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À une époque où tout et n’importe quoi peut être qualifié d’acte de terrorisme, voici une réflexion qui explique l’histoire du XXe siècle

La Mécanique infernale : le terrorisme selon Matthew Carr

Virginia Spencer Carr, professeure d'anglais et spécialiste de Carson McCullers, John Dos Passos et Paul Bowles, est décédée le 10 avril dernier à l'âge de 82 ans. Elle avait construit sa carrière autour de l'oeuvre de Carson McCullers, l'auteur de Le coeur est un chasseur solitaire. 

Les enchères sont allées bon train, et c'est finalement Bibliothèque et Archives Canada qui a remporté le livret contenant dessins et poèmes, de la petite Emily Carr. En 1901, date de sa création, elle n'a que trente ans, et déjà, elle expose des talents d'artiste et d'écrivain incontestables. 

Ce mois-ci, l'adaptation du best-seller L'Aliéniste de Caleb Carr, publié en 1994, sort enfin sur petit écran et est disponible en France sur Polar+ à partir du 2 avril. Meurtres et enquête sont au rendez-vous.

Daniel Brühl est L'Aliéniste, alias Laszlo Kreizler, un spécialiste des maladies mentales qui épaule la police de New York sur certaines enquêtes. La série d'Hossein Amini, tirée du livre de Caleb Carr, compte d'ores et déjà une première saison, diffusée et disponible en téléchargement.

La série adaptée des romans de Caleb Carr, L'Aliéniste, est de retour pour une saison 2, cette fois logiquement inspirée du deuxième titre de la série, L'Ange des ténèbres, publié en France en 1998 dans une traduction de Jacques Martinache aux Presses de la Cité.

Nicholas Carr, journaliste pour The Kansas City Star nous met en garde contre les dangers de l’ebook sur la mémoire et l’apprentissage.

Dans un article pour TechCrunch, Paul Carr donne son avis sur le piratage des livres numérique.On ne peut pas s’insurger contre le piratage, commence-t-il, « notamment parce que c’est un problème sans issue. »

Après la diffusion du documentaire « L’irrésistible ascension d’Amazon », réalisé par David Carr-Brown sur Arte mardi 11 décembre, les libraires indépendants ont voulu rappeler aux lecteurs que passer par ce site n’est pas une fatalité. D’autres solutions permettent de conserver un gain de temps, la simplicité de la commande en ligne, tout en soutenant la librairie indépendante. 

La maison mère, Amazon Publishing, vient de le dévoiler : Jet City Comics sera le nouvel espace de création dans lequel la maison d'édition va se lancer. Il s'agit d'adaptation de romans de George RR Martin, Hugh Howey et Neal Stephenson, qui sont d'ores et déjà disponibles. Alex Carr, rédacteur en chef de cette filiale, trépigne d'impatience...

À force de citer les excellents résultats de ventes de tablettes et de livre numériques, on finirait pas croire tout naturellement que le livre papier va entamer une descente aux enfers inexorable. Pourtant, certains pensent déjà que le livre numérique n'est pas destiné à régner sans partage sur le monde de la lecture. Nicholas Carr, pour ne pas le citer, est l'un de ceux-là.

Daniel Radcliffe en pleine promo pour le film The woman in black avait laissé filtrer aux journalistes de Têtu que son prochain rôle au cinéma serait celui d'un gay.

Les rues de San Francisco ne sont pas sûres : récemment, le propriétaire de Bootleggers Books, bouquiniste basé à Chicago, en a fait les frais. Laurent Van de Carr se rendait dans la baie, pour un fameux pèlerinage. Son van était chargé de livres anciens, qu’il comptait revendre. Près de 400 ouvrages, chargés dans son Ford Ecoline, avec de véritables perles : en tout, 350.000 $ de livres anciens...

Voilà près de dix ans que Nicholas Carr avait lancé cette interrogation, toute rhétorique : Google nous rend-il stupides ? Paru en juin 2008, l’article était diffusé par The Atlantic, et passait en revue une série de critiques sans concession sur les effets d’internet vis-à-vis de l’apprentissage. Et la Toile n’en sortait pas vraiment grandie. Dix ans plus tard ? C’est bien encore.

Depuis qu’un beau matin, Nicolas Carr s’est interrogé sur le fait que Google puisse nous rendre idiots, Internet a incarné la 11e plaie d’Égypte. Si on accède aux sites Internet par le moteur de recherche, alors, la contamination se propage : le web nous rend donc stupides. Nous, adultes, non, parce que nous avons connu l’avant, mais notre progéniture, elle, est menacée, dès le plus jeune âge...

