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Urbanisme

Les Hauts d'Asnières. Exemplarité d'une opération de renouvellement urbain réussi à Asnières-sur-Seine

Tout a commencé en 2011 avec la démolition des 317 logements de la barre des Gentianes. Puis ce fut, 514 logements sociaux réhabilités et 1 619 résidentialisés. C'était l'amorce de la mise en oeuvre d'un projet ambitieux de renouvellement urbain. Réaliser un quartier mixte, animé et compétitif autour du pôle multimodal des Courtilles, tels étaient les objectifs pour cette partie nord de la Ville, dans le cadre d'une convention ANRU puis NPNRU. Le plan de renouvellement urbain des Hauts d'Asnières s'articulait autour de cinq grands objectifs visant à réduire les phénomènes de ségrégation socio-spatiale et à assurer l'attractivité du territoire : développer le réseau viaire, instaurer des pôles d'animation fédérateurs, renforcer le maillage en équipements et développer le réseau associatif, mettre en place une logique paysagère et évoluer vers plus de mixité sociale et une diversité de l'offre de logements. Objectifs atteints grâce à la mobilisation de tous les acteurs, bailleurs, promoteurs, aménageur ! Un nouveau quartier à l'architecture moderne est né : des logements libres, d'autres en accession et locatifs, certains en accession sociale, une résidence hôtelière, des bureaux créant des emplois, des commerces et des équipements publics dont l'aréna Teddy Riner, élément phare qui, outre accueillir des compétitions sportives d'envergure nationale, permet l'organisation de manifestations festives. Par les témoignages des protagonistes de cette métamorphose urbaine, découvrir au fil des pages agrémentées de nombreuses images le renouvellement urbain des Hauts d'Asnières.

03/2024

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Littérature française

Le roman de l'Alcazar

L'Alcazar, c'est le cinéma d'Asnières-sur-Seine, dont la façade élégante n'échappe au regard de personne depuis le train qui arrive en gare. Son histoire est racontée ici : elle épouse le vingtième puis le vingt et unième siècle grâce à un couple, Antoine et Céline Lescure, puis à leur fils Jean Lescure, ensuite à son épouse, Renée, enfin, à la Ville d'Asnières et à Patrick Brouiller. Depuis 1961, date de son premier classement art et essai où l'Alcazar a reçu des parrains illustres (André Malraux, Robert Hossein), le cinéma d'Asnières est véritablement " élu " par ses habitants, au gré de périodes plus ou moins difficiles, jusqu'aux années fastes qui ont vu venir de grands auteurs français (Bertrand Tavernier, Jean-Jacques Annaud, pour n'en citer que quelques-uns). Mais dans cette histoire, bien d'autres gens s'emparent du cinéma pour combler leurs vies : François, Jeanne, M. Babot, Mehdi, Nelly, Jacques, Maguy, Philippe, Guy. D'une décennie à l'autre, ils vont peupler le roman de l'Alcazar.

08/2021

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Théâtre

Théâtre français. Tome 3, Le Légataire universel, La Critique du Légataire, Sapor, Les Souhaits, Les Vendanges ou le Bailli d'Asnières

Ce volume regroupe les deux dernières comédies de Jean-François Regnard représentées en 1708 ainsi que trois comédies posthumes : Le Légataire universel, La Critique du légataire universel, Sapor, Les Souhaits et Les Vendanges ou le bailli d'Asnières.

02/2018

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Littérature française

Le cimetière des ravageurs

Tout commence au cimetière pour chiens d'Asnières-sur-Seine en banlieue nord-ouest de Paris. L'île des Ravageurs, près du Pont de Clichy, autrefois occupée par des chiffonniers, a été rachetée fin 19ème au baron Bosmalet par Georges Harmois et Marguerite Durand qui créèrent la Société française anonyme du cimetière pour chiens et autres animaux domestiques. Quinze chiens et un chat revisitent leurs vies, évoquent leurs maîtres, tous partageant la fraternité de reposer sur ce lopin de terre situé en amont de la commune d'Asnières. Chacun avec son caractère, son époque et les souvenirs qu'elle lui a laissés, ils sont chiens politiques, chiens de guerre, chiens bourgeois, chiens maquisards, ou chiens de rien, et ils nous racontent parfois l'insoutenable. Ils ont échappé au sort le plus commun. Eux qui quelquefois s'étaient crus des parias, ils ont trouvé dans cette sépulture une reconnaissance dont ils se croyaient indignes.

03/2017

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Théâtre - Pièces

J'ai toujours voulu faire bien

J'ai eu la chance de découvrir un travail en cours lors d'une présentation de maquette qui m'a permis de programmer le spectacle pour sa création dans le cadre de notre festival "Mises en demeure", dédié à la jeune création théâtrale, pour quatre représentations, du 26 au 29 septembre 2019. Il y a tout d'abord l'écriture, précise, ciselée, concrète et profonde, au service d'une réelle construction théâtrale, sur laquelle la mise en scène peut s'appuyer. Puis une réelle maîtrise du plateau de la direction d'acteurs qui permet à deux actrices et un acteur de déployer un jeu physique, organique, centré. La scénographie et l'univers sonore concourent au même objet artistique, puissant et abouti. Claire Bosse-Platière réussit un tour de force de traiter de la violence conjugale, sujet piège s'il en est un pour le théâtre, en inventant une forme nourrie d'une force créatrice nouvelle. Le nombre de spectateurs et l'accueil du public n'ont fait que confirmer ces qualités. " A Asnières-sur-Seine le 1er Octobre 2019, Tatiana Breidi. co-directrice du studio d'Asnières et de l'ESCA Il y a des mots qui vous touchent comme un coup, de coeur, de poing, de main. Ceux de Claire Bosse-Platière, autrice, en font partie. Si son texte traite de la violence conjugale, sujet douloureux, certes, mais ici traité comme une libération. On assiste à un témoignage poignant mais jamais larmoyant, où la parole de l'autrice est lancée comme un cri vers l'autre, avec sincérité, humilité, générosité et importance. " Mélanie Davidts.

03/2021

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Romans historiques

L'esquisse d'un rêve, 1936. Le Front populaire dans un village au bord de l'Oise

Un petit village du bord de l'Oise entre les deux guerres, Marie et Julien vont se marier. Comme la plupart des habitants d'Asnières, ils travaillent à l'usine de caoutchouc Delacoste. L'usine est l'âme du village, celle qui donne du travail. Le son de la sirène, comme autrefois les cloches de l'église rythmaient les travaux des champs, délimite la journée de chacun. Dans un mouvement perpétuel, l'usine avale les groupes du matin, laissant le village aux vieux et aux femmes. Elle est le pouls du village, le coeur qui lui permet de vivre. Après la crise, la crainte du chômage et des licenciements, l'arrivée du Front Populaire fait espérer un avenir meilleur.

02/2012

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