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Les Imaginales 2023 : Le futur de la cité

Depuis sa création en 2002, le festival des Imaginales a su s'imposer comme l'un des rendez-vous majeurs des Littératures de l'imaginaire. Des milliers de passionnés se rassembleront à Épinal, du 25 au 28 mai prochain, pour découvrir les derniers ouvrages de science-fiction, fantasy, horreur... 

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Images, dessins, peintures : quand le regard raconte

Le regard humain est un outil puissant. Il capte, analyse et interprète le monde qui nous entoure. Mais que se passe-t-il lorsque ce regard se pose sur une image, un croquis, une toile ou un texte ? Une véritable alchimie s'opère, tissant des liens profonds entre l'observateur et l'œuvre.

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Dossier

Festival international de la bande dessinée d'Angoulême

Qu'on l'apprécie ou non, le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême reste l'une des plus grandes manifestations du monde consacrées à la bande dessinée. Chaque année, au mois de janvier, toute la ville d'Angoulême, mais aussi la France, découvre et redécouvre des œuvres du neuvième art. Avec son lot de dédicaces, d'événements, d'expositions, de débats, de récompenses et de mises en avant, le FIBD est ce moment spécial dans l'année où la bande dessinée est au cœur de l'espace médiatique.

Créé en 1974, reconnu dans le monde entier, le FIBD est aussi l'occasion de placer la création hexagonale en avant, même si toute la francophonie, et plus largement toutes les nations, sont accueillies sur place. 

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Dédicaces, programme, auteurs, éditeurs : le FIBD d'Angoulême 2019

Dédicaces, programme, auteurs, éditeurs : le FIBD d'Angoulême 2019

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Le FIBD 2022 à Angoulême : auteurs, programme et événements

Le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême investira les rues d'Angoulême, en 2022, du 17 au 20 mars 2022, avec le ferme espoir de pouvoir renouer avec une édition plus habituelle, malgré la crise sanitaire. Initialement prévu du 27 au 30 janvier, le FIBD a dû, une nouvelle fois, se plier à la situation. Quoi qu'il en soit, la 49e édition de l'événement s'appliquera à contenter les amateurs du 9e art...

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Dossier

Dédicaces, programme, auteurs, éditeurs : le FIBD d'Angoulême 2020

La 47e édition du Festival international de la bande dessinée d'Angoulême, ou FIBD pour faire plus court, se déroulera du 30 janvier au 2 février 2020 : à cette occasion, la ville tout entière vivra au rythme du 9e art, avec des événements un peu partout. Expositions, dédicaces, conférences, cosplays et autres masterclasses attendent les visiteurs, venus du monde entier. 

Extraits

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Histoire régionale

Angoulême BD. La contre-histoire (1974-2024)

