chaine librairie japonaise

La première filiale de la célèbre chaîne de librairies japonaises Kinokuniya à s'installer dans un pays asiatique outre que l'archipel a annoncé qu'elle fermera ses portes après 36 ans d'activités. La librairie était située dans le centre commercial Liang Court à River Valley Road, Singapour.

La chaîne de librairies japonaises Kinokuniya, la plus importante dans l’archipel, expérimente de nouvelles solutions de vente. En collaboration avec les éditeurs de romans graphiques anglophones, les librairies proposeront des versions de poche de quatre titres, avec de nouvelles couvertures, en édition limitée. Des variantes, certes, avant tout destinées à mettre en valeur la chaîne.

Après avoir ouvert une première succursale en 2008 à Dubaï, et plus précisément au Dubai Mall — le plus grand centre commercial des Émirats arabes unis — Kinokuniya poursuit son ascension au Moyen-Orient. Cette fois-ci direction Abu Dhabi, où un nouveau magasin de la célèbre chaîne japonaise a ouvert ses portes.

Les relations entre la Chine et le Japon n'ont pas été toujours très paisibles, c'est le moins qu'on puisse dire. Lors de sa capitulation en 1945, après une guerre entamée en 1937 contre la Chine, l'Empire du soleil levant avait pris soin de détruire une partie de ses archives de guerre. Cependant, de nombreux documents ont réchappé à ces destructions pour être emportés par les Américains.

Dans un pays très normé et « socialement correct » comme le Japon, une librairie prend position contre les a priori sociaux. Une librairie de Kyoto a en effet décidé de mettre en place un coin de titres sur l’eugénisme et l’histoire du bien-être social. La raison : un célèbre youtubeur japonais, DaiGo, s’est permis de dénigrer la vie des sans-abri et d'autres personnes bénéficiant d'une assistance sociale sur la célèbre plateforme américaine.

En plein bras de fer autour des îles Senkaku-Diaoyu, les deux géants asiatiques que sont la Chine et le Japon ne baissent pas leur garde : si chaque partie envoie ses porte-avions dans les eaux environnantes, la Chine a décidé d'imposer un embargo sur les livres signés par des Japonais ou ayant quelque chose à voir, de près ou de loin, avec l'archipel.

Cinq magazines japonais bannis de librairies américaines

L'avenir est au coin de la rue, mais il faudra se débrouiller tout seul : au mois de septembre dernier, plusieurs librairies, gérées par le géant chinois Xinhua, ont ouvert leurs portes. Particularité : elles n'abritent pas de libraires et laissent les clients se débrouiller seuls, en gérant eux-mêmes leurs emplettes. Quelques-unes d'entre elles, pour faciliter la recherche des livres, proposent tout de même aux lecteurs de s'adresser... à des robots.

La solidarité a encore de l’avenir. Lorsque la librairie October Books de Southampton (Angleterre) a dû déménager pour de bon, ce sont les habitants qui ont retroussé leurs manches. Et formé littéralement une chaîne humaine pour déplacer les livres.

Si en France, les actions se multiplient en faveur des librairies indépendantes, la situation semble également très compliquée en Belgique. Le site Retail Detail fait ainsi état de la fermeture de cinq établissements flamands en à peine une semaine :  « Van In » à Lierre, « Markies van Carrabas » à Hasselt, « De Kleine Johannes » et « De Grote Johannes » à Louvain et enfin « Littera » à  Bruges.

Barnes & Noble achète une chaîne de librairie scolaire

Plus de cent librairies indépendantes anglaises tentent de s'unir pour rivaliser avec les puissantes chaînes de librairies telles que Waterstones ou WH Smith. L'objectif ? Négocier de meilleurs prix et obtenir des éditions exclusives de bestsellers. 

Certains libraires japonais semblent prêts à tout, en termes de merchandising sur leurs lieux de vente, pour faire tourner la tête du consommateur. Et tandis que le paysage littéraire de l'archipel déborde de romans, d'oeuvres de non-fiction et autres mangas, on oublie les positionnements linéaires de marchandises, au profit de styles plus créatifs et parfois véritablement artistiques. Leur but commun, se faire remarquer et se démarquer, en combinant le style et la démesure, et ce, quitte à en donner le vertige aux clients.

Plus tôt cette année, le premier ministre japonais Shinzo Abe saluait un millier de criminels de guerre présentés comme « martyrs » ayant jeté les bases du Japon moderne. Depuis, la Chine presse son voisin de rompre avec sa tradition militariste. Le chef de cabinet du ministre a soutenu que celui-ci s'était exprimé au nom de son parti et non celui du gouvernement japonais. En signant le traité de paix de San Francisco en 1951, le précédent gouvernement avait reconnu ses fautes. Mais l'explication n'a pas suffi, l'industrie de l'édition chinoise se fait désormais porte-parole.

Le crime ne paie plus en Chine, alors qu’une cour du pays vient de condamner trois utilisateurs pour piratage. Le tribunal de district de Wenjiang, dans la ville de Chengdu, les a reconnus coupables d’animer un site de contrefaçon de manga. Une première dans le pays...

L'indépendance, une denrée rare, que le marché français tente de préserver de l'invasion barbare... Mais partout ailleurs, les comportements ne sont pas les mêmes... la librairie indépendante vit des heures moches.

