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Récits de mer

L'Astrolabe. Récit du voyage

L'Astrolabe commandée par Dumont d'Urville quitte Toulon le 22 avril 1826 pour gagner les mers du Sud par le cap de Bonne-Espérance. Elle rejoint l'Australie, puis la Nouvelle-Zélande, avant de parcourir l'Océanie : Tonga, Fiji, îles Loyauté, Nouvelle-Guinée... A Vanikoro, les épaves des deux navires de La Pérouse sont retrouvées. Son devoir accompli, Dumont d'Urville quitte Vanikoro et se dirige vers les Mariannes puis effectue la géographie du détroit des Moluques, et de là l'Astrolabe traverse les îles de la Sonde et reprend le chemin du Cap, puis de la France. Le 25 mars 1829, l'Astrolabe arrive à Marseille. Les savants participant à l'expédition font une riche moisson pour la géographie, l'ethnologie et les sciences naturelles, saluée au retour par Cuvier et de nombreux scientifiques. Transcrit et publié aujourd'hui pour la première fois, le récit de Pierre-Adolphe Lesson possède une grande qualité descriptive et littéraire, contrastant avec le style "sec, formé de phrases brèves, hachées et sans grâces" de son commandant Jules Sébastien César Dumont d'Urville. A l'écart des comptes rendus marqués par l'émerveillement de la découverte, ce récit au plus près des hommes offre au lecteur une histoire des rencontres remarquables entre des mondes étrangers les uns aux autres : Français et habitants autochtones bien sûr, mais aussi Français et habitants britanniques et hollandais des stations navales, et plus encore officiers, sous-officiers et simples marins. Qualités et défauts des hommes comme de la politique de la Royale donnent du caractère à cette oeuvre. Sa prose fleurie et intransigeante fait vivre les gens autour de lui. "Nous avons vécu de cette vie de contact ou les hommes apprennent à se connaître jusqu'au fond de l'âme".

02/2022

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Récits de voyage

L'empreinte des glaces. Carnet de voyage sur l'astrolabe

"Tout là-bas, en Terre Adélie, un petit groupe de vingt-cinq personnes connaît ses dernières semaines d'hivernage et guette mon retour. Avec un sentiment bien particulier. Un conflit intérieur partagé entre l'envie de revoir ma silhouette bleue et rouge se dessiner sur l'horizon, mais aussi l'appréhension de sortir de cet endroit confiné, sûr et protégé. Un petit cocon enfoui dans les confins glacés du monde. Car même si l'Antarctique a su montrer son caractère trempé, il n'en reste pas moins un lieu préservé du désordre humain, offrant une vie simple, en petite communauté, où les préoccupations sommaires ont permis de cultiver les relations sociales. Dans cet environnement, chacun réapprend les bases - boire, manger, parler, vivre. Ainsi que sa place au sein de la nature. Ironie du sort quand on sait que l'Antarctique n'a jamais accueilli de peuples et a fait souffrir tant d'explorateurs." L'empreinte des glaces nous embarque à bord de L'Astrolabe, navire emblématique qui a ravitaillé la Terre Adélie, en Antarctique, pendant des années. Pour son dernier voyage, le bateau nous ouvre son journal de bord, comme un récit à la découverte des dernières contrées inhabitées.

10/2018

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Sciences historiques

La Pérouse... et après. Dernières nouvelles du mystère de l'Astrolabe

Considérant les qualités de marin que La Pérouse avait montrées lors de la guerre d'indépendance de l'Amérique et lors de son expédition de la baie d'Hudson en 1783, Louis XVI le nomma chef de l'expédition de découverte autour du monde. Il commandait le navire La Boussole et Fleuriot de Langle l'Astrolabe. L'expédition quitta Brest en 1785. En mars 1788, ils appareillèrent de Botany Bay en Nouvelle-Hollande (Australie). Quelques mois plus tard, les deux navires, pris dans une violente tempête, se fracassèrent sur les récifs de Vanikoro (îles Salomon). Aucun survivant ne fut retrouvé dans les années qui suivirent le drame. Vanikoro, l'île du naufrage, fut localisée trente-huit ans après par le capitaine Dillon. En 1793, l'expédition de d'Entrecasteaux ne put poursuivre ses recherches à Vanikoro. A cette date pourtant, cinq années après le naufrage. selon la tradition orale indigène, des rescapés auraient survécu et quitté l'île sur des embarcations. En 1826. le capitaine Dillon découvrit à Vanikoro le lieu où un navire avait sombré. Mais le mystère des survivants reste entier. Ce livre expose l'état actuel des recherches et des derniers indices fournis par les Russes et les Espagnols sur la disparition de La Pérouse.

