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Dossier

Ouvrir les bibliothèques de France : Erik Orsenna au rapport

Mandaté par Françoise Nyssen, ministre de la Culture, faisant suite aux promesses de campagne d’Emmanuel Macron, Érik Orsenna est devenu rapporteur. Aux côtés de Noël Corbin, il s’est embarqué dans un tour de France des bibliothèques, pour évaluer la situation, et proposer des solutions pour valoriser les lieux.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Neil Gaiman

Né le 10 novembre 1960, Neil Gaiman s'est d'abord fait connaitre dans le milieu des comics, avec, après avoir suivi l'apprentissage d'Alan Moore, un début aux côtés du dessinateur Dave McKean. Gaiman entame ensuite sa série la plus célèbre à ce jour, Sandman, qu'il mènera entre 1988 et 1996. 

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Dossier

Divinités, batailles et mythes : plongez dans la culture antique

L'Antiquité et ses mystères ne manquent pas de fasciner encore tant les lecteurs que les auteurs. Essais, bande dessinée, poésie offrent aujourd'hui une multitude de regard, profitant de personnages mythologiques autant que d'épisodes historiques. L'occasion de découvrir des pans entiers de la culture antique.

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Dossier

Albums et documentaires : un monde “Sens Dessus Dessous”

« Pour faire une histoire, il faut toujours un point de départ. » Pour inaugurer ce commencement, les éditions Delcourt ont confié à Christophe Tranchant leur nouveau label : Sens Dessus Dessous. Un nouveau défi qui proposera aux jeunes lecteurs une gamme d'ouvrages illustrés et d'albums, aussi bien en fiction qu'à travers des documentaires.

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Dossier

Roman, BD, documentaires, albums : la littérature jeunesse parcourt l'Europe

Qu’est-ce qui témoigne de la vitalité d’une littérature ? Dans ce cas-ci, celle de la littérature jeunesse au Québec. Est-ce le nombre d’éditeurs ? On en compte plus d’une soixantaine. Le nombre d’ouvrages publiés par année ? Il y en a plus de 400. Les prix dédiés à ses créateurs ? On en compte une bonne douzaine. Ou alors l’attrait de ses créateurs pour des éditeurs étrangers ?

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Dossier

Prix littéraire Frontières-Léonora Miano 2022 : dignité humaine, acceptation de l’autre

Décaler le regard pour mieux voir. Transporter une question actuelle dans d’autres temps et contrées – imaginaires, mythologiques ou simplement renommés –, afin de la poser d’une manière plus libre, plus féconde, telle est la méthode de Léonora Miano. Elle a ainsi accepté de prêter son nom à un prix « créé avec une volonté d’universalité, pour ne pas être prisonnier d’auteurs franco-français et faire connaître de nouveaux auteurs ».

Extraits

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Histoire internationale

Cortés

"J'ai vécu les armes à la main. J'ai exposé ma personne à mille dangers, j'ai grandi le nom de mon roi, accru son domaine en plaçant sous son sceptre d'immenses royaumes de peuples étrangers que j'ai gagnés moi-même sans recevoir aucune aide, j'ai dû faire face aux obstacles des jaloux qui m'ont sucé le sang jusqu'à en crever comme des sangsues repues... Mais je n'avais pas plus tôt tourné le dos que vous me dépossédiez de tout ce que vous m'aviez donné." A l'automne de sa vie, le conquistador écrit son ressentiment à Charles Quint. Mais l'empereur ne lui répondra pas. C'est que l'homme qui conquiert l'empire des Aztèques en moins de deux ans, après avoir fait ses classes à Cuba et à Saint-Domingue, paraît vite suspect dans une Espagne à peine sortie du Moyen Age. Comment un hidalgo peut-il choisir l'Amérique des Indiens au point de vivre avec eux et d'épouser la belle Malinche, qui lui a appris à parler leur langue et lui a donné son fils aîné ? Les envieux ne se privent pas de rappeler que Cortés avait une épouse espagnole et que celle-ci, à peine débarquée, est morte mystérieusement du mal de madre. Plus grave, sa vision de la christianisation des Indiens n'est pas celle des inquisiteurs. En fait, Cortés, dès qu'il a le pouvoir en main, se bat pour mettre en place une société métisse et économiquement indépendante, qui est aux antipodes de la colonie que veut implanter la vieille Castille. Demi-dieu pour les uns, démon pour les autres, héros ou traître, Cortés porte un regard désabusé sur ses compatriotes. Vivant à la frontière de deux continents qui se rencontrent pour la première fois, il rêve d'être le roi d'un autre monde.

