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collection romans noirs

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Dossier

Bibliophilie : les Collections Aristophil

Les documents des collections Artistophil balayent toutes les périodes de l’humanité, depuis l’Antiquité, jusqu’au XXe siècle. La maison de ventes Aguttes s’est vue confier par le tribunal de Commerce la mission d’inventorier, conserver et restituer les œuvres qui en étaient issues. C'est ainsi que le 20 décembre 2017, la Maison Aguttes a proposé une vente inaugurale, première d’une série qui, au cours des prochaines années, mettra en lumière le panorama majestueux des thèmes et des supports que constitue cet ensemble hétérogène. 

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Suites : la collection poche des éditions Métailié

Presque 45 ans d’existence, d’exigence littéraire, plus de 1200 titres au catalogue et un fonds dont la maison d'édition est particulièrement fière, pour vivre et lire passionnément.

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Dossier

La collection de livres audio chez Actes Sud

AUDIOLIVRE – La lecture à haute voix, par les auteurs ou par les comédiens, fait depuis longtemps partie de la culture d’Actes Sud. Au-delà du livre imprimé, il s’agit de continuer à servir les textes, de les faire découvrir sous une autre forme, celle de l’oralité.

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Dossier

Majik, la collection des épopées et sagas fantastiques

Miroir de notre monde, la Fantasy raconte les luttes et aspirations de l'humanité, à travers des mondes imaginaires. Créée par les éditions Leha, la collection poche Majik propose pour son lancement les ouvrages de John Gwynne, Brian McClellan, Kendare Blake, Hermine Lefebvre ou encore Pierre Bordage. En avant pour des univers étranges !

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Dossier

7 lieues, la collection d'aventures dans la poche

Les éditions Milan ont choisi de faire chausser des bottes aux jeunes lecteurs, à partir de 7 ans, pour vivre des aventures incroyables. Et pas n’importe quelles bottes : celles de 7 lieues, du nom de leur nouvelle collection. Deux séries ouvrent le bal de cette aventure éditoriale : La Famille Rollmops et ses voyages invraisemblables et La Cabane, une histoire d’enfants, interdite aux grands.

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Dossier

“Grands romans”, une littérature inoubliable

Les plus grands romans, tout simplement. Venus de toutes les époques et de tous les continents, ces ouvrages de la collection créée en 2006, se sont vendus à plus de 2 millions d’exemplaires. « Les Grands Romans, passionnément ! », tout simplement.

Extraits

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Policiers

Romans noirs

Le roman noir, c'est l'apprentissage sur le tas. C'est la vie sous la couverture. Dans l'ombre et dans la marge. Une discipline qui sied aux autodidactes, aux libres-penseurs, aux doux dingues de l'utopie, aux fascinés de l'anarchie, aux ennemis de l'ordre noir. C'est une littérature engagée qui prend parti sans jamais être didactique. Peut-être parce que ses pratiquants sont souvent guidés par des instincts plus que par des mots d'ordre intellectuels. Peut-être parce que ceux qui rêvent d'écrire des livres de passion et de meurtres sont des enfants qui sanglotent. Des chanteurs de l'heure bleue, des adorateurs d'une femme qui passe en bas résille. Peut-être parce que, lorsqu'ils marchent dans l'asphalte mouillé, ils imaginent qu'un mari jaloux se cache dans les pans de la nuit. Peut-être parce que, lorsqu'ils abordent un pont de chemin de fer, ils distinguent l'assassin à contre-jour de la fumée blanche. Peut-être parce que ce soir encore, comme en 1930, ils entendent une voiture chromée qui dérape sur la corniche. Peut-être parce qu'ils se sentent seuls de leur espèce. Peut-être parce que le roman noir, c'est la forêt des relativités trompeuses. La pureté en négatif. Le versant du diable. Une immense friche pour ceux qui croient que la fatalité éclaire les hommes de son hallucinante vérité de l'instant.

05/2011

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Romans noirs

Romans noirs

Horace McCoy (1897-1955) est de ceux qui ont choisi de dépeindre une Amérique fragilisée par la Grande Dépression, violente, sombre et impitoyable, ôtant à l'homme toute dignité. Aux côtés des "durs" (gangsters, politiciens corrompus, détectives), une galerie de personnages tragiques - des réalistes - suicidaires pour qui la vie est un enfer sans échappatoire et des rêveurs-ambitieux qui tentent de s'y soustraire pour se réinventer ailleurs - révèlent une mélancolie et une profondeur rares chez un auteur de roman noir, nourries de ses expériences personnelles. Vétéran de la Première Guerre mondiale, se rêvant acteur de théâtre puis reporter à Dallas, McCoy publie au tournant des années 1930 ses premières nouvelles, à la fois tranchantes et lyriques, dans Black Mask qui accueille les grandes plumes du roman noir comme Dashiell Hammett et Raymond Chandler. Désormais installé à Hollywood, McCoy enchaîne les petits rôles avant de se consacrer aux scénarios pour le compte des grands studios de cinéma, activité qu'il abhorre. Son premier roman, On achève bien les chevaux, ode tragique aux marathons de danse, paru en 1935, est un véritable succès. Jugés trop sombres, trop réalistes, les suivants ne rencontrent pas le même accueil. Dix ans s'écouleront avant que McCoy ne renoue avec la littérature et le succès, porté par l'intérêt et l'admiration du public français pour ses premières histoires traduites chez Gallimard dans la collection "Blanche" et dans la toute nouvelle "Série Noire". Adaptés au cinéma par Sydney Pollack (On achève bien les chevaux, 1969) ou Jean-Pierre Mocky (Un linceul n'a pas de poches, 1974), ses romans offrent une plongée dans le coeur noir de son pays : tirant à boulet rouge sur l'usine à rêves qu'est Hollywood et cette société où triomphent l'argent et la loi du plus fort, McCoy était bien trop sulfureux pour une Amérique qui se voulait alors conquérante.