Certains auteurs s'accommodent mal des critiques négatives postées sur les pages Amazon de leurs livres, et tentent parfois d'en minimiser l'impact en rédigeant leurs propres appréciations, logiquement positives. Pas Brian Allen Carr, auteur de Short Bus et organisateur d'un concours de la pire - ou meilleure, c'est selon - critique à une étoile postée sous la couverture de son livre, sur le site de e-commerce.

Il est toujours amusant d'avoir un peu de mémoire, et de se souvenir de ce titre d'article, qui a l'époque avait fait sensation : Google nous rend-il stupides ? Question d'adulte, en l'occurrence, Nicolas Carr, posée à des adultes. Parce que manifestement, internet aurait la capacité de rendre les enfants plus intelligents. C'est en tout cas tout l'intérêt de l'infographie proposée par Who Is Hosting This. 

Ce n’est pas encore un coin de verdure, où coulerait une rivière, mais peut-être cela le deviendra-t-il. Directement inspiré des histoires du Hobbit, voici un espace de lecture presque magique, que les élèves de la Carr Junior School de York veulent créer. Son nom : Bookend Cottage. Pour y parvenir, 10.000 £ sont nécessaires, afin de créer un espace pour favoriser la rencontre entre les enfants et les livres.

Après quelques années de révolution numérique, et tandis que des experts ont prophétisé un avenir du livre en format ebook et parfois jusqu'à une hypothétique disparition des imprimés d'ici 2015, l'année 2012 aura connu un ralentissement de la croissance des ventes du livre électronique. Pendant que les tablettes tactiles connaissent un boum commercial, les acquisitions de simples ereaders auraient plongé de 36 %. Et selon l'écrivain Nicholas G. Carr, relayé par

L'icône magique que fut Daniel Radcliffe, dans le rôle de Harry Potter au cinéma va se changer en icône littéraire des années de la Beat Generation. C'est que dans Kill Your Darlings, le film de John Krokidas on trouve quelques indices. 

Passage en mode protectionnisme chez les Australiens pour le numérique

Un rapport de l'Association des éditeurs américains, a été commenté dernièrement sur le blog de l'écrivain Nicholas G. Carr, auteur notamment de The Big Switch, autoédité à l'occasion de Building Bridges ou encore finaliste du Pulitzer 2011 avec The Shallows. Il fait état d'une stabilisation des ventes de livres numériques, tandis qu'aux États-Unis, au cours du premier trimestre 2013, celles-ci affichaient 5 % de mieux que l'an passé sur la même période. Et si l'essor des tablettes y était pour quelque chose ?

Ce dimanche était présenté au Sundance Festival le long métrage Kill your darlings, de John Krokidas. Le film met en scène quelques figures emblématiques de la littérature de la Beat Generation. L'interpête du sorcier imberbe au cinéma revient à l'écran dans le rôle du poète controversé Allen Ginsberg, dans un film regroupant également des protagonistes comme William Burroughs, Lucien Carr et Jack Kerouac. Et les fans de la première heure de l'acteur seraient sortis ébranlés à l'issue de la séance... un festin probablement trop nu pour leurs estomacs.

Australie : Manifeste pour un marché du livre moins cher

Depuis qu'un rapport de l'Association américaine des éditeurs a fait état d'une baisse de croissance sur le marché du livre numérique, en se basant sur les résultats compilés des membres de l'AAP au cours du premier trimestre 2013, les experts multiplient les hypothèses. Avant ce ralentissement des ventes, nombreux étaient ceux qui tablaient sur une éventuelle cannibalisation du format papier au profit de l'essor de l'ebook. Mais désormais, on évoque tantôt une stabilisation voire même parfois un possible crash du segment. Les rumeurs les plus extrêmes semblent exagérées.

Le film Batman v Superman : Dawn of Justice ne sera en salles qu'à partir du 23 mars 2016, mais les parodies du trailer officiel circulent déjà à foison. C'est aujourd'hui au tour de Paul Cornish, « Famous Fanboy », comme il se surnomme, de proposer sa création, qui utilise des images des premiers films Batman et Superman, dans les années 1940.

Kerouac et Burroughs publient un roman écrit voilà 60 ans

L'apparition du verbe 'googler' dans le vocabulaire quotidien est des plus symptomatiques. Le moteur de recherche offre à qui veut des résultats, avec une échelle de pertinence plus ou moins fiable, mais surtout, devient une inquiétante mémoire palliative...

Chloë Grace Moretz brille en tête de la distribution de la série The Peripheral, une adaptation du roman Périphériques de William Gibson, paru en 2020 dans une traduction de Laurent Queyssi, pour les éditions Au diable vauvert. Elle sera diffusée à partir du 21 octobre prochain sur Amazon Prime.