Recherche

cinémathèque

Dossiers

Extraits

ActuaLitté

Cinéma

Cinémathèques et archives du film

D'où vient l'idée de cinémathèque ? Quelles sont les premières institutions dans le monde ? Quelles sont les théories et les méthodes de conservation, de restauration, et d'accès ? A qui appartiennent les films ? Comment enrichir, collecter et gérer le matériau filmique des cinémathèques, mais aussi le "non film". A travers cette histoire, et ces débats, l'auteur retrace la vitalité des Cinémathèques et archives de films et présente les perspectives du métier et des institutions à l'ère du numérique.

09/2013

ActuaLitté

Cinéma

Pour une cinémathèque égyptienne. Préalables théoriques, méthodologie, faisabilité

L'ouvrage étudie l'industrie du cinéma en Egypte, son développement et sa comparaison à d'autres industries similaires de pays développés et en voie de développement. Il est composé en trois parties. Il étudie d'abord les enjeux documentaires et patrimoniaux du cinéma. Puis révèle les processus de gestion d'un fonds cinématographique. Enfin il présente la création d'une cinémathèque égyptienne, en parallèle d'une étude comparative réalisée dans quatre pays, la Suède, la France, le Canada et la Thaïlande. Les oeuvres cinématographiques sont une composante essentielle du patrimoine national culturel. L'histoire et la culture cinématographique sont reconnues comme partie intégrante d'un tout, allant du divertissement à l'enseignement, de l'art et de la création à la preuve documentaire et juridique. Les établissements culturels, les archives du film, les cinémathèques, et les musées du film sont responsables de la conservation et de la mise à disposition du patrimoine cinématographique. La mission majeure des archives est de conserver l'écriture de l'histoire de l'humanité, des pays et des civilisations, tâche confiée au métier d'historien.

10/2019

ActuaLitté

Cinéma

La crise des cinémathèques... et du monde

Nées, pour quelques-unes, avant la deuxième guerre mondiale en se donnant la mission de sauver les films en péril, puisque l'industrie et le commerce les envoyaient à la destruction en parfaite légalité, les cinémathèques ont pris leur principal essor après 1945. Elles regroupèrent alors des spectateurs nombreux et passionnés, qui, mécontents de leur éducation bourgeoisement classique, souhaitaient connaître le cinéma que la pédagogie rangeait du côté du plus banal divertissement. Du coup, par la vitalité populaire des ciné-clubs, elles participèrent très activement aux phénomènes de la contre-culture qui s'opposaient aux valeurs somnolentes d'une culture soutenue, de manière intense, par l'officialité. Les fondateurs individuels de ces collections inédites, jugées dérisoires et que le public, pourtant, apprécia, travaillèrent sans ressources en marge des corporatismes qui dominaient le septième art avec la bénédiction de l'Etat. Mais, au fil des ans, elles gagnèrent une place enviable et devinrent des institutions que les gouvernements se vantèrent enfin d'aider. Les nouveaux directeurs placés par le pouvoir abandonnèrent les fondateurs pauvres (en même temps que riches de leurs trésors partagés) pour devenir d'obéissants fonctionnaires : gardiens au centre de leur musée, ils veillent sur des œuvres qu'ils restaurent grâce à l'appui des subventions et que de rares amateurs admirent comme les visiteurs de vases grecs sous vitrine, hors du souci de les distribuer comme autrefois. La télévision, des moyens de communication dont il est malaisé d'appréhender les perspectives, une société qu'emporte une folle évolution, renvoient les cinémathèques au monde en sommeil contre lequel, par magie rassembleuse, elles s'insurgèrent : celui de la culture financée afin d'empêcher tout réveil brutal des consciences.

