Par une subtile diplomatie tous azimuts tenant compte des éléments grecs, turcs et arabes, les rois d'Arménie en Cilicie se retrouvèrent au milieu du mue siècle à la tête du plus puissant Etat chrétien en Orient, plaque tournante du commerce entre l'Europe et l'Orient. La floraison culturelle était spectaculaire, le royaume adaptant au moule arménien les apports francs tout en perpétuant ses traditions artistiques, pendant que la Grande Arménie se couvrait de superbes oeuvres d'architecture. Du XIIe au début du XIVe siècle, les Arméniens étaient donc au centre de la galaxie eurasiatique. La décadence s'amorça avec le déclin du pouvoir mongol, la pénétration latine dans l'Eglise arménienne et la montée en puissance des Mamelouks égyptiens, qui mirent fin en 1375 à cette " Arménie du Levant " dont le dernier roi, d'ascendance poitevine, mourut en exil à Paris. Au-delà des Arméniens et arménisants, cet ouvrage s'adresse à tous ceux qui s'intéressent aux croisades, aux Mongols, à l'Islam médiéval ou aux chrétiens d'Orient. Les publications récentes de sources inédites imposaient de revisiter tous les aspects de cette période fascinante et complexe. Les 84 tableaux généalogiques et les 74 cartes facilitent la lecture, et les 228 illustrations en couleurs reflètent le caractère cosmopolite de ce monde arménien médiéval.

11/2012

ActuaLitté

Ouvrages généraux

Jérusalem et les Arméniens

Dans la division en quatre de la vieille ville de Jérusalem, le quartier chrétien et le quartier arménien sont contigus mais indépendants. Cette situation a priori paradoxale correspond bien à l'ancienneté et à l'importance de la présence arménienne. Jérusalem est en effet restée un mythe pour les Arméniens dès le IVe siècle, quand le christianisme a été proclamé religion nationale. Les relations des Arméniens avec la Ville sainte n'ont jamais cessé, pour culminer à l'époque des croisades qui donnèrent l'occasion de fonder en Cilicie, à la fin du XIe siècle, un Etat arménien frontalier de la Syrie franque, converti en royaume un siècle plus tard. Jérusalem abritait alors le siège d'un Patriarcat arménien et l'activité culturelle y était particulièrement intense. En témoignent la quantité et la qualité des inscriptions, des sculptures, des mosaïques, des pièces d'orfèvrerie, ou encore des manuscrits superbement calligraphiés, ornés de miniatures qui comptent parmi les chefs-d'oeuvre de l'art arménien. Sous la domination des Mamelouks, la culture arménienne continua à fleurir à Jérusalem, comme on peut le voir dans les nombreux récits des voyageurs européens qui n'omettaient jamais une section consacrée aux Arméniens. A l'heure actuelle, Jérusalem est le plus important conservatoire de la culture arménienne hors d'Arménie. Présentant les relations arméno-hiérosolymitaines dans leur contexte historique et artistique, ce livre en est un reflet. L'abondance des cartes et des tableaux généalogiques en facilite la lecture. L'iconographie y joue un rôle fondamental, le texte étant essentiellement traité en légende des images, qu'il s'agisse de reproductions de miniatures, de monuments et d'oeuvres d'art, ou encore de pages manuscrites d'historiens et de voyageurs.

09/2022

ActuaLitté

Poésie

CHANSONS D'ARMÉNIE

Poète et musicien, Djivani, de son vrai nom Sérop Lévonian, né en 1846 à Kartsakh en Géorgie et mort en 1909 à Tbilissi (à l'époque, Tiflis), fut le plus célèbre "achough" de son époque. Les achoughs, également appelés gusans, sont des trouvères arméniens qui disposent de tout un répertoire de chansons et de musiques traditionnelles, dont l'origine se perd dans la nuit des temps et qu'ils enrichissent de leurs propres compositions. Le plus célèbre d'entre eux est Sayat-Nova (1712-1795), lui aussi originaire de Tiflis. S'inscrivant dans cette tradition, virtuose du kamantacha (le violon arménien, héritier de la lyre byzantine), chanteur et poète, Djivani fut le porte-parole du peuple arménien en son temps, exprimant ses angoisses face à la persécution ottomane, célébrant la beauté et la vitalité de ses coutumes. Loin d'être de simples témoignages du passé, ses chansons sont toujours vivantes, connues de tous les Arméniens, chantées aujourd'hui encore par de très nombreux interprètes, mais également lues et étudiées comme un trésor de la poésie arménienne. En 1919, au lendemain du génocide arménien et à la veille de la signature du Traité de Sèvres, qui prévoyait la reconnaissance d'une grande Arménie indépendante, le poète et critique littéraire Archag Tchobanian (1872-1954) publia une anthologie intitulée Les plus belles chansons de Djivani pour faire connaître en France la poésie du célèbre achough. Intellectuel engagé, animateur de revues, lié à de nombreux écrivains français et francophones, de Romain Rolland à Verhaeren, Tchobanian fut l'un des grands médiateurs culturels entre la France et l'Arménie. Ses traductions de Djivani n'avaient encore jamais été réimprimées. Pour leur rendre vie, ce volume en propose une édition bilingue qui permet de goûter la beauté de la typographie arménienne et donne un intérêt supplémentaire à cette réédition.

04/2024

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté