développement durable environnement

Avec la tenue de la XXIe Conférence des Nations unies sur les changements climatiques à Paris du 30 novembre au 11 décembre 2015, le développement durable est tout particulièrement à l’honneur durant cette année. C’est même une « grande cause nationale 2015 ».

En signant un accord cadre avec Nausicaà, centre national de la mer, le ministère de l'Education nationale veut faire un pas supplémentaire en direction du soutien apporté à l'enseignement du développement durable à l'école.

Alors que la COP21 s’est refermée sur un accord qui, on l’espère, apportera une réelle avancée dans la lutte contre le réchauffement climatique, l’Internationale de l’Education, qui réunit de nombreux syndicats enseignants à travers le monde, revient sur le rôle que doit jouer l’éducation dans la mise en œuvre du développement durable.

Un tel débat exige d'éclaircir le sens de mots. C'est essentiellement ce qu'ont fait les intervenants lors de cette table ronde animée par Eduardo Castillo. L'idée était de voir comment on pouvait penser autrement le développement durable, ou en tout cas le penser de manière plus précise, sans tomber dans les préjugés et les malentendus. 

Les mesures de l'Agenda 2030 de l'Organisation des Nations Unies s'inscrivent dans une logique de développement durable, pour apporter « paix et prospérité » aux habitants de la planète avant cette date. L'ONU s'était donné 15 ans pour y parvenir, et la Fédération internationale des associations et institutions de bibliothèques exhorte l'institution, mais aussi les gouvernements, à intégrer plus largement les bibliothèques à la stratégie.

Durant tout le mois d'avril, 17 magazines jeunesse invitent leurs jeunes lecteurs âgés de 1 à 18 ans à découvrir comment faire rimer le plaisir de manger avec celui de prendre soin de la Terre via l'opération « J'aime ma Planète » . Histoires, reportages, BD, interviews, recettes à réaliser soi-même, jeux... Les diverses pistes d'apprentissage ont toutes le même but : faire comprendre aux enfants les principales problématiques actuelles et futures liées à l'environnement et à l'alimentation.

Le 13 mars dernier à Melbourne, se tenait le second sommet australien visant à fixer des objectifs en faveur du développement durable. À cette occasion, l’Association Australienne des Bibliothèques et de l’Information a publié un rapport mettant en avant la contribution des établissements du pays aux objectifs de développement durable fixé par les Nations unies en janvier.

Le 1er janvier 2016, 17 objectifs de développement durable, adoptés par les dirigeants des pays membres de l'Organisation des Nations Unies, sont entrés en vigueur. Parmi ces objectifs qu'il s'agit d'accomplir à l'horizon 2030, une « éducation de qualité », des « inégalités réduites » ou encore l'« égalité entre les sexes ». Si les gouvernements se sont engagés, les objectifs concernent aussi secteur privé, société civile et les bibliothèques, notamment.

Si le pangolin a largement été disculpé dans cette grossière histoire de virus planétaire, il n’en aura pas moins ouvert les yeux sur deux ou trois dysfonctionnements mondiaux. Comme la démultiplication des voyages, avec pour conséquence de dégrader l’environnement – réchauffement climatique, gaz à effets de serre, et on en passe et on en oublie. Mais on se mobilise tout de même.

Le mercredi 8 avril 2015, l’Université Toulouse III – Paul Sabatier organise, aux côtés d’EDF, une journée consacrée à la transition énergétique et au développement durable au sein de l’amphithéâtre Concorde.

Depuis le 30 novembre, la COP21 va réunir chefs d’État et de gouvernement autour de l’avenir de la planète. Présidée par la France, cette conférence dédiée au climat doit aboutir à un nouvel accord, « applicable à tous les pays ». Contenir le réchauffement planétaire, une mission à 100 milliards de dollars par année, dès 2020... La rue de Valois a tenu à apporter sa pierre à l’édifice. 

Tandis que le développement durable se trouve désormais au cœur des préoccupations de toutes les industries, la commission environnement du SNE vient de publier son propre vade-mecum décliné au secteur du livre et intitulé « 7 suggestions pour devenir un éditeur écoresponsable ». La prescription a été adressée pour la première fois aux professionnels lors du Salon du livre de Paris. Et dans le monde de l'édition, la thématique du développement durable susciterait un véritable intérêt des professionnels.

La Banque Postale et Project Syndicate, organisation médiatique internationale à but non lucratif, lancent le «  Sustainability Book Award », un nouveau prix académique international qui récompensera, chaque année, un ouvrage contribuant à une meilleure compréhension des enjeux globaux de durabilité. Le premier lauréat du prix sera annoncé en juillet 2023 à l’issue des délibérations d’un jury international composé de personnalités économiques et d’experts des enjeux du développement durable. 