La thématique : Angoulême / la bande dessinée comme enjeu de pouvoir Le salon d'Angoulême est la queue de comète d'une longue campagne de valorisation de la bande dessinée en Europe francophone, amorcée en 1962 avec le Club des Bandes Dessinées. Le Club était une association Loi de 1901 née des lecteurs de la revue FICTION, composée de nombreuses sommités comme Alain Resnais, Francis Lacassin ou Evelyne Sullerot et ayant des antennes en Suisse, Belgique et Espagne. Par "valorisation" , il faut entendre la dimension immatérielle et matérielle, culturelle et commerciale, de ce moyen d'expression artistique. En janvier 1974, la bande dessinée est déjà reconnue comme un art à part entière, le 9ème, et elle représente un important marché dans le domaine du livre. Le salon d'Angoulême émerge en fin de ce long cycle. Malgré l'adjectif "international" affiché par les organisateurs dès sa naissance, il s'agit en réalité d'une version francophone du Salon italien de Lucca, qui préexistait depuis déjà huit années et dont les organisateurs avaient servi de parrains. C'est aussi la dernière action promotionnelle de la SOCERLID du Parisien d'origine corse Claude Moliterni. Cette société avait doublé puis enterré le Club des Bandes Dessinées. Moliterni, en charge de la Convention de (bande dessinée de) Paris depuis 1969, livre son carnet d'adresses à l'équipe du nouvel événement réunie autour de l'attaché culturel d'Angoulême, sans regret car il a perdu toute apparence de neutralité en vendant sa revue PHENIX à l'éditeur Georges Dargaud et en devenant son salarié. - "Est-ce que le terme de "Salon" utilisé pour la bande dessinée ne fait pas un peu trop "installé" ? ... Dans quel esprit avez-vous organisé ce salon ? " - "Le nom ? ! Vous savez, c'est toujours un peu pareil quand il s'agit de désigner quelque chose... Convention était déjà pris (nda : la Convention de Paris), Congrès et tout... on a pris Salon parce que ça ne veut rien dire et c'est parfait ! " Francis Groux au micro de la télévision nationale française (ORTF), lors du Salon d'Angoulême 1, Janvier 1974. "Aujourd'hui, le groupe ICON (International Comics Organisation) est devenu une maffia, rien ne peut se faire sans nous. Ce n'était pas du tout l'objectif de départ, mais ce sont les faits, certains l'ont compris à leurs dépends. . ". Claude Moliterni, extrait de LA CHARENTE LIBRE du 28 janvier 1974, au lendemain du salon Angoulême1. Si une équipe de bénévoles, chapeautée par Francis Groux, a bien attiré cet événement public au sein de sa ville, le terreau politique local était propice. La cité souffrait en effet d'un long complexe d'enclavement : isolée dans les terres loin du littoral, coincée sur son plateau entre ses murailles, sans autoroute et hors des circuits touristiques. Les élus d'Angoulême n'ont eu de cesse, année après année, de revendiquer une place à l'échelle nationale. Ils vont s'agripper à la campagne de régionalisation qui, à la fin des années soixante, marque la fin du gaullisme : Angoulême sera nommée "ville moyenne pilote" . C'est dans le cadre de cette dynamique que s'inscrit la campagne "Angoulême Art Vivant" dont sont issus les rencontres liées à la bd en 1972. Angoulême bénéficiera ensuite de la montée en puissance d'un natif du cru : le Charentais François Mitterrand... Un demi-siècle plus tard, comme toutes les institutions tentées de maîtriser le récit de leur propre histoire, le Salon devenu Festival international de la bande dessinée (FIBD) d'Angoulême a entrepris de réécrire son narratif, son "storytelling" , pour être plus conforme à la légende qu'il a entrepris d'édifier. Maintes fois retouchée, aménagée, tronquée, embellie, caviardée, l'histoire "officielle" de cet événement tel qu'il cherche à se raconter de la main même de ses promoteurs, le FIBD et son opérateur privé 9eArt+, est pleine d'oublis, de trous, de vides, d'escamotages et d'absences. Et il ne faut guère compter sur les médiateurs et les médias, majoritairement complaisants, amnésiques, approximatifs ou en affaires avec la manifestation - quand ils ne sont pas d'une servilité qui elle aussi interroge - pour poser les questions qui gênent, ou qui fâchent. Pourtant, le fil rouge qui traverse toute l'histoire de l'événement est éminemment politique - au sens le plus large et le plus générique du terme. Car ce qui se noue à Angoulême depuis un demi-siècle, autour d'un thème en apparence dénué d'enjeux d'envergure, c'est une intense, féroce et perpétuelle comédie du pouvoir - toutes les formes de pouvoir. Les personnes intéressées par la bande dessinée, donc par les politiques éditoriales des maisons d'édition, ne peuvent faire l'impasse sur ces cycles de rencontres entre amateurs et professionnels. Pour illustrer les propos de cet ouvrage, les auteurs iront puiser dans la riche iconographie de l'artiste Alain Saint-Ogan (1895-1974). Un homme qui a longtemps symbolisé "le dessin français" et qui ne s'est jamais reconnu comme un auteur de bande dessinée mais bien comme un homme de presse. Il a oeuvré dans la presse pour enfants et pour adultes. Son personnage de manchot, Alfred, l'ami de gamins Zig et Puce, a longtemps personnifié les prix délivrés aux salons de bande dessinée d'Angoulême.

02/2024

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Sciences historiques

Angoulême

Dans cette balade au fil des rues d'Angoulême, le lecteur retrouvera des enseignes disparues, des lieux qui se sont transformés avec les années, des visages d'anciens... L'aspect économique, social et culturel de la ville nous est présenté à partir de 200 cartes postales et photographies anciennes regroupées par l'auteur. Découverte pour les plus jeunes, souvenir pour les plus âgés, ce recueil permettra au plus grand nombre de se plonger dans la vie quotidienne d'Angoulême au début du XXe siècle et de comparer ainsi certaines époques du commerce angoumoisin.

