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Cinéma

Meryl Streep

Meryl Streep (née en 1949) est une actrice incontournable du cinéma d'outre-Atlantique. Connue et consacrée, elle détient notamment le record actuel de nominations aux oscars et s'est vue remettre, en 1983 et en 2012, l'oscar de la meilleure actrice pour ses interprétations emblématiques d'une immigrée polonaise hantée par la guerre dans Le Choix de Sophie (1981) d'Alan J Pakula et de Margaret Thatcher dans La Dame de fer (2012) de Phyllida Lloyd. Elle s'est, par ailleurs, fait remarquer dans des films appartenant aujourd'hui à la catégorie des oeuvres dites "classiques" telles que Out of Africa (1985) de Sydney Pollack, Sur la Route de Madison (1995) de Clint Eastwood ou encore, plus récemment, The Hours (2002) de Stephen Daldry. Karina Longworth travaille comme critique de films et journaliste à Los Angeles. Auteur d'une monographie consacrée à George Lucas et d'un ouvrage sur Al Pacino dans la collection Anatomie d'un acteur, elle collabore régulièrement à différents magazines et périodiques, notamment LA Weekly, Village Voice, Vanity Fair, The Guardian et Slate. La collection Anatomie d'un acteur étudie en profondeur le parcours de grands acteurs du cinéma mondial, en offrant une analyse des dix rôles les plus importants de leur carrière. Les auteurs de cette collection s'attachent à comprendre pourquoi et comment ces comédiens sont devenus quelques-unes des figures les plus respectées et influentes du monde du cinéma. Organisé autour de dix interprétations majeures, chaque ouvrage richement illustré- photographies de tournage, de plateau ou séquences issues des films - dresse le portrait d'un jeu d'acteur et pointe le génie de ces monuments du septième art. Cette collection novatrice sur les plus grands comédiens est destinée aussi bien aux étudiants en cinéma qu'aux passionnés et aux acteurs en herbe.

03/2014

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Critique littéraire

Berl, Morand et moi

En 1974, Bernard Morlino tombe sur un livre d'Emmanuel Berl (1892-1976) qui va lui donner accès à la culture. Face à la bêtise contemporaine, l'amitié entre le lecteur et l'écrivain devient le recours idéal. Durant un apprentissage hors du commun, où s'entremêle 1914-1918, l'esbroufe littéraire, l'amour, la Shoah, la religion, la non-violence, l'Europe, Colette, Cocteau, Malraux, Drieu et Camus, le mémorialiste se souvient qu'il fut l'un des principaux animateurs de l'intelligentsia des années 30 avant de ciseler son autobiographie dans Sylvia. Pour sceller leur rencontre, Berl offre à Morlino sa correspondance avec Paul Morand qui tranche avec le journal inutile. Colère contre la mort. Morand ne sort pas grandi d'un inattendu trio où excelle Berl, le Voltaire du XXe siècle.

09/2002

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Critique littéraire

Mélancolie d'Emmanuel Berl

Henri Raczymow nous propose ici un essai sur Emmanuel Berl dont la figure et l'oeuvre sont aujourd'hui quasiment oubliés. Dans l'introduction, il brosse à grands traits le portrait de Berl et souligne les paradoxes de sa trajectoire (oeuvre irrégulière, engagements politiques, amitiés de tous bords). L'ouvrage est une relecture du parcours biographique de Berl, rappelant notamment la proximité de sa famille avec la famille de Bergson et la figure de son oncle Emmanuel Lange, brillant agrégatif mort prématurément, dont ne cessait de lui parler sa mère et sa grand-mère, et qui hanta son enfance. Très jeune, Berl se révèle grand séducteur et brillant causeur. Dans les années 20, il fréquente Proust mais finit par se fâcher avec lui. Il est proche des surréalistes, et de Breton en particulier - à qui il disputera Suzanne Muzard. De Drieu (avec qui il crée un journal, Les Derniers Jours). De Malraux. De la NRF. Et d'un grand nombre d'autres futurs fascistes et collaborateurs comme Morand ou Bertrand de Jouvenel. Les entretiens menés par d'Ormesson et Patrick Modiano avec Emmanuel Berl sont sur le sujet de précieuses sources. Dans les années 30, il se lance en politique avec le journal Marianne, sans réelle conviction. Dans les années 40, il collabore à la rédaction de l'un des plus célèbres discours de Pétain - on lui attribuera plus tard les formules "Je hais les mensonges qui vous ont fait tant de mal" et "La terre ne ment pas". Mais les lois raciales et son mariage avec la chanteuse Mireille, d'origine juive, comme Berl, vont l'obliger à se cacher en Corrèze à partir de 1941. Intéressant projet que de se pencher sur cette figure qui a littéralement traversé le siècle et fréquenté, pour ne pas dire magnétisé, les plus grands écrivains du XXe siècle. Les louvoiements de Berl sont passionnants, tant ils épousent ceux de son pays. Réfléchir à Berl, c'est aussi réfléchir à notre Histoire.

