chiffre affaires éditeur

C’est là tout le paradoxe d’un rapport d’activité : l’année 2019 s’est conclue avec une progression de 5 % des ventes, avec 435 millions d’ouvrages vendus. Et tous les segments avaient de belles couleurs – avant que la crise Covid ne sape le moral de toute l’industrie. 

Simon Van Meygaarden, un correspond hollandais du magazine online e-reads, est la première personne au monde à avoir chiffré le coût du piratage. En fait, elle est la première personne, peut-être, puisque précédemment, c'est une société nommée Attributor qui avait posé les premières estimations de cette pratique.

Le groupe éditorial américain IDW Publishing, spécialisé dans les comics et créé en 1999, va bien, merci pour lui. Le bilan fiscal de l'année 2014 est plus que positif : 25,4 millions $, c'est le chiffre d'affaires qui a été annoncé il y a quelques jours. Les jeux, les ventes directes ou en numérique et les produits personnalisés sont à l'origine de cette explosion comptable.

L'Association of American Publishers, association des éditeurs américains, qui regroupe plus d'un millier éditeurs, a communiqué son rapport final sur l'état économique du secteur pour l'année 2015. Le chiffre d'affaires de l'édition s'élève à 15,4 milliards $ (environ 13,5 milliards €), en baisse de 2,6 % par rapport à 2014. Les livres jeunesse sont en baisse après une année 2014 très performante, mais les livres adulte rattrapent globalement ce léger tassement.

Avec 8,55 milliards € de chiffre d’affaires sur 2018, le marché des biens culturels affiche une croissance de 2,1 % — contre 8,37 milliards en 2017. L’institut de données GfK brossait en cette 6e édition du salon Creativ’Book un panorama du marché français, où le livre occupe une belle place — non sans difficultés.

Combinant les chiffres de quelque 160 maisons d'édition, le Syndicat national de l'édition livre un bilan de l'année 2019. En s'appuyant sur les données de ces éditeurs, le chiffre d'affaires des ventes numériques s'élève à 232,3 millions €, représentant 8,7 % du chiffre d'affaires total des ventes de livres des éditeurs (2,6 milliards €).

L'association des éditeurs américains (Association of American Publishers, AAP) fait amende honorable en présentant un correctif à son bilan du mois de janvier 2015. Ce dernier présentait un début d'année plutôt moribond, avec une hausse globale du chiffre d'affaires estimé à un peu moins de 1 %. Une boulette mathématique, donc, qui fait passer la hausse à 5 %, tout de même.

Depuis déjà trois ans Laurent Astier et Denis Robert travaillent à la conversion en bande dessinée de l’entremêlement d’intrigues qui s’enracine autour de l’affaire Clearstream. Après deux tomes sortis aux éditions Dargaud, « L’argent invisible » et « L’enquête », c’est « Manipulation » qui vient couronner cette mise au clair d’un épisode politico-financier peu compréhensible du pékin moyen.

Le groupe d'édition professionnelle Reed Elsevier annonce un chiffre d'affaires en hausse de 4 % pour les 9 premiers mois de l'année 2014, malgré une baisse des ventes de livres imprimés. Toutefois, le groupe, dont la filiale Reed Expo organise notamment le Salon du Livre de Paris en France, bénéficie d'un certain dynamisme du côté de l'événementiel.

L'information pourrait sembler paradoxale : plusieurs grands éditeurs américains ont relevé en 2011, malgré une baisse de leur chiffre d'affaires, une augmentation de leurs bénéfices. A cause, ou grâce au livre numérique.

Apple n'en finit plus de faire tourner les têtes. Avec 26 millions d'iPhone et 14 millions d'iPad vendus au cours du 4ème trimestre 2012, la firme a encaissé un chiffre d'affaires trimestriel de 36 milliards de dollars (contre 28,3 un an auparavant) et un bénéfice de 8,2 milliards de dollars (contre 6,6 il y a un an), rapporte Le Figaro.

Barnes et Noble : chute du chiffre d'affaires

Vous avez dit « concentration » ? Le ministère de la Culture a diffusé, à l'occasion de la Foire du Livre de Francfort et de l'invitation d'honneur de la France, une infographie sur l'édition, qui rappelle quelques chiffres. Dont cette répartition plutôt angoissante du chiffre d'affaires du secteur : 87 % du chiffre d'affaires des 200 premiers éditeurs sont ainsi réalisés par 10 d'entre eux.

Malgré un contexte de restrictions sanitaires qui met de sacrés bâtons dans les roues de l’économie française, le groupe Fnac-Darty dévoile une forte croissance de son activité, en ce premier semestre de 2021. Avec un chiffre d’affaires à 3,465 milliards d’euros, en hausse de +21,3 % en données comparables, le Groupe envisage une révision à la hausse de ses perspectives 2021… tandis qu’en parallèle, des magasins Darty se voient soupçonnés de blanchiment d'argent.

Les Comics sont donc plus forts que Fox News ! Malgré les

La maison d'édition américaine Scholastic a annoncé dans son rapport fiscal du troisième trimestre fiscal 2015 une augmentation de son chiffre d'affaires de 2 %, l'élevant ainsi à 382,1 millions $ pour la période. Scholastic est connue pour avoir publié l'édition américaine de la série Harry Potter de J. K. Rowling et Hunger Games de Suzanne Collins.

