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Conversation

" Quand on est la femme de Jacques Chirac on ne peut pas rester trop effacée ! Ou alors on court le risque d'être écrasée... Que voulez-vous, je n'aime pas être écrasée. " " Je ne m'attendais pas du tout à ce qu'il fasse de la politique. Comme disait mon père : " La politique, vraiment, n'était pas dans le contrat de mariage. " ". " Quand on est décidé à bâtir une maison ensemble, je crois que le résultat est inébranlable ". " Je me suis battue. J'espère seulement qu'à l'image de ces parents d'enfants blessés le courage ne me quittera pas ". " C'est très difficile pour moi de me " blinder ". ". " Je suis vulnérable, très sensible au scandale ". " Mon mari tous les matins me dit que j'ai une chance formidable de l'avoir épousé ! " " Il me manque toujours du temps. Comme la tortue, je me hâte avec lenteur ". " Aimer, c'est forcément être optimiste ". Bernadette Chirac.

10/2001

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Littérature française (poches)

La Conversation

« Il y a des moments où l'Histoire semble hésiter avant de prendre son élan : Hannibal quand il décide de passer les Alpes avec ses éléphants pour frapper Rome au cœur ; César sur les bords du Rubicon ; le général de Gaulle à l'aube du 17 juin 1940, quand il monte dans l'avion qui va l'emmener vers Londres, vers une résistance qui peut paraître sans espoir. C'est un éclair de cet ordre que j'ai tenté de saisir : l'instant où Bonaparte, adulé par les Français qu'il a tirés de l'abîme, décide de devenir Empereur. » À travers une conversation imaginaire et décisive entre Napoléon Bonaparte et Jean-Jacques Régis Cambacérès, son deuxième consul, Jean d'Ormesson explore la tension entre l'esprit révolutionnaire républicain et le désir de puissance. Il met en scène un Cambacérès ensorcelé par le charismartique Bonaparte. Si tous les mots prêtés à Bonaparte ont bien été prononcés par lui, l'auteur forge ce dialogue fictif à la veille de l'avènement du Premier Empire, aux Tuileries, vers le début de l'hiver 1803-1804.

09/2012

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Photographes

Conversation tardive

Ce livre se présente comme une collection de plus de deux cents photographies prises presque exclusivement entre le début des années trente et la fin des années cinquante par le père de l'auteur. Photographies dont il se trouva le dépositaire à la mort de ses parents mais qui l'ont toujours accompagné au point, écrit-il, de ne pouvoir "se souvenir d'un temps sans elles." C'est avec cette présence familière chargée de secret, d'énigme et d'incertitude qu'une conversation vient ici à s'engager. Photographies en noir et blanc, usées, abîmées, raturées, au format inhabituel, douées d'une incomparable aura. Un texte vient à en préciser chacune, assez court sauf quand, quelquefois, il prend le tour d'une rêverie, d'une remémoration. Ainsi les photographies ne sont jamais là pour illustrer un propos, mais au contraire pour le susciter. Un monde disparu se voit ressuscité : deux fois disparu puisqu'il s'agit de celui de l'enfance, et cela ne peut être autrement, mais aussi celui d'un pays natal que l'enfant (il avait onze ans) dut quitter définitivement, chassé par la guerre. Une double perte en vient à se conjuguer, l'une nécessaire, l'autre contingente. Et dont l'épigraphe du livre, "Sinon l'enfance, qu'y avait alors qu'il n'y a plus ? ", atteste ; c'est à cette double absence que le livre, ici, se confronte. Strictement, sans jamais côtoyer une nostalgie qui viendrait édulcorer le propos. Evocation d'une enfance disparue, de souvenirs impossibles dont seule la photographie possède le sortilège, souvenirs ante natals - la rencontre de Rose et Manuel, les futurs parents de l'auteur, la naissance de la grande soeur, etc., mais aussi inscription d'un monde ambiant auquel l'enfant ne put véritablement accéder, qui le précède et l'entoure, qui est l'émanation de la vie et des gestes, des travaux et des jours. Derrière les premiers plans des photographies - figures convenues de la représentation familiale : l'enfant, la femme, le mari, la parentèle ; figures convenues de la représentation sociale : la cohorte des amis, les activités sportives, les voyages - un monde vient à surgir dans l'arrière-scène, que le photographe ne voit pas, ne vise pas, qui ne s'impose par rien d'autre que par le fait d'être là, nécessairement là et que l'inaltérable enfant ne peut qu'entrapercevoir. Le regard fixé sur l'impossible, dans l'attente. A la recherche "d'une image dont il ne se souvient pas", dans l'intenable vision de "ce qui n'avait pas encore eu lieu ou qui avait été dérobé" est-il écrit par Jean-Jacques Gonzales qui est à la fois photographe et philosophe. Ainsi ce livre apparaît aussi comme une méditation sur l'exil de l'enfance, sur la puissance ontologique de la photographie, à la fois comme la servante des visées d'un photographe, d'une époque, d'un monde, d'un souvenir qui vient mais encore et surtout comme le nécessaire dépositaire de l'irrécusable présence qui ne veut rien. Conversation tardive, toujours tardive, toujours repoussée vers la fin d'un temps qui n'arrive pas. Ce livre témoigne de ce temps qui ne finit pas, et dont seule la photographie est capable d'en saisir les prémisses : "La photographie, est-il écrit en fin d'ouvrage, s'effaçait devant l'opacité du temps, devant l'énigme. Ce qui me troublait, c'était autant la disparition que l'apparition. Je croyais que c'était l'énigme de la photographie, c'était l'énigme de la vie."