VIe Jeux de la Francophonie : développement durable à l'honneur

Le guide du Routard se penche sur le développement durable

L’agence de publicité irlandaise Rothco d’Accenture Interactive et l’artiste allemande Diana Scherer ont collaboré afin de promouvoir une agriculture durable en concevant un livre à base d’herbe. The Book That Grew (Le Livre qui a poussé) est un ouvrage de 22 pages créé en manipulant les racines des plantes vivantes pour qu’elles prennent la forme de lettres et de symboles.

La Fédération internationale des associations de bibliothécaires ou IFLA, vient de déclencher l’édition 2017 de son Green Library Award. Changement climatique et développement durable sont au cœur des mutations de l’environnement. Et le rôle des humains dans ces changements est primordial. Les bibliothèques ont ici un devoir, comme les autres.

Le 25 septembre 2019, les bibliothèques et CDI (Centre de documentation et d'information) des collèges et lycées français s'impliqueront dans une opération de communication qui s'intégrera dans l'Agenda 2030 de l'Organisation des Nations Unies (ONU). Cette dernière a fixé 17 objectifs de développement durable qui couvrent des enjeux écologiques, politiques, sociétaux ou encore économiques. Et les lieux de savoir sont évidemment engagés.

Une nouvelle initiative multilingue regroupe plusieurs organisations du secteur du livre à travers tout le continent africain. Leur choix : se rassembler et s’engager afin d’enrichir le Club de lecture des objectifs de développement durable des Nations Unies. Ce dernier sera alimenté avec une collection de livres pour enfants en anglais, français, arabe et swahili sur les différents objectifs.

Pour la rentrée scolaire 2015-2016, le ministère de l'Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche impulse une nouvelle dynamique de généralisation de l'éducation au développement durable. Dans ce cadre, Ecofolio, en partenariat avec le ministère, propose des projets éducatifs au sein des établissements scolaires et des centres de loisirs sur le cas concret du tri et du recyclage des papiers.

Comprendre le développement durable à travers le rôle de l'eau

L’association Fontaine Ô Livres proposera, à partir du quatrième trimestre 2023, un atelier autour de « La Fresque du Livre ». Construite sur le modèle de la Fresque du Climat, qui sensibilise au réchauffement climatique grâce au jeu, elle a pour objectif de familiariser les acteurs de la chaîne du livre aux enjeux du développement durable au sein de la filière.

Elle était attendue, et pas seulement par les professionnels de l'information : la Déclaration de Lyon a été dévoilée ce matin même au congrès mondial de l'IFLA, à Lyon. Présentée par Sinikka Sipilä, présidente de l'IFLA, et Gérard Collomb, le maire de Lyon, elle invite les États membres des Nations Unies à prendre un engagement international pour l'accès universel à l'information et à la connaissance.

En avril 2020, l'IFLA, la Fédération internationale des associations et institutions de bibliothèques, et l'UNESCO, l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture, se lançaient dans la mise à jour d'un texte de référence, le Manifeste des bibliothèques publiques. Des premiers éléments de cette actualisation ont été révélés.

Bertrand Cavayé, Chargé d’études au bureau des collèges, Direction générale de l’enseignement scolaire, ministère de l’Éducation nationale, comptait parmi les membres du jury « Une toque à la cantoche ». Ce programme, piloté par ENGIE, ancien GDF Suez, vise à apprendre l’économie de l’énergie, par des solutions les plus ludiques possible.

Prévues pour le 11 octobre 2021, les prochaines Rencontres professionnelles du livre en Grand Est se tiendront à Mulhouse. Un préprogramme a été communiqué alors que ces Rencontres sont largement dédiées à la question du développement durable au sein de la chaîne du livre.

Dans une perspective de développement durable et d'amélioration de la qualité de vie de tous, collaborations et partenariats priment : ensemble, l'action devient plus efficace. L'Organisation des Nations Unies (ONU), qui a défini 17 objectifs de développement durable destinés à guider les actions de chacun et celles des différents pays du monde, propose une liste de lecture pour faire comprendre aux plus jeunes l'importance de l'action coordonnée.

Les Nations Unies ont défini 17 objectifs de développement durable (ODD), destinés à améliorer la situation de la planète et de ses habitants, quel que soit leur pays de résidence. Inscrits dans l'agenda 2030, les ODD doivent notamment éradiquer la pauvreté et garantir la prospérité pour tous... La loi n° 2021-1031 du 4 août 2021 précise la participation de la France dans l'accomplissement des ODD.

Offrir aux élèves l’occasion d’un apprentissage culinaire respectueux du goût et des ressources énergétiques, c’est l’une des missions du concours national Une toque à la cantoche, organisé par ENGIE (anciennement GDF Suez). À l’occasion de la remise du prix, , les enfants ont presque mis le feu aux cuisines, tant l’ambiance était chaleureuse. Six classes de primaire, collège ou lycée de toute la France, leurs professeurs et leurs chefs et assistants de cantine ont été accueillis à Paris par ENGIE et le chef étoilé Thierry Marx pour récolter les fruits d’un an de travail.