Face aux pressions du coût des loyers comme de la concurrence en ligne, la chaîne de librairies australienne Dymocks doit désormais renoncer à son magasin basé au sein du centre commercial de l'International Finance Centre de Hong Kong. Après une quinzaine d'années de présence dans la ville, la plus grande librairie anglophone ferme ainsi ses portes. 

Constatant un manque de concurrence sur le marché du livre polonais, 6 éditeurs locaux réagissent en créant leur propre réseau de librairies, BookBook. L'objectif est bien entendu d'améliorer la visibilité de leurs ouvrages, mais aussi de couvrir un territoire délaissé par les deux chaînes de librairies principales du pays, Empik et Matras. Il s'agit d'une première en Pologne.

Ce 31 décembre, Jon Woolcott effectuait sa dernière journée de service au sein de la chaîne de librairies Waterstones. Après avoir été employé par l'enseigne pendant sept années durant, aux postes de directeur de la planification commerciale puis directeur marketing, le Britannique estime qu'il est temps pour lui de passer à autre chose.

Les relations entre la Chine et le Japon ne sont pas encore aujourd’hui d’une très grande cordialité. Dans la chaîne japonaise d’hôtellerie APA, un livre intitulé La vraie histoire du Japon est placé dans chaque chambre ainsi que proposé à la vente dans le hall des hôtels. La Chine s’est émue de cette présence, le livre étant révisionniste, niant le massacre de Nanjing et l’existence des « femmes de réconfort ».

Le célèbre écrivain japonais Haruki Murakami revient sur le devant de la scène après six années sans publication. The City and Its Uncertain Walls (La ville et ses murs incertains) aux éditions Shinchosha, est pour l'instant uniquement disponible en japonais. 

Dans le cadre du projet De l’écriture à la promotion, mené par la Fondation pour l’écrit, 10 jeunes auteurs ont été retenus. Avec un impératif : produire un texte portant sur un fait d’actualité contemporaine non littéraire, en partenariat avec ActuaLitté.

Le libraire japonais Kinokuniya, en achetant 90 % des exemplaires imprimés du dernier Murakami, avait fait sensation. Sur l’Archipel, la chaîne de librairies était décidée à lutter contre Amazon, en privant le revendeur de cette nouveauté – toujours très attendue. Pas de livres à vendre, pas de clients à combler. Et dans le calcul, les lecteurs reviendraient même en librairies. Pour ce livre, et manifestement pour d’autres à l’avenir.

La chaine de librairie américaine Borders mise sur les ados

Sa part majoritaire vendue fin juin au groupe d'investisseurs Gimel Yafit, la chaîne de librairies Steimatzky se trouvait alors sérieusement criblée de dettes, accumulant les retards dans le règlement de ses fournisseurs. Si bien que des maisons d'éditions partenaires ont demandé la mise en liquidation de l'enseigne quand d'autres ont refusé de l'approvisionner. S'il est difficile de savoir si ces soucis se règlent depuis, la société s'apprête à changer de direction. 

En février dernier, la chaîne de librairies allemandes Hugendubel prenait son indépendance en quittant Weltbild, le groupe éditorial allemand en faillite. La décision avait été saluée comme une libération, qui laissait toutefois les comptes des boutiques fragilisés. Quelques mois plus tard, il semblerait bien que les résultats des ventes numériques, via la fédération Tolino, soient au-dessus des espérances.

La chaîne britannique de librairies Blackwell annonce renouer avec les bénéfices, pour la première fois depuis une décennie, grâce à un plan de restructuration drastique. L'enseigne propose à ses clients d'assister à des représentations théâtrales à sa boutique d'Oxford, ou encore à des séances de dédicaces partout ailleurs. La prochaine étape de la métamorphose devrait se traduire par l'adoption d'un nouveau modèle d'actionnariat salarié.

La vente de la chaîne de librairies Thalia n'est pas vraiment une surprise, outre-Rhin : en 2012, la holding Douglas, spécialisée dans la parfumerie, avait mis la main sur 75 % de la chaîne de librairie, puis sur la totalité, mais les perspectives étaient à court terme. L'agence Reuters confirme ces prévisions, et rapporte que le fonds d'investissement australien Macquarie sera chargé d'organiser le processus de cession.

Après neuf ans d'exercice en tant que chef de la direction de WH Smith (chaîne de librairies et de papeteries britannique), Kate Swann démissionnera le 30 juin 2013. Arrivée en 2003, elle avait pris en charge l'entreprise à une époque « difficile », où elle perdait des parts de marché. Sa première année de présidence fut marquée par l'une des plus grandes pertes de l'histoire du détaillant. Depuis un an, elle a néanmoins contribué à une hausse de 10%, en consolidant l'entreprise d'un bénéfice de 102 M £.

L'enseigne Family Christian Stores propose des livres consacrés à la religion chrétienne, mais aussi d'autres objets, qui vont des accessoires pour le culte à des cadeaux en tous genres. Depuis plusieurs années, FCS est en grande difficulté, avec une chute des ventes de 29 % depuis 2008, avec 216 millions $ de chiffre d'affaires annuel pour cette société américaine.