10/1997

ActuaLitté

Cinéma

Histoire de la Cinémathèque française. L'amour fou du cinéma

Le 6 juillet 1937, le Tout-Paris se presse dans les jardins de la Cité universitaire pour le premier gala de la Cinémathèque française. On y projette des films d'Etienne-Jules Marey, Thomas Edison et Georges Méliès. Ce succès est une consécration pour l'association créée un an plus tôt par Henri Langlois et Georges Franju. Entièrement inédites, les archives de la Cinémathèque retracent ici 70 ans d'une passion collective : l'immense personnalité de Langlois qui lui aura tout sacrifié, la dévotion de Mary Meerson, la ferveur de Marie Epstein, la quête inlassable de Lotte Eisner... On revit les joutes et les trahisons, les victoires et les drames de cette institution qui a sauvé une part majeure du patrimoine (films, appareils, archives, objets, costumes), engendré la Nouvelle Vague, donné un style muséographique au 7e art, initié les recherches de ses historiens (Jean Mitry, Georges Sadoul), projeté le cinéma de demain avec les films du passé. " On était entassés, l'air manquait presque autant que la place, écrivait Claude Mauriac, mais l'écran était un soupirail ouvert sur le monde. " C'est une autre histoire du cinéma que celle de ce musée vivant. 70 ans d'une résistance fragile et invincible, pour l'amour du grand art de la lumière et de l'ombre.

09/2006

ActuaLitté

Cinéastes, réalisateurs

Viva Varda ! Catalogue de l'exposition organisée à La Cinémathèque française

De ses liens avec l'histoire de l'art à sa dimension sociale et politique, Viva Varda ! parcourt les grands thèmes de l'oeuvre polymorphe d'Agnès Varda (1928-2019). La photographe, cinéaste et artiste a déployé sur soixante-dix ans une oeuvre personnelle et fondamentalement ancrée dans le temps. Sa filmographie compte plus de quarante courts et longs-métrages naviguant entre fiction et documentaire, dont les incontournables Cléo de 5 à 7 (1962), Sans toit ni loi (1985), Les Glaneurs et la Glaneuse (2000) et Visages Villages (2017). Précurseuse de la Nouvelle Vague, elle est l'une des rares femmes de sa génération à avoir fait carrière en tant que réalisatrice. Globe-trotteuse et artiste de conviction, Varda témoigne aussi d'une grande attention au monde et aux bouleversements sociaux. Son oeuvre, traversée par les thèmes du féminisme et de la marginalité, demeure d'une très grande actualité. Ce livre, sous la direction de Florence Tissot, accompagne la première exposition rétrospective d'Agnès Varda, conçue par la Cinémathèque française. Il regroupe des textes de spécialistes français et anglo-saxons, ainsi qu'une filmographie commentée par de nombreuses personnalités. Préfacé par Costa-Gavras, il est illustré de plus de 300 documents (archives, images de films, oeuvres d'art, photographies, etc.), dont de nombreux inédits, provenant en grande partie des archives personnelles d'Agnès Varda conservées à Ciné-Tamaris, la société familiale qu'elle a créée, gérée par Rosalie Varda et Mathieu Demy.

10/2023

ActuaLitté

Education de l'enfant

Une cinémathèque idéale. Que regarder en famille de 5 à 16 ans ?

Regarder un film en famille est un moment privilégié pour s'amuser, s'émouvoir, s'émerveiller, réfléchir ensemble. Mais l'on peut se sentir perdu dans la masse considérable qui existe, et ne pas se sentir très sûr de leur adéquation avec ses valeurs familiales et avec l'âge des enfants. Cet ouvrage très pratique, rédigé par un critique cinéma reconnu, se propose d'aider les parents à faire le meilleur choix. Classé par genre (comédie, SF, religion, animation, etc.) et par tranche d'âge, chaque film est accompagné d'une petite notice qui en résume le contenu et en indique l'intérêt. Chaque genre est lui-même présenté avec une volonté permanente de synthèse et de clarté. Des encadrés apportent enfin quelques précisions sur des points bien précis. En résumé, un outil très maniable vraiment pensé pour les parents, afin de les aider à enrichir toute la famille, les petits comme les grands.

09/2023

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté