bénéfices amazon prime

Il n'y a pas que sous nos latitudes que les prix littéraires font recette : l'Angleterre en accumule peut-être moins, mais quel prix !

Le chiffre d'affaires d'Amazon est en hausse. Oui, à force d'enfoncer des portes ouvertes, on a l'impression de brasser de l'air. Mais les résultats du cybervendeur confirment une bonne santé outrancière.

Ceux qui à Wall Street ont misé leurs billes sur Amazon doivent desserrer les fesses en cette fin de semaine. Car si la firme inquiétait ses actionnaires en affichant des pertes financières au cours des deux trimestres précédents, les résultats du dernier trimestre 2014 sont positifs. Les résultats dépassent les prévisions en termes de croissance (18 %), avec 214 millions $ de bénéfices sur la période, ainsi qu'une augmentation de 15 % du chiffre d'affaires, à 29,33 milliards $.

Les ventes du géant américain ont encore augmenté, au cours du troisième trimestre, s’établissant à un résultat de 32,7 milliards $. Une paille, certes, mais dorée à l’or fin et incrustée d’émeraudes. Avec une croissance de 29 %, en regard du T3 de 2015, la firme a pourtant des bénéfices en net recul. Très net.

Hier, Amazon s'est prêté à une épreuve qui filerait un choc à toute multinationale qui se respecte : face aux actionnaires, Jeff Bezos, PDG du site de e-commerce, a dû annoncer les résultats du groupe pour le deuxième trimestre 2012. Si le chiffre d'affaires de la boîte est plus qu'honorable, ses bénéfices en feraient rigoler plus d'un, Apple en tête.

Amazon a lancé jeudi dernier aux États-Unis une bibliothèque de livres numériques disponible sur son site Internet, permettant de télécharger des titres sur Kindle, sous forme d'emprunt, dans un temps limité et sans payer aucun frais.  

La conférence trimestrielle d'Amazon portant sur les résultats de la firme ne s'est pas annulée pour cause de vacances de Jeff Bezos. Le fondateur était là en personne pour présenter la réussite nouvelle de son engin de commercialisation massive.

Amazon exporte son arme secrète en France avec le lancement de Prime Reading, un réservoir de livres numériques gratuits destinés aux abonnés de son service Prime. Pour rappel, ce dernier propose, contre une somme prélevée mensuellement ou annuellement, de bénéficier de quelques avantages, comme la livraison gratuite, mais aussi d'accéder à des films et de la musique. Pour les livres numériques, Amazon met en avant des best-sellers de maisons d'édition, mais aussi d'auteurs autopubliés.

Au Royaume-Uni, Amazon n'a pas failli à sa réputation d'optimisateur fiscal de haut vol : la principale filiale britannique de la multinationale n'a pas payé un seul centime d'euro au titre de l'impôt sur les sociétés, en 2021. Et ce, malgré des bénéfices en hausse de 60 %, pour atteindre 204 millions £, soit près de 250 millions €.

Aux États-Unis, la Commission fédérale du commerce, agence gouvernementale, a porté plainte contre la multinationale Amazon, ce mercredi 21 juin, l'accusant d'avoir poussé des millions de clients à s'inscrire à son programme « Prime », sans leur consentement et en parasitant les tentatives de désabonnement...

Certains ont dû en manger cravate et chaussettes à Wall Street : la place boursière américaine ne revient pas des résultats financiers annoncés par Amazon. Pour son 3e trimestre, la firme affiche 73 millions $ de bénéfices, sur 25,4 milliards $ de chiffre d’affaires. Une situation totalement inhabituelle, au cours d’une période de vacances où le marché se réduit. Et Amazon a habitué ses investisseurs à des marges très serrées, mais là...

Amazon a obtenu des résultats trimestriels incroyablement bons, soulignent tous les économistes : pour un grand nombre d'entre eux, l'époque où la firme de Jeff Bezos n'enregistrait aucun bénéfice est bel et bien révolue. Difficile de les contredire, puisqu'Amazon a annoncé 2,53 milliards $ de bénéfices pour le second trimestre 2018. Et ceci n'est même pas le résultat de ses ventes.

La multinationale Amazon a offert aux actionnaires un motif de réjouissances, le 3 août dernier, en publiant ses résultats pour le deuxième semestre 2023. La firme annonce en effet une hausse de ses ventes de 11 %, ainsi qu'un bénéfice net de 6,7 milliards $, quand la même période de 2022 était dans le rouge...

Amazon : le chiffre d'affaires augmente, le bénéfice chute

La fidélisation des clients pour les acteurs du web donne lieu à des stratégies les plus fines. Chef de file, Amazon, semble donner le ton, avec la multiplicité de ses services. Depuis octobre 2016, Fnac a riposté avec sa solution Fnac+, le programme premium. Et toujours l’enjeu d’une séduction grandissante, à travers des offres réunissant plus d’options encore.

Dans la catégorie produit à faible valeur ajoutée, mais fort potentiel de séduction, Prime Reading. Cette solution d’Amazon pour encourager les clients à adhérer au programme Amazon Prime, poursuit son développement. Désormais, c’est en Allemagne que les utilisateurs vont pouvoir en profiter : Amazon recrute chez les auteurs indépendants.