01/2019

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Beaux arts

L'image de la cité

L'apparence visuelle d'une ville n'est pas forcément perçue de la même façon par tous ceux qui y vivent, l'abordent ou la traversent : l'image mentale qu'ils s'en font peut être forgée par des sentiments ou des besoins pratiques différents : besoin de se repérer, impératifs esthétiques, désir d'appartenance à un milieu, etc. Y a-t-il précisément, entre les différentes images que l'homme se fait de sa cité, un fond commun d'éléments et de relations dont l'urbaniste puisse se servir pour modeler ou remodeler un "personnage urbain" plus satisfaisant ? En s'appuyant sur l'étude de trois cités américaines (Boston, jersey City et Los Angeles), Kevin Lynch recherche les critères de la qualité visuelle d'une cité : structure, identité, signification. Il dégage les éléments composants de cette image et les possibilités d'en jouer pour l'améliorer. Comparable en importance au célèbre "Art de bâtir les villes" de Camillo Sitte, ce livre propose de nouveaux principes de composition urbaine et ouvre ainsi à l'urbaniste, à l'architecte et au sociologue, des voies de recherche extrêmement fructueuses. Vivant et direct, stimulant l'imagination et l'acuité de la perception, il s'adresse aux étudiants et finalement à tous les citadins soucieux de vivre "éveillés" dans le cadre de leur vie quotidienne.

09/2020

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Beaux arts

La vraie image. Croire aux images ?

Qu'est-ce qu'une vraie image ? Poursuivant son étude de la signification de l'image dans la culture occidentale, Hans Belting interroge ici notre besoin fondamental d'images vraies et authentiques, susceptibles de rendre compte et de reproduire la réalité telle qu'elle est. Il montre que notre compréhension de l'image est marquée, aujourd'hui encore, par une survivance de notions religieuses : la foi chrétienne a joué en Occident un rôle formateur de l'identité et de la conscience et nous avons intériorisé les tentatives sans cesse recommencées d'une définition de l'image qui se sont accomplies dans son orbe. Plutôt que de dérouler une histoire linéaire, l'auteur procède ici par sondages, en pointant son attention sur deux moments clés, deux accélérations critiques où la culture européenne franchit à chaque fois un seuil : la fin de l'Antiquité d'abord, où la question de l'image est l'enjeu de débats philosophiques autour de la double nature du Christ ; la période de la Réforme ensuite, où la traduction de la Bible en langue vulgaire et sa diffusion par l'imprimerie entraînent comme une dévalorisation ontologique de l'image, contrainte de se replier désormais du côté de l'art et des théories esthétiques. La tradition religieuse des images, avec la part irréductible faite à la croyance, est donc bien davantage qu'un simple prélude naïf de leur complexité moderne. Dans La vraie image, Hans Belting tend magistralement l'arc qui relie l'aube des Temps nouveaux à notre époque contemporaine, en tissant des rapports inaperçus entre histoire de la religion, des images et des idées. A ce titre, le livre apparaît comme l'indispensable complément à ses deux précédents ouvrages, Image et culte (Cerf, 1998) et Pour une anthropologie des images (Gallimard, 2004).

10/2007

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Romans historiques

La nouvelle Angoulême

1524 : Maître tonnelier à bord de La Dauphine, nef commandée par Jean de Verrazane, le jeune François Martin tombe à l'eau au lieu-dit Angoulesme où ses compagnons le croient noyé. Sauvé par les natifs de l'île de Manahatta, il fonde à cet endroit la Nouvelle Angoulême, la future New York est née...

01/2022

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Histoire de la BD

Rock ! Pop ! Wizz !. Quand la BD monte le son

Issues toutes les deux de la culture populaire et de la contre-culture, la bande dessinée et la musique rock et dite "pop" au sens large, entretiennent depuis longtemps des rapports étroits et féconds. L'exposition " Rock ! Pop ! Wizz ! Quand la BD monte le son " propose une plongée dans ces deux univers, pour afficher le dialogue permanent entre ces formes d'art, leur connivence et comment elles se nourrissent l'une et l'autre depuis plus d'un demi-siècle. A partir de janvier 2023 et au sein de la Cité Internationale de la Bande Dessinée et de l'Image d'Angoulême, elle rassemble plus de 50 dessinateurs venus de tous les pays, des centaines de pochettes de disques, et autant de planches originales. Sous forme de magazine, le catalogue reprendra une grande partie de l'iconographie de l'exposition, mais aussi des inédits, images, interviews ou textes d'acteurs à la croisée de ces deux mondes.

03/2023

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