06/2022

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Documentaires jeunesse

La conversation

Quoi de plus quotidien que nos conversations et quoi de plus ordinaire ? Et pourtant la conversation est d'une richesse infinie : nous parlons ensemble pour dire nos accords autant que nos désaccords, nous apprenons à nous connaître et à mesurer la distance qui nous sépare les uns des autres. Et le monde dans lequel nous vivons n'est-il pas lui-même une longue conversation déjà commencée dans laquelle nous arrivons pour apporter notre contribution ? Car il y a toujours des enfants qui grandissent et d'autres qui leur succéderont, apportant ainsi de nouvelles questions, comme de petites balles bondissantes que nous rattrapons et qui à la fois nous échappent.

03/2006

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Littérature française

Singulière conversation

Juillet 1743. Effrayée par la naissance d'Ariana, Catherine cède à ses convictions profondes et décide d'éloigner l'enfant. Au petit matin, elle la conduit vers sa nouvelle famille et protégera ce secret quel qu'en soit le prix. De nos jours. Moïra reçoit un étrange héritage qui la conduit dans une quête étonnante, où elle n'aura de cesse de découvrir la vérité. Elle croisera la route de Jacques, conservateur du musée de Pau et fervent passionné de la forteresse de Montaner. A travers ces recherches, arrivera-t-elle à dévoiler ce qui se cache derrière les apparences ? L'auteur laisse vagabonder son esprit sur des chemins qui lui sont familiers et vous plonge dans un Cluedo temporel, narrant des vies et des destins si différents et pourtant si semblables.

03/2017

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Littérature française

La conversation

Huit nouvelles qui décrivent notre époque, vue dans la rue, dans la tête, dans le coeur, dans la vie. Huit nouvelles qui nous emmènent au plus près observer avec curiosité et affection notre existence de héros du quotidien. On se laisse prendre par cette gourmandise avec laquelle Claude Sérillon observe ses personnages, comment il décrit le foisonnement de leur pensée, ce bavardage permanent et incroyable qui les motive, cette belle vitalité dont ils font preuve en dépit des situations dans lesquelles ils se sont chacun laissé emporter. Aucun cynisme, aucune moquerie ou méchanceté de la part de l'auteur, à la rigueur ce gout léger de l'ironie qui fait écho à notre propre instinct, que masque cependant une gigantesque soif d'amour de l'auteur pour le genre humain. Au fond, ce que recherche Claude Sérillon dans ses sujets n'est pas tant le plus trivial que le plus fragile, voire le plus honorable, le plus digne. En suivant ainsi chaque personnage au fil de ses idées et de ses discours, au gré de ses décisions et de ses doutes, le lecteur est happé par un style d'une remarquable vigueur, à la fois précis et déterminé, sans cesse en mouvement. Les phrases et les situations se succèdent, et le livre se referme comme on finit de suivre l'actualité. Pas celle du monde mais la nôtre.

01/2017

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