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La Société des Gens De Lettres (SGDL)

La Société des Gens De Lettres (SGDL)

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Dossier

Les critiques de la rentrée littéraire 2017

Rentrée littéraire, le dossier complet : avec 581 romans français et étrangers en librairie, voilà des lectures à foison. La rédaction propose ses choix et ses conseils, sur les livres qu’on aime, et les autres.

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Les sociétés matriarcales : les cultures autochtones dans le monde

Dans cet ouvrage pionnier, fondateur des recherches matriarcales modernes, Heide Goettner-Abendroth définit pour la première fois clairement et scientifiquement le concept de matriarcat, jusque-là décrié et opaque, qui lui permet de revisiter l’histoire culturelle de l’humanité. 

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Les Chroniques du Confiné : au temps du coronavirus, le critique se fait booktuber

Chaque jour apporte son lot de mauvaises nouvelles — ou de nouvelles qu’on préférerait meilleures. Il fallait bien que la rédaction tente d’offrir un moment de pause humoristique. Et même si les librairies sont fermées, et qu’il devient plus difficile de se procurer des nouveautés, pas question de renoncer à la découverte de livres, d’auteurs, de coups de coeur.

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Romans, nouveautés : les livres d'Agnès Martin-Lugand

Agnès Martin-Lugand s’est imposée sur la scène littéraire française par sa plume délicate et la finesse psychologique de ses récits. Elle a construit en neuf romans unanimement salués par le public et la critique une œuvre singulière qui n’a pas son pareil pour questionner l’existence et l’âme humaine.

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Romans, nouveautés : les livres de Serge Joncour

Serge Joncour est l'un des plus importants romanciers français contemporain. Très soutenu par les libraires, il a su, de livre en livre, convaincre un large lectorat tout en étant reconnu par la critique littéraire. Ecrivain des paysages, il développe une œuvre romanesque qui sonde et entrelace, avec force et délicatesse, toutes les nuances de la nature et de la nature humaine.

Extraits

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Ouvrages généraux

Le critique des critiques

De la définition de la critique à la raison de la critique. Du chemin critique en passant par la vanité de la pratique. Franck Antunes décortique la critique sur une centaine de pages. En auteur chevronné. Il y a du Diderot dans ce texte, des insolences que Beaumarchais n'aurait pas reniées et un humour que Molière aurait goûté. Mais qui sont donc ces tartuffes qui croient savoir, qui croient connaître et se permettent de juger d'une oeuvre en particulier, comme de l'oeuvre d'une vie ? Qui décide de quoi ? Quel tribunal suprême oeuvre bruyamment pour asséner verdict et sentences aux artistes et aux auteurs ? Franck Antunes est ici l'avocat de ces diables d'auteurs. De ces perturbateurs qui oeuvrent pour les arts et la culture. Et il vous pose aussi une question, à vous, Mesdames et Messieurs les jurés : où en êtes-vous vous-même avec la critique ? Ce pamphlet, de notre collection primée et récompensée, la désormais célèbre collection Uppercut, respecte les codes et la tradition du genre. On frappe où cela fait mal, on rit de ce dont il ne faudrait pas rire et ensuite, on met en avant une vérité, en argumentant contre la bêtise, l'injustice et leurs mercenaires. Franck Antunes, romancier connu, se veut, pour ce pamphlet, signataire de la charte des "éveilleurs de consciences" de la maison JDH Editions. Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il a beaucoup à en dire.

03/2022

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Actualité et médias

Critique de la société moderne

Quand une société se fracture et laisse une proportion non négligeable des siens sur le bord de la route, les privant des moyens de prendre leur part de l’évolution collective, nul ne saurait sérieusement prétendre à la modernité. N’est-ce pas le cas quand le profit guide seul les choix, que l’économie conduit à des orientations technologiques qui, certes, améliorent les conditions de travail, mais suppriment des emplois dont ceux qui les occupent n’ont plus que le chômage pour horizon? Alors les exigences financières, sous couvert d’une modernité propice aux hommes, condamnent plus encore qu’elles n’enrichissent dans une conception de la modernité qui l’oppose à l’humanité. Le problème est identique lorsque ces mêmes choix ruinent l’avenir commun, mettant en péril celui de notre planète (Extrait de la préface d'Eric de Montgolfier).