05/2011

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BD tout public

Jules Verne et l'astrolabe d'Uranie Intégrale : Tomes 1 et 2

Alors qu'il n'est encore qu'un enfant rêveur, Jules Vernes fugue. Son espcapade le mène dans le port de Nantes où il assiste à une étrange scène : un homme acquiert un astrolabe qui serait doté d'un fabuleux pouvoir. 28 ans plus tard, l'écrivain embarque pour les Amériques afin d'y trouver l'inspiration. A bord, il croit reconnaître celle qu'il a tant aimée et qu'il pensait morte. Mais qui est ce mystérieux savant nommé Orpheus qui semble la retenir prisonnière ? Que manigance cet homme et quel lien peut-il avoir avec ce qu'il a vu dans son enfance ? Pour le découvrir, Jules se lance à la poursuite d'Orpheus. De New York aux chutes du Niagara, il devra braver mille dangers dans ce monde que l'on qualifie de "nouveau" et qui lui inspirera tant de voyages extraordinaires.

10/2019

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Histoire des techniques

Répertoire des facteurs d'astrolabes et de leurs oeuvres en terre d'Islam. Pack en 2 volumes

Sommet du savoir, symbole des orbes, complexe de géométrie, figure du monde, guide de la sagesse, l'astrolabe a, depuis longtemps, suscité curiosité et admiration. Son emploi pour la résolution des problèmes géométriques, ses applications pratiques pour la connaissance du cosmos, l'ingéniosité de sa conception et la beauté souvent exceptionnelle de sa gravure en ont fait " l'Instrument Roi ". Depuis près de deux cents ans, les historiens comme les collectionneurs lui vouent le plus grand intérêt. En effet, de toute l'histoire de l'Islam et de la Chrétienté, il est le seul instrument scientifique dont on possède bon nombre d'exemplaires fabriqués dès les premiers siècles de l'hégire jusqu'à ce qu'il tombe en désuétude au dix-neuvième siècle de notre ère. C'est dire s'il constitue un sujet de choix pour l'étude de la conception et de la réalisation des instruments astronomiques et, par delà même, de la transmission de la pensée héritée des Grecs et son acheminement à travers l'Islam jusqu'à la Chrétienté et peut-être encore vers d'autres cultures lointaines. Il comble des lacunes laissées dans nos connaissances par les textes littéraires et les manuscrits traitant des instruments anciens. Il nous fournit aussi des données qui nous permettent de savoir qui en étaient exactement les constructeurs et de mieux comprendre leur fonction et celle de leurs instruments dans la société. Nous connaissons beaucoup d'astrolabes " islamiques " portant des inscriptions en arabe ou en persan, quelquefois en turc, et d'astrolabes de l'Inde, portant des inscriptions en sanscrit. Il faut en ajouter un qui porte une inscription en caractères hébraïques, celui d'Abraham, quatre en arménien (ceux de Alat'ciean, Nuri?anean Lukas Vanandec‘?, Mur?d ‘Is?n?, ainsi qu'un astrolabe arménien anonyme) et un en géorgien, le n° 26 de ‘Abd al-A'imma. En dehors de ces objets, cette longue période nous a laissé des globes célestes islamiques et quelques globes indiens, ainsi que des équatoires, des quadrants, des cadrans solaires et des indicateurs de qibla, dont beaucoup sont signés et dont certains sont datés. Nous avons voulu également répertorier ces instruments. Le Répertoire se veut être un tableau aussi exhaustif que possible de tous les facteurs d'astrolabes ayant travaillé en terre d'Islam ainsi que ceux qui, en Inde du Nord, ont réalisé des instruments inspirés de la tradition islamique. D'autres pays d'Europe orientale proviennent également des exemples très proches des modèles islamiques, mais portant des inscriptions en arménien et en géorgien.

04/2021

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Collection Budé

Deux traités byzantins de construction de l'astrolabe. Edition bilingue français-grec ancien

A Byzance, au XIVème siècle, certains commencent à prendre conscience de l'avance prise dans le domaine de l'astronomie par les mondes occidental et arabo-persan. L'astrolabe, qui paraît avoir disparu du monde byzantin, en est le symbole. Un auteur, Nicéphore Grégoras, déjà connu pour quelques travaux d'astronomie, entreprend l'écriture d'un traité de construction d'un tel instrument. En butte semble-t-il à de fortes critiques, l'auteur tentera de répondre par une deuxième édition, plus complète, mais destinée surtout à démontrer la valeur scientifique de l'instrument. Vingt ans plus tard, un élève du précédent, Isaac Argyros, reprendra le travail de son maître, dans un climat manifestement apaisé, et écrira un traité de bien meilleure qualité, mais qui révèle néanmoins les limites de la connaissance dans ce domaine à Byzance, au XIVème siècle. Sensiblement à la même époque, vers 1360, un auteur essaiera, avec un certain succès, de rétablir une version exploitable du Traité de l'astrolabe de Jean Philopon. Un peu plus tard, Théodore Méliténiote publiera sa Tribible astronomique. Les deux traités que nous éditons prennent place dans l'effort fait à Byzance pour combler ce retard.

11/2021

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