L'Inde est un territoire de première importance pour Amazon : le géant du ecommerce investit rapidement, afin de s'octroyer des parts de marché au sein d'une industrie du livre encore en construction. La multinationale de Jeff Bezos annonce le lancement de Prime Reading en Inde, son offre de lecture illimitée et « gratuite » réservée aux adhérents de son abonnement Prime.

C'est à juste titre que le site Goodereader attire notre attention sur les effets d'Amazon Prime et son offre de prêt sur le reste du marché de prêt du livre numérique. Car la firme de Seattle n'est pas le seul acteur du numérique qui offre un système de prêt. On l'oublie, et pour cause, les autres sites sont en mauvaise passe.

Dans son dernier communiqué, Jeff Bezos, s'adressant à ses actionnaires, tenait à rassurer tout le monde. Avec des ventes qui ont progressé de 22 %, pour 16,07 milliards $ durant le premier trimestre en regard de l'an passé. Mais parallèlement, le bénéfice d'exploitation a diminué de 6 %, avec 181 millions $, contre 192 millions $ l'an passé.

Ce mardi 28 juillet 2020, les jurés du Booker Prize ont dévoilé la première sélection pour l’édition 2020 du célèbre prix britannique. Sur les 13 titres retenus, des ouvrages d’autrices de renoms comme Hilary Mantel, déjà lauréate du Booker Prize à deux reprises, la romancière américaine Anne Tyler ou encore l’écrivaine zimbabwéenne Tsitsi Dangarembga, mais également de nombreux premiers romans.

Les utilisateurs anglais d'Amazon Prime devraient se réjouir. Jusqu'à présent, les produits stockés en dehors du territoire anglais mettaient entre 3 et 7 jours à parvenir à leurs acheteurs, mais le délai sera désormais réduit à 48 heures pour les internautes souscrivant à l'abonnement pour 79 £ par an.

Le service de livraison par voie aérienne d'Amazon se précise, et s'exporte. Le Royaume-Uni serait ainsi devenu un territoire d'essais pour la firme, qui a publié plusieurs annonces d'emploi relatives à la mise en place de ce service insolite.

Ouvrage vendu à plusieurs millions d'exemplaires depuis sa parution en 1978, Moi, Christiane F., 13 ans, droguée, prostituée raconte l'histoire vraie de Christiane Felscherinow et son adolescence tumultueuse. L'ouvrage fait désormais l'objet d'une adaptation en série, sur Amazon Prime Vidéo.

Sony annonçait il y a plusieurs mois la sortie d’une nouvelle adaptation du conte mondialement connu qu’est Cendrillon. Réalisé par Kay Cannon, il mettra en vedette Camilla Cabello dans le rôle phare. Mais à l’heure où les salles de cinéma d’une grande partie des pays restent toujours fermées, Sony indique avoir conclu un partenariat avec Amazon Prime pour la diffusion du film.

Voilà dix ans, fameux anniversaire, Amazon instaurait un outil de livraison gratuite sous deux jours, portant sur un million d'articles. Comme toutes les occasions de célébrer sont bonnes, la firme fournit quelques chiffres sur l'évolution de son service, qui a largement évolué : pour 99 $ annuels, Jeff Bezos en donne plus. Et en prend tout autant.

De l'autre côté de l'Atlantique, Amazon vient de lancer son offre à destination des familles, et en particulier des bambins, couplée à ses nouveaux appareils Kindle Fire. Pour moins de 10 $ par mois, les clients Amazon Prime (79 $ par an) mettront à la disposition de leur progéniture une interface personnalisée riche de livres, jeux, applications, films ou émissions de télévision.

Harlan Coben définitivement roi des plateformes de streaming vidéo ? Alors que plusieurs adaptations de ses romans sont disponibles sur Netflix, une autre oeuvre du maître du roman policier américain sera adaptée pour la télévision, mais cette fois-ci pour Amazon Prime Video. La plateforme américaine a en effet choisi d'adapter son roman, À découvert (Trad. Cécile Arnaud). Premier roman d'une trilogie centrée autour de Mickey Bolitar, neveu de son célèbre personnage, Myron Bolitar.

Amazon a commandé une série adaptée du comics Criminal pour son service de streaming Prime Vidéo. Les créateurs de la bande-dessinée, Ed Brubaker (scénariste) et Sean Phillips (illustrateurs), en seront les producteurs exécutifs. Le premier a aussi participé à l'écriture de l'épisode pilote et co-dirigera la série avec l'auteur Jordan Harper.

Les résultats financiers d’Amazon explosent : les chiffres du quatrième trimestre, clôturé le 31 décembre 2016, affichent une croissance de 22 %, à 43,7 milliards $. Avec un bénéfice d’exploitation de 13 %, à 1,3 milliard $, la société semble avoir de quoi garder le sourire. À l’image d’une année 2016 particulièrement faste.

Amazon continue de progresser dans la plupart de ses marchés. Le géant américain annonce ainsi un bénéfice net de 28,8 milliards € en 2021, soit une hausse spectaculaire de 56,8 % sur un an. Néanmoins, Amazon a subi une perte d'exploitation à l'international de 924 millions $, due aux crises des chaînes d'approvisionnement. Ses activités de stockage dans le cloud, notamment, lui permettent de sauver la mise.