03/2023

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Policiers

Underworld. Romans noirs

En publiant son premier roman, Little Caesar (1929), William R. Burnett (1899-1982) a ouvert une brèche dans le monde du polar et imaginé un genre nouveau : le roman de gangsters. Il renverse la perspective, ses romans noirs plongent dans l'underworld - la pègre à l'âge de la Prohibition, la corruption qui gangrène toutes les strates de la société au grand jour - et font des criminels professionnels leurs personnages principaux. Servies par des intrigues élaborées, un style concis, un sens inné du dialogue, ses histoires livrent une fresque historique et sociale des Etats-Unis. Burnett y a inventé une subjectivité - criminel, le malfrat n'en est pas moins un être humain en proie à des doutes, des rêves et des cauchemars - et offert "une image du monde vu par les yeux d'un gangster". En proposant pour la première fois en français des traductions intégrales et révisées, cette édition invite, à travers une trilogie - The Asphalt Jungle (1949), Little Men, Big World (1951) et Vanity Row (1952) - augmentée d'Underdog (1957) et de The Cool Man (1968), à plonger dans l'univers du Milieu et du syndicat, où les mitraillettes ont fait place à la corruption, à la menace et au chantage. Scénariste réputé de Hollywood, Burnett est avant tout un écrivain. Inédits, des extraits de son Journal et te témoignage de son fils révèlent un homme érudit qui constelle son oeuvre de références aux classiques (de Virgile à Casanova, de Byron à Fitzgerald, de Balzac à Anatole France). Si la postérité ne semble retenir que le versant hollywoodien de son oeuvre, William R. Burnett, figure importante du premier roman noir, n'en fut pas moins l'inventeur d'un univers narratif dans lequel beaucoup ont puisé. "Aux Etats-Unis, il y a un snobisme littéraire. Si c'est un roman de gangsters, ça ne peut pas être de la littérature", affirmait-il. Et cette nouvelle édition de nous prouver qu'il avait tort.

05/2019

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Policiers

Romans noirs. Tome 1

Frédéric Fajardi est né en 1947. Il fait partie, avec Vautrin et Manchette, de ceux qui ont profondément rénové le roman noir en France voilà près de trente ans et sont considérés comme les grands noms du genre. Il fut le premier auteur de roman noir venu des émeutes de 1968 et du gauchisme, d'où une audace anarchisante qui tranchait avec l'époque. On lui doit le premier flic d'origine africaine ou maghrébine, le premier officier de police homosexuel, le premier roman où les anthropophages " mangeaient du flic " et bien d'autres trouvailles qui secouèrent un genre jusqu'ici plutôt convenu. Ses deux premiers titres Tueurs de flics et La Nuit des chats bottés connurent un succès foudroyant qui ne s'est jamais démenti. Son écriture nerveuse, dans un style assez classique, sert des intrigues violentes et très noires, saupoudrées d'un humour qui ne l'est pas moins. N'étant pas du genre à se reconnaître de maîtres, il avoue malgré tout des influences : Chester Himes, David Goodis et Hans Helmut Kirst.

11/2006

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Policiers

Petits romans noirs irlandais. Anthologie

Cette anthologie de 18 nouvelles policières, pour la plupart inédites, réunit les plus grands écrivains irlandais : James Joyce, William Trevor, Liam O'Flaherty, Elizabeth Bowen, Brendan Behan, Lord Dunsany, Flann O'Brien, Sean O'Faolain, Nicholas Blake (alias le poète Cecil Day Lewis) sans oublier Peter Cheyney. Crimes passionnels, histoires de détectives, meurtres et cambriolages sont illustrés ici par des textes allusifs, cruels, humoristiques, poétiques, ou parfois tragiques qui réjouiront les amateurs à l'affût de curiosités littéraires.

08/1997

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Critique littéraire

Roman noir

Romans gothiques, romans frénétiques, sous des appellations diverses le " roman noir " s'épanouit en Angleterre d'abord, puis en France, en Allemagne, en Irlande, en Ecosse. Son âge d'or se situe au tournant du XVIIIIe et du XIXe siècle. C'est l'époque des révolutions, politiques, religieuses, sociales, qui secouent l'Europe. Le vieux monde craque, le siècle des Lumières s'assombrit. Au commencement, il y a les spectres, les possédés, les démons, le diable. De même qu'un siècle plus tard le cinéma sera le divertissement de l'homme des foules, les romans noirs inventent un art de la projection. Les doubles qui se profilent derrière chacun des héros révèlent des abîmes. Au-delà du travail de sape de l'ordre moral, apparaît l'exploration passionnée de ce qui ne se nomme pas encore " l'inconscient ".

10/2006

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