08/2019

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Développement durable-Ecologie

Homo detritus. Critique de la société du déchet

PointsTerre – Stockés dans des décharges, éparpillés à la surface des océans ou dispersés en particules invisibles dans l'atmosphère, les déchets sont désormais des traces indélébiles de notre présence sur terre autant que des symptômes de la crise protéiforme du monde contemporain. Après les avoir enfouis, il est devenu impératif de les réduire, de les réutiliser, de les recycler. A l'heure de l'économie circulaire, l'idéal d'un monde sans restes tend à faire consensus. Cette promesse rappelle un mensonge de la tribu Chagga, évoqué par l'anthropologue Mary Douglas, où les mâles adultes affirment ne jamais déféquer, contrairement aux femmes et aux enfants, demeurant esclaves de leur corps. Ce livre montre que la quête de pureté, qui organise l'histoire du déchet dans nos sociétés industrielles, fabrique un aveuglement collectif. Il raconte comment homo detritus, face cachée d'homo oeconomicus, croit sauver la planète en "bien jetant".

10/2020

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Sciences politiques

Jaggernaut N° 4 : Règne de la valeur et destruction du monde

Le mode de production capitaliste est largement la tâche aveugle du débat sur l'environnement. La crise écologique et l'épuisement des ressources naturelles ne sont pas des aspects accessoires du mode de production capitaliste et ne peuvent pas être évités en établissant un capitalisme plus "sage" , modéré, vert, durable ou circulaire. Il ne paraît pas possible aujourd'hui de comprendre la crise écologique, en tant qu'imbrication entre l'évolution technologique et le capitalisme, si l'on ne tient pas compte des contraintes pseudo-objectives qui dérivent de la valorisation de la valeur et qui poussent à consommer la matière concrète du monde pour satisfaire les exigences abstraites de la forme-marchande. Le mode capitaliste de (re)production est basé sur une forme sociale abstraite de richesse - la survaleur -, qui est intrinsèquement autotélique, illimitée et, en tant que telle, entraîne une forme de croissance économique débridée nuisible à la biosphère.

04/2022

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Sciences politiques

L'impérialisme postcolonial. Critique de la société des éblouissements

L'impérialisme postcolonial n'est pas l'impérialisme qui viendrait après la colonisation. Il est l'impérialisme noir, l'impérialisme invisible, de la Race ou de la Bête, c'est-à-dire de la valeur et de la libido, de l'Argent et du Sexe. Il est le point aveugle que partagent la théorie postcoloniale et ses contempteurs. Le spectre du Noir colonise l'imaginaire du Blanc. Mais, plus encore, le colonial est colonisé par le colonisé lui-même, son opposé qui est aussi sa création, et qui le mine de l'intérieur. Avec rigueur et truculence, Joseph Tonda, l'un des penseurs les plus originaux du continent, poursuit sa réflexion sur le pouvoir en analysant les éblouissements de l'Afrique centrale comme de l'Occident. Prises dans une même destinée, nos sociétés sont chahutées entre enchantements et violences, entre calculs et folie, entre croyance et consommation, dans l'indiscernabilité du réel et de l'irréel, du passé et du présent, c'est-à-dire dans l'imaginaire. En faisant défiler sous nos yeux, eux aussi éblouis, les images-écrans, les images d'images de la mondialisation néolibérale qui ont saisi toutes les sociétés, il nous prouve une nouvelle fois qu'il n'est pas si facile de "tuer les yeux", en tout cas les siens.

12/2015

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Sociologie

LA SOCIETE DE COMMUNICATION. Une approche sociologique et critique

Toutes les sociétés connaissent la communication. Mieux : toutes sont fondées sur elle. La société est une communauté, c'est-à-dire un partage de signes, un échange de messages. Quelle nouveauté notre société présente-t-elle par rapport à celles qui l'ont précédée ? A tout le moins l'invention des " mass médias de communication " (téléphone, télévision, Internet, portable, etc.), technologies censées améliorer la quantité et la qualité des discours échangés entre les hommes. Le progrès est-il certain ? La croissance exponentielle des messages est-elle toujours synonyme d'une meilleure compréhension ? L'incommunicabilité des codes religieux, éthiques, rituels, la création de zones d'opacité artificielle par les pouvoirs et par les individus (censure, secret, confidentialité) ne sont-elles pas la rançon du progrès de la transparence ? Cette approche sociologique aborde la communication comme un phénomène social de production, de circulation et de consommation des discours. Elle tente de démêler l'écheveau des différents types de discours (discours publics et discours privés ; discours culturels, informations, opinions) qui circulent en société. Et elle introduit aux problèmes posés par la mondialisation des communications. Sommes-nous entrés, avec les voyages de masse en jets intercontinentaux et avec Internet, dans l'ère de la communication planétaire ? L'humanité toute entière est-elle désormais intégrée dans le " village global " annoncé naguère par Mac Luhan ?

03/1999

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