10/2015

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Poches Littérature internation

Sherlock Holmes. Le Diadème de Béryls

Trois pierres précieuses disparaissent d'un diadème au domicile d'un banquier. Un ingénieur se voit proposer un étrange rendez-vous dans un lieu tenu secret. Lady Saint-Simon se volatilise le jour de son mariage, laissant son époux incrédule. Une jeune femme est engagée comme gouvernante à condition qu'elle porte une robe rouge et coupe ses longs cheveux... Quatre nouvelles et autant de défis pour le célèbre Sherlock Holmes et son ami le docteur Watson, dont la mémoire et le flair sont encore une fois mis à l'épreuve ! Découvrez les enquêtes de Sherlock Holmes en 12 volumes chez Librio !

02/2024

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Critique littéraire

Berl, un juif de France

" Je hais les mensonges qui vous ont fait tant de mal... La terre, elle, ne ment pas... " : cette sentence lapidaire qu'Emmanuel Berl (1892-1976) cisela pour le compte du maréchal Pétain, en juin 1940, est inscrite dans l'Histoire. Et elle se dresse, comme un emblème infamant, au-dessus de l'existence d'un écrivain qui, pourtant, reste le symbole de l'intelligence et de la liberté de l'esprit. Comment, en effet, un brillant intellectuel juif, parent et disciple de Bergson, interlocuteur privilégié de Proust, ami de Barbusse, confident d'Edouard Herriot, intime de Malraux autant que de Drieu La Rochelle, en vint-il à accompagner le pétainisme et à lui donner ses lettres de noblesse ? Ce même Berl avait pourtant étonné Paris avec un pamphlet " révolutionnaire ", Mort de la pensée bourgeoise, puis dirigé Marianne, hebdomadaire iconoclaste de centre gauche. Et n'était-il pas, avant guerre, de toutes les provocations, de tous les modernismes ? Ce sont donc la genèse et l'histoire de cette " dérive " - dont il est d'autres exemples - qui sont revisitées dans cette biographie. Louis-Albert Revah s'y est efforcé de saisir, d'un même mouvement, l'homme charnel - amoureux de " Sylvia ", mari de la chanteuse Mireille - et l'idéologue mêlé aux grands débats de son temps. Et il suit, pas à pas, ce " juif de France " qui, instruit par les épreuves, céda, sur le tard, la place à un sage voltairien et à un écrivain aussi audacieux que classique.

02/2003

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Littérature étrangère

Qu'elle aille au diable, Meryl Streep !

Un Libanais nommé Rachid regarde distraitement à la télévision un film dans lequel joue Meryl Streep, Kramer contre Kramer. Ne comprenant pas l'anglais, il parvient juste à deviner que la célèbre actrice est en train de se séparer de son mari. Ce divorce le renvoie soudain à la réalité de son propre couple, dont le mariage avait été préparé par une tante. Le roman se présente comme une longue interrogation sur ses relations avec sa femme. Pourquoi va-t-elle assez régulièrement dormir chez ses parents, malgré l'achat d'une très belle télévision Sony ? Comment se fait-il qu'elle en sache autant sur la sexualité masculine ? Peut-il vraiment croire à la virginité de son épouse avant le mariage alors que les médecins savent maintenant très bien réparer les choses ? Quelle a été, au fond, la vie de cette femme dont il ne sait finalement pas grand-chose et qui lui échappe chaque jour un peu plus ? Qu'elle aille au diable, Meryl Streep !est sans aucun doute le roman arabe où la question du couple est la plus explicitement traitée et où la sexualité est abordée sans ambages. Le mariage apparaît comme une institution mise à rude épreuve par la modernité. En assumant ou en feignant d'assumer cette modernité, la femme dévoile finalement à l'homme à quel point il reste incapable d'en faire autant.

06/2004

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