De quoi se faire des cheveux blancs : un coiffeur italien avait monté un espace où les clients pouvaient laisser leurs livres. Une sympathique attention, permettant de passer en temps, en attendant la coupe, avec un peu de lecture. Et toujours plus stimulante que les éternels tabloïds et autres magazines féminins. Sauf qu’une cliente, de confession juive, est tombée sur un vilain bouquin : Mein Kampf, au milieu des autres ouvrages.