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Extraits

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Policiers

Paroles empoisonnées

Barbara Molina décédée le 25 mars 2005. Ses parents et ses frères. Tu seras toujours avec nous. "Je sais que je suis morte. Je le sais parce qu'un avis de décès est paru dans les journaux. J'ai peur. Si peur. Mais je suis morte depuis quatre ans."

03/2013

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Autres collections (9 à 12 ans

La vie est un film

Prise dans la tourmente des expulsions et de la crise immobilière en Espagne, Olivia, 11 ans, va prendre en charge sa famille et particulièrement le bien-être de son petit frère. Olivia a 11 ans quand sa vie bascule. En fait elle n'a pas basculé d'un coup, mais elle a été rongée petit à petit. D'abord le directeur de son école lui a dit que sa maman ne payait plus la cantine. Ensuite, on a coupé l'électricité dans l'appartement qu'ils habitent, son petit frère Tim, sa maman et elle. Puis le chauffage. Et un jour on est venu leur prendre tous leurs biens. Ils sont restés dans un appartement vide. La maman d'Olivia qui a un jour été une actrice à succès n'a plus de travail. Au début, elle semblait prendre les choses avec le sourire, mais là, elle n'arrive plus à faire semblant. Alors Olivia prend le relais et trouve une idée pour aider son petit frère très perturbé par la situation. Elle lui dit que tout ceci est un film tourné en secret par des producteurs d' Hollywood et que, comme il ne sait pas lire, elle lui transmettra le scénario au fur et à mesure. La famille est finalement expulsée et relogée dans un immeuble en construction avec d'autres familles expulsées. Olivia et Tim vont aller dans une nouvelle école, se faire de nouveaux amis et apprendre les règles de vie de leur nouveau quartier : entraide et débrouillardise. Mais pendant qu'Olivia recrée autant que possible une stabilité familiale, sa maman sombre de plus en plus.

04/2022

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BD tout public

Le Sixième Soleil Tome 2 : Viva pancho villa !

Pendant que la Première Guerre mondiale fait rage jusqu'aux portes du Mexique, le destin divin d'Hugo Van Creuz, réincarnation d'une divinité aztèque, va se révéler dans le drame et le sang. Sous les yeux d'un certain Pancho Villa ? Alors que l'Europe se déchire en boucheries guerrières, Hugo van Creuz débarque au Mexique. Sa mission : convaincre le président Carranza de rallier le camp allemand en échange de territoires annexés par les Etats-Unis. Mais Van Creuz, s'il intéresse peu Carranza, est par contre surveillé par des descendants des anciens aztèques, qui voient en lui la réincarnation d'une de leurs divinités. Pourchassé par Carranza et les américains, recueilli par Pancho Villa, Van Creuz s'apprête une fois de plus à plonger en plein cauchemar ? Sous les doubles auspices du verbe rythmé de Laurent Moënard et du dessin terriblement expressif de Nicolas Otero, la suite d'une saga unique entre Histoire et légendes oubliées.

09/2009

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Poésie

Je ne vis pas dans un jardin de roses

María Mercedes Carranza est une figure majeure de la poésie A­latino-américaine du XXe siècle, tout comme Alejandra A­Pizarnik ou Alfonsina Storni. Dans un contexte politique et A­social A­dominé par la violence, sa voix résiste. Parlant du familier et du A­quotidien, elle ose nommer ce qui est intime et dénoncer la guerre. Elle vient dire avec lucidité la douleur d'être soi et la A­vanité des grands mots. En abordant la mort, l'amour et l'histoire, son A­engagement A­poétique touche le coeur même de l'existence, où se A­côtoient la présence et l'absence dans un A­incessant jeu de miroirs. Elle s'adresse avec tendresse ou ironie à A­Quevedo, Ulysse, Dylan A­Thomas ou Pavese, aux êtres chers, à elle-même et finalement à nous. Malgré l'immense solitude qui se dégage de ses poèmes, une force constante traverse toute sa poésie et nous A­atteint aujourd'hui par-delà les mers et le temps. Préface de Thierry Gillyboeuf.

01/2024

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Vie religieuse

Religieuses en Amérique latine. Invisibles mais indispensables

Si la littérature, la filmographie et les recherches universitaires se sont penchées sur l'action des religieux en Amérique latine, les religieuses, quant à elles, ne sont que rarement évoquées. Passées sous silence et rendues invisibles, même au sein de leur propre institution, l'Eglise, ce sont pourtant elles qui vont aux confins des territoires les plus reculés pour apporter leur soutien aux populations les plus vulnérables. Ces textes issus de recherches universitaires menées dans diverses disciplines — qui retrace l'histoire de la vie religieuse féminine du XVIIe siècle à nos jours, et les chemins parcourus, des moniales aux religieuses insérées, en Amérique latine — est un hommage à ces femmes, dévouées à la défense des droits des pauvres. Il ouvre la porte à un nouveau champ de recherche pluridisciplinaire : celui de la vie religieuse féminine en Amérique latine. Ce livre est issu des Premières Rencontres Latino-Américaines sur Les Congrégations Religieuses Féminines, qui a eu lieu en Argentine, à Buenos Aires, en octobre 2019, rassemblant des chercheurs universitaires et des religieuses.

04/2021

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Poésie

Fils d'Ariane

Villebramar, auteur français d'origine catalane, se qualifiait lui- même dans son précédent recueil, Terre Promise, comme le poète de deux cultures. Avec Fils d'Ariane (au pluriel ! ), faisant un pas de plus, il nous conduit dans un univers poétique où les barrières de la langue auraient été, sinon effacées, du moins surmontées par celles et ceux d'entre nous "qui parlent avec la voix du coeur ". Le premier poème du recueil commence ainsi par une citation d'Hilde Domin : " Du hast alles fortgehen lassen was dir gehörte. Auch die Erwartung. ", suivie par sa traduction en français. Aux fils des poèmes (! ), souvent précédés de citations, Villebramar nous fait découvrir, ou redécouvrir des "Poètes et poétesses des cinq continents " chers à son coeur, entre autres (la liste n'est pas exhaustive) : Marta Mercedes Carranza, Hilde Domin, Forough Farrokhzad, Ioan Es. Pop, Angela Marinescu, Edgar Poe, et bien sûr Lorca, le grand, le très grand Lorca tant aimé et admiré. Dans ces dialogues qui se jouent des frontières linguistiques, Villebramar laisse s'exprimer la diversité de l'inspiration, la jeunesse et la fantaisie, qui sont sa voix, avec de très beaux moments d'une sombre gravité. Cette gravité d'un siècle qui l'a vu naître, et qui a permis que coexistent, à l'instant même de sa mort, la poésie de Lorca, et la barbarie de ses bourreaux.

08/2019

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