05/2008

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Non classé

Donoso cortes

Je n'entends pas étudier dans un livre, dont les ambitions ne peuvent être que limitées, toute la vie et toute l'oeuvre de Donoso Cortés. Ce philosophe, un des plus grands dont l'Espagne puisse s'honorer, a été trop profondément mêlé à la vie politique de son temps pour que l'on puisse négliger le retentissement qu'ont eu sur sa pensée les luttes, les conflits et aussi, hélas ! les intrigues qui déchiraient sa patrie. Il faut laisser à ses compatriotes le soin de discerner la part de l'évolution personnelle et celle des événements extérieurs sur un homme dont la capacité de réflexion fut égale à la sensibilité. [... ] Il savait également discerner les causes et, fil par fil, recomposer la trame des événements dont il avait scruté le sens et anticipé le déroulement. Un heureux équilibre, qui d'ailleurs masquait un effort continu sur lui-même, assurait à ce sentimental une secondarité qui lui permettait de comprendre les faits et de les éclairer avant d'agir. S'il discerna les failles qui séparent en nous l'action de la pensée, il ne s'en attacha pas moins à les combler. De plus, ilpossédait cette éducation parfaite où s'ajoutent à tous les dons d'une culture raffinée la délicatesse des sentiments et cette capacité de discernement qui n'appartient qu'au coeur. Il souffrit, au plus profond de son âme, des discordes et des révolutions auxquelles il était bien malgré lui mêlé : bien malgré lui, car cet aristocrate, que tout destinait à jouer un rôle de premier plan, souhaitait par-dessus tout de pouvoir se tenir en dehors et au-dessus de la mêlée ; il aurait pu, étant plus loyal et plus clairvoyant que tant d'autres, diriger - il avait certes l'étoffe d'un chef d'Etat, - il se borna à conseiller. Il eut le sens du moment où des réformes peuvent être efficaces, et percevait la mesure exacte de ce qu'on peut consentir sans mettre en péril les principes sur lesquels repose la stabilité de l'Etat. Mais ses conseils furent mal suivis : son esprit conservateur le rendait suspect aux progressistes ; son souci du bien-être général et de la prospérité des classes déshéritées plaisait peu aux conservateurs. L'ordre social qu'il préconisait était, il aimait à le répéter, fort différent de celui qui régnait à Varsovie. Sa formule : "tout pour le peuple, rien par le peuple" est celle justement qui ne plaît à personne. Elle n'agrée point aux conservateurs qui n'entendent renoncer à rien de ce qu'ils possèdent ou de ce qu'ils acquièrent ; elle scandalise les démagogues qui entendent surtout éveiller les ressentiments et spéculent sur la misère pour se hisser au pouvoir. [... ] SUITE DANS CHRONIQUE 1

04/1997

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Biographies

Les nôtres

"Jusqu'alors j'ai marché avec vous. Je ne ferai pas un pas de plus à vos côtés" . Il s'appelait Ignace Reiss, Steff Brandt, Hans Eberhardt et quelques autres noms d'emprunt rendus nécessaires de par son activité : agent du KGB. Sa femme, Elisabeth Poretski, raconte l'histoire tragique de cet homme, né sous le nom de Nathan Markovitch Poretski, espion soviétique influent en Europe de 1919 à 1937, jusqu'à sa rupture avec Staline. Celui qui dans son ultime lettre au "petit père des peuples" revendiquait un autre socialisme, plus authentique, fut retrouvé assassiné un mois plus tard, en août 1937, dans une rue de Lausanne. Une mort orchestrée par les siens. Le récit que relate Elisabeth Poretski, au plus proche des faits, n'établit pas l'enquête ni ne raconte la tragédie Reiss, mais tient à montrer quelle fut la vie de cet homme et de ses proches, qui ont longtemps cru en leurs idéaux avant de les voir dépérir devant leurs yeux. Un récit qui marque les enjeux d'une époque, pas encore révolue, marquée par l'affrontement idéologique de deux blocs qui se mettent en place. Biographie historique et roman phare de la littérature contestataire de gauche, Les nôtres a marqué son époque et jusqu'à aujourd'hui. La lettre de rupture de Reiss reste un cri révolutionnaire qui influença passablement d'autres critiques du régime stalinien, dont beaucoup subiront le même sort. Victor Serge, dans un puissant hommage, voit dans cet épisode historique un élément avant coureur de "la sanglante corruption du régime stalinien [qui] gagne le mouvement ouvrier et les intellectuels avancés d'Occident" .

11/2022

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Poésie

Arabesquement vôtres

L’écriture de ces poèmes s’étend sur une année abordant des thèmes aussi variés que l’amour, la vie, l’art, le voyage, le temps qui passe, etc., et fonde une certitude, la poésie doit accompagner la vie. Rendant compte au-delà de multiples expériences de la richesse d’un vécu, la Poésie permet de donner à entendre la voix d’une âme. Les mélodies propres à chaque poème dessinent des courbes et des arabesques, invitant le lecteur à progresser dans les méandres de l’imagination.

05/2012

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Yaoi/homosexualité masculine

A tes cotés

Bien que Tooru économise afin de pouvoir vivre indépendamment de ses parents, le jeune salarié, soffre de temps en temps un aller-retour à Kyoto afin dassister à des courses hippiques, où il sadonne à son loisir : la photographie. Mais un soir, alors quil revient de lhippodrome en train, il remarque un homme nettement plus âgé que lui, à lair éreinté. Fasciné par ce col blanc, il lépie depuis un siège voisin dans le wagon, et se laisse captiver par ses manières, sa façon de manger, latmosphère quil dégage. Bientôt, ce ne sera plus uniquement pour aller voir des chevaux quil se rendra à Kyoto...

04/2023

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Littérature étrangère

Les côtes azuréennes

Venu de Saint-Pétersbourg par le train qui relie la Russie à la France, Alexandre Ivanovitch Kouprine arrive à Nice fin avril 1912. Il va passer trois mois sur la Côte d'Azur, Marseille et la Riviera qu'il nomme " Les Côtes azuréennes ". Kouprine annonce un guide pour les Russes se déplaçant à l'étranger, et c'est bien un Russe qui nous livre un récit plein de passion et d'opinions personnelles sur ce qu'il voit, ce qu'il expérimente et sur les gens qu'il rencontre. La Russie est présente en contrepoint, mais c'est la France de 1912 qui revit sous sa plume : le jeu à Monaco qu'il décrit, les bals à Nice qu'il découvre, la représentation de Carmen à Fréjus qui l'enchante, les combats de boxe qu'il suit en amateur, l'activité portuaire de Marseille qui l'émerveille. Kouprine pense que " ce sont les petites choses qui expriment le mieux l'esprit de l'homme, le pays et l'histoire ", aussi les anecdotes foisonnent. Elles sont contées avec beaucoup d'humour et toujours avec une grande humanité.

06/2019

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