Lagardère avait déjà fait part de ses résultats 2014, mais le groupe revient avec des résultats nets ajustés, cette fois. 2014 a été une bonne année, avec 7,170 milliards € de chiffre d'affaires. Le résultat net ajusté s'arrête à 185 millions € (+ 7,6 %) grâce à un résultat opérationnel en grande forme.

Le groupe News Corp vient de faire part de ses résultats pour le deuxième trimestre de l'année 2015, et ils sont plutôt bons, avec un chiffre d'affaires en hausse de 2 %, à 2,28 milliards $ contre 2,24 milliards $ pour l'année précédente. Outre un site immobilier qui déchaîne les passions, les ventes des livres jeunesse, des titres de l'éditeur Harlequin et des ebooks chez HarperCollins ont boosté les résultats.

Déjà au début de l’année, Bloomsbury, l’éditeur britannique célèbre pour avoir publié Harry Potter, était très enthousiaste quant aux livres numériques, alors que ces derniers ne représentaient que 10 % de son chiffre d’affaires, l’éditeur annonçait d’ores et déjà que 2011 serait l’année de l’ebook (notre

Amazon : le chiffre d'affaires augmente, le bénéfice chute

Le groupe Vivendi vient de communiquer ses résultats annuels, non sans une certaine satisfaction : le chiffre d’affaires augmente de 10,4% en regard de 2020, pour s’établir à 9,572 milliards €. Le résultat opérationnel  ajusté est de 690 millions €, soit 2,3 fois supérieur à l’année 2020. Et au milieu de ces réussites, Editis réalise 18,1 % de croissance.

D’après une analyse comparative réalisée entre les mois de février 2015 et de février 2016 réalisée par l’Association des éditeurs américains (APP, Association of American Publishers), les ventes réalisées par les éditeurs américains sur un an sont en hausse de 4,2 %. En février 2015, elles s’élevaient à 597,4 millions $ (544 millions €) contre 662,2 millions $ (602,8 millions €)  pour cette année. 

Le groupe Bertelsmann, dans son dernier rapport financier portant sur les 9 premiers mois de 2014, fait état du chiffre d'affaires le plus élevé sur les 7 dernières années écoulées. Les recettes sur la période atteignent les 11,82 milliards €, ce qui représente une augmentation de 4,3 % en comparaison de l'année précédente (11,33 milliards €). La fusion Penguin Random House est citée parmi les facteurs ayant contribué à cette hausse.

Cette semaine, l'Association of American Publishers a dévoilé son dernier relevé chiffré concernant le marché du livre, outre-Atlantique, sur la période de janvier à juillet 2014. Dans les grandes lignes, il en ressort que les catégories Jeunes adultes/Jeunesse alimenteraient la croissance, y compris sur le segment numérique. Une tendance dont plusieurs libraires avaient dernièrement fait état.

La CGT de La Poste n'est pas optimiste. Ce lundi 23 février,le syndicat a dénoncé le fait que le service postal a enregistré « 6 284 suppressions d'emplois » au cours de l'année dernière, tout en réalisant « un chiffre d'affaires record jamais atteint, supérieur de 100 millions d'euros, soit une hausse de 16 % par rapport au budget 2014 », atteignant les 22.163 millions d'euros.Par ailleurs, le groupe dont le premier client est Amazon ne semble pas plus stimuler l'emploi en librairie.

Selon le communiqué et les résultats déposés auprès de la Companies House, pour son exercice de l'année dernière clos le 30 juin 2012, la maison HarperCollins a relevé une hausse de son chiffre d'affaires tandis que ses profits ont chuté. Un bilan que ne dédaigne pas l'éditeur, qui s'est expliqué sur les raisons de la baisse de sa marge d'exploitation. Et comme pour témoigner du boom du marché de l'ebook, les ventes de livres numériques de l'éditeur ont grimpé de 250 %, pour représenter près de 15 % de son chiffre d'affaires sur la période.

L'intégration de 40 anciennes boutiques Borders a permis une progression de 10,5  % du chiffre d'affaires de la chaîne de librairies Books a million pour le premier trimestre de l'année, à 113,1 millions de dollars.

Le cabinet GfK vient de livrer les résultats de l'industrie du livre en France, pour l'année 2010. Un chiffre d'affaires qui n'est pas vraiment mieux, ni vraiment pire... plutôt un marché breton... p'tet ben qu'oui, p'tet ben qu'non...

Le groupe Lagardère communique son résultat pour l'année 2015, et se réjouit d'un chiffre d'affaires de 7,193 milliards €, en hausse de 0,3 % en données brutes et 3 % à données comparables par rapport à celui de 2014 (7,17 milliards €). Le résultat opérationnel (Résop) de la filiale Lagardère Publishing est également en légère hausse, à 198 millions €, soit 1 million € supplémentaire par rapport à 2014.

Les effets de la politique de concentration. À la fin du mois de juillet, HarperCollins finalisait l'acquisition de la maison Harlequin. Ce rachat, combiné avec les fortes ventes continues de la série Divergente, aurait donné lieu à une augmentation de 24 % des ventes pour le premier trimestre de l'année fiscale 2015, qui s'achevait le 30 septembre. Le chiffre d'affaires global a progressé d'une année sur l'autre, passant de 328